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now we're grown up orphan that never knew their names (livio)

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Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir

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Sujet: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 10:18


Livio Masaccio

You carry the heavens in you eyes like one of those old Greek tragedies. And I’d call you Atlas, but he wasn’t given a choice to hold the stars. You were.



nom : La marque d’un anonymat, la balafre d’une vie sacrifiée. Le nom d’un orphelin dont personne n’a jamais désiré. Le dernier Masaccio, l’héritier d’un empire oublié sous les larmes et les coups. D’où il vient, où il va ? Personne ne le sait, personne n’ose le dire. Masaccio, un souffle méprisant s’échappant des lèvres de ses ainées. Une honte qu’il est seul à pouvoir porter pour les actes qu’il n’a pas commis. ▲  prénom : L’oublié, l’éternel perdu d’avance, le gamin sur lequel personne ne désirait veiller. Livio, le petit prince déchu. Le gamin sans origines, sans passé, sans avenir surtout. Fils de personne, forcé dans la vie tête la première sans personne pour le rattraper, Livio incarne la douceur se brisant entre les doigts malhabiles d’une destiné avortée. Rejeton de personne, son nom n’effleure jamais les lippes dessoudées des loups montrant leurs crocs que pour en recevoir les os crachés à son visage tuméfié. ▲  âge et date de naissance : Vingt-trois longues années de solitude. Vingt-trois années de médiocrité passée à se demander d’où il vient, où il va, qui il est. Sa carte d’identité indique le 21/05/93, pourtant d’après cette famille possédant sa destinée entre ses doigts il serait né plus tôt. Dans le noir, dans le froid. Né à la fin de l'année alors que ses parents goûtaient à la dernière fois au bonheur lié au fête tout en se gorgeant d’avoir engendré un héritier. Ainsi, Livio aurait véritablement vingt quatre ans d'après les Ucello, ce dernier étant né un vingt sept décembre une année plus tôt.▲  ton clan : Pas un choix, mais bien une évidence. Dès le premier cri de la naissance, ses poumons informes inhalèrent la poudre et la fumée du milieu armé dans lequel il allait se développer. Chiot muselé depuis ses plus jeunes jours, chien en laisse qu’on laisse protéger son carré de terre, Livio est un fier représentant du clan Ucello. Chair vendu aux enchères par des parents inconscients, désireux d’obtenir une liberté ne leur étant destiné, ils ont vendu les ailes de leur progéniture, les épinglant pour qu’il ne puisse jamais s’éloigner de ceux à qui il appartient. ▲ Ton rang : Victime de ses origines. Victime d’un nom dont il ne sait rien. Animal aux crocs limés, chien n’aboyant que lorsqu’il lui a été ordonné, Livio fait partie de ces moins que rien utilisés sans états d’âme. Li Vittime, le gamin rêvant de jours meilleurs, d’une parcelle de bonheur à entretenir, il ne peut ignorer la paire de mains nouée en permanence autour de sa nuque, pareil à un collier de regret dont il ne peut se défaire.▲ statut civil : Machine avant d’être homme. Arme à feu toujours prêt à laisser partit le premier coup, Livio est enroué, des balles pleins les dents et de la poudre plein les yeux. Cœur indolent, amant insolent, il fait partie de ces cœurs qui a trop s’éprendre oublie d’être épris. Célibataire, volage toujours sur le départ, il a bien trop de chaines à ses poignets que pour se passer une nouvelle corde au cou. ▲  orientation sexuelle : Les volutes de fumées caressant les courbes féminines, la virilité masculine. Le sang et l’acier rencontrant la chair à vif sous les ongles ne demandant qu’à s’agripper à d’autres mains, d’autres corps brisés. Les larmes des femmes qui pleurent, les cœurs vidés des hommes qui regrettent l’innocence noyée devant l’autel d’une pureté n’étant plus. Il les aime brisées, brune, blonde, charnue, sur le point de se casser entre ses doigts. Il les aime grands, trapus, dans le regard l'océan et au bord des lèvres le feu des passions.  Il aime les femmes sous toutes leurs formes, les hommes dans toutes leurs passions. Il se considère bisexuel frôlant les draps tièdes des personnes pouvant éteindre le feu de la déraison entre ses côtes. ▲  metier :Fervent mouton d’un culte voué au patriarche de la famille Ucello, soldat de plomb déplacé sur un plateau de jeu auquel il comprend trop de choses. Livio est le poing armé de ses maîtres, loups aux crocs acérés ne demandant qu’un mot de ses geôliers pour libérer le chaos existant en son buste. Néanmoins, brute avec une gueule d’ange, ses jours il les passe à fréquenter l’arrière-boutique d’une boucherie passant pour un apprenti boucher, devanture parfaite pour faire disparaître les preuves d’exécutions sommaires.  ▲  situation familiale : Une famille composée de fantôme, un nom qui ne représente plus rien pour personne. Orphelin éduqué par les Uccelo, Livio est le fils d’un alizé glacial et d’un embrun salé. Progéniture de personnes dont on se refuse à prononcer le nom dans son entourage, le gamin est toujours resté à portée de mains des Uccelo. Gamin élevé dans la plus grande ferveur du patriarche de cette famille, il voit ceux-ci comme ses sauveurs. Victimes des erreurs de ses parents, enfant dont on a bourré le crâne d’une loyauté étouffante, il paye le prix de ses ainés en se refusant à leur ressembler. En se refusant à chérir leur souvenir, préférant remplacer les visages fantomatiques de ses parents par le regard froid du patriarche Uccelo et des hommes de main de ce dernier lui ayant tout appris. Sa famille est son unique clan. Ce dernier passant au-dessus de tout, son sang, sa chair. Même s’il ne comprend pas toujours pourquoi, il sait que tout ce qui est à lui appartient à ceux ayant fait de lui une arme.  Puis, depuis quand les fous se rebellent contre leur roi? ▲  traits de caractère : Garçon fait d’angles abrupts, de courbes mal polies. Tous ceux s’accrochant au jeune Massacio viennent s’écorcher les phalanges sur ses déchirures, sur les fioritures mal définie le long de ses traits défaits par la fatigue et la dureté d’une vie ne lui ayant faite aucun cadeau. Rustre à l’impulsivité maladive, Livio fait partie de ces gens se laissant bercer par leurs émotions. Ceux qui malgré leur ambition se perdent dans la déraison comme Livio. Animal toujours en cage, le brun a compris le prix de sa loyauté, courbant l’échine face à ses maîtres en attendant que ces derniers libèrent les élans fiévreux de son myocarde rongé par la noirceur l’entourant. Gamin toujours un peu trop futé, un peu trop curieux, son esprit aiguisé n’a pas toujours été une aubaine pour le garçon perdu recevant plus d’une claque. Homme fait d’ombres et de lumières, il danse sur une corde raide entre bien et mal, traversant cette frontière beaucoup trop fine avec une aisance nauséeuse. Ame torturée toujours prompte à s’enfoncer plus profondément dans les ténèbres accueillant les gens comme lui,  il s’y enfonce avec une passion destructrice le rongeant de l’intérieur. Plus ombre que garçon, plus animal qu’homme, il se laisse détruire par ses passions, ses crocs toujours prêts à déchirer les choses le faisant tenir, les gens désireux de le sauver de lui-même. ▲  groupe : Strong and Wasted▲  crédits : astoria(avatar);fuckyeahmythologymixes.tumblr(bannière); loganlerman.tumblr(gif)
▲01.La loi du sang. Celui qui appelle toujours à être rendu, toujours à couler pour effacer les dettes des âmes désireuses d’être amnistiées. Ce sang même qui a à jamais lié la vie du bambin Masaccio aux meurtriers ayant tués ses parents. Ce sang qu’il se doit de mettre en jeu pour remplir le moindre des désirs de cette famille à laquelle il voue une loyauté maladive. Le sang, il n’y a que cela qui compte. Ce sang impur, celui qu’il fait couler sans ciller, conscient qu’il ne vaut rien, rien de plus que ce qu’il peut apporter aux Ucello. Ce sang par lequel tout commence et tout s'achève. ▲02. Fils de deux sous-fifres du clan Uccelo, Livio n’a jamais connu ses parents, morts quelques jours après sa naissance seulement. Progéniture de deux inconscients ayant cru pouvoir s’asseoir sur un pécule financier volé au patriarche du clan avant de pouvoir quitter Florence, se faire la belle et gouter la vie sous un soleil différent, le Masaccio et la tâche à jamais étalée sur la généalogie de ce clan fait de violence et de sang. Enfant dont la naissance fût placée sous la douceur, ses cris n’aidèrent pas ses parents tués par les balles du futur patriarche. Sa vie fût placée sous le signe de l’interrogation jusqu’à ce qu’Amadeo ne se décide à le garder, faire de ce fils de personne un signe de reconnaissance, une balafre à montrer à celles et ceux assez fou que pour le défier. Il décida de le faire élever par le clan, faisant du gamin un véritable chien de garde ne vivant que pour cette famille jusqu’à ce qu’il juge que les crimes de ses parents soient remboursés. ▲03. Fils des rues, orphelins perdus sous le soleil refusant de filtrer dans les ruelles les plus obscures, Livio passa son enfance dans l’ombre des autres. L’ombre des familles obéissant aux Ucello d’accord de le recueillir le temps de lui apprendre la vie. Sous les coups, sous les mots, il grandit tant bien que mal. Apprenant à se défendre très jeune, à s’occuper de lui-même dans la même lignée, le gamin n’est le fils de personne. Petit prince perdu entre les pavés, il apprit très vite la dureté de la vie au détour des allées embrumées où des mains sales cherchaient à voler la douceur d’une enfance avortée. Il leur donna tout, tout ce qu'il avait, tout ce qu'il n'avait pas, offrant jusqu'à sa chair afin de s'accrocher à cette vie que l'univers lui refusait.  ▲04. Sous-fifre à jamais tenu pour responsables de tout ce qui va mal, Livio a appris à ramasser les pots cassés. Visage angélique d’une boucherie où il prétend travailler, le brun est devenu maître dans l’art de faire disparaître les preuves. Disparaître les corps encore sanglant de ceux qui en ont trop vus, trop dit. Emissaire de la mort, chasseur de l’apocalypse s’amusant des brebis égarées qu’on lui apporte, le Masaccio fait toujours parfaitement le travail bien que certain lui reprochent ses manières peu orthodoxes.   ▲05. Adepte des paradis artificiels, homme vide incapable de combler le manque s’épanchant entre ses côtes, le jeune homme fait de son mieux pour remplir le trou en sa poitrine. A l’aide de l’alcool, à l’aide de la cigarette, il efface des heures durant l’impression de n’être qu’un fragment de quelque chose de trop grand, quelque chose de trop lourd pour ses épaules. Junkie refusant d’admettre ses addictions, il se perd dans la poudreuse une fois la nuit tombée. Une fois le sang se mettant à couler, espérant ainsi arracher à ses paupières le carmin s’étant logé là. Espérant pouvoir effacer à la javel les images rouges et noires gravées sur ses iris, tableau de maître fait de chair meurtrie et de corps défaits. Il lutte comme il peut, brûlant la vie par les deux bouts en espérant exister.  ▲06. Gamin profondément seul depuis l’aube de sa vie. Enfant rejeté par les autres orphelins à cause des adultes l’entourant, enfant rejeté par les adultes censés l’éduqué car ceux-ci le méprisaient, Livio grandit sans personne pour l’aimer. Fils de l’indifférence et du silence, il apprit très vite à ne compter que sur lui, ne compter que sur son intelligence et ses capacités pour se sortir de toutes les embrouilles. C’est certainement une des raisons pour laquelle il gère si mal ses émotions et n’est que peu capable de s’attacher aux autres.  ▲07. Plus animal qu’homme. L’arme de guerre a été élevée pour remplir sa mission envers et contre tout. Indifférent face à sa propre mortalité, si les Ucello venaient à lui demander de mettre fin à ses jours il n’hésiterait pas. Aussi bien car il sait que ceux-ci n’hésiteraient pas à le faire exécuter, que parce qu’il ne sait pas à quoi sa vie sert d’autre. Persuadé de n’être qu’un objet à leur disposition, une babiole dont ils peuvent se défaire à l’envie, le gamin assouvi le moindre de leurs désir envers et contre tout. ▲08. Homme fait de violence, sa chair marquée par les coups reçus aussi bien que par ceux donnés, Livio ne peut lutter contre sa nature impulsive. Garçon sanguin toujours prompt à se jeter tête la première dans la bagarre, il n’hésita jamais à aller au bout des choses, écrasant ses opposants jusqu’à se retrouver les mains pleines de sang et le cœur vide. Chien de garde à qui on a trop bien appris à montrer les crocs, personne ne lui a appris à rester en place, faisant du brun un être instable trop prompt à céder à ses impulsions. ▲09. Enfant des pavés, perdus dans les allées aux embrumes, les allées malfamées où les gamins se perdent dans l’espoir de trouver quelques pièces contre un peu de leur innocence perdue, le brun fait partie de ces gens sans rien. Ceux qui vivent déchiré entre le froid et la faim. Ceux qui ne savent jamais vraiment bien comment le mois va s’achever, comment remplir leur assiette et continuer à avancer. Les Uccelo le protégèrent, mais ne rendirent pas sa vie facile, l’obligeant à s’occuper de sa propre personne. Aujourd’hui encore, homme aux revenus précaires, il n’est pas rare que Livio se retrouve complètement éméché à vendre sa chair aux enchères posant ses lèvres sur toutes les bouches désireuses d’être aimées un instant. ▲10. Enfant habitué à s’occuper de lui-même, adolescent habitué à rendre les coups dans le but d’avoir la place d’exister, Livio n’a jamais appris à laisser de la place. N’a jamais appris comment faire pour que d’autres que lui tendent aux cicatrices rongeant sa chair, se montrant ainsi vulnérable à d’autres. Plus prompt à faire fuir les gens désireux de l’aider, le brun a la mauvaise habitude de détruire ceux s’approchant de trop près. Ceux désireux d’en apprendre plus sur lui, de comprendre d’où il vient, savoir où il va. Le jeune homme n’est rien de plus qu’un trou noir, prêt à avaler toutes les personnes assez folle que pour s’approcher de trop près.

ton pseudo : the-last-shewolf, aka amandine  ▲ ton âge  : 21 ans ▲ ton pays : belgique, pays des représentants de la bonne bière▲ ta fréquence de connexion : ça dépend de mon stage et surtout de l'unif (le mémoire, tout ça tout ça, la mort en bref now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2978968014 ) ▲ comment t'es arrivé ici ? j'ai croisé un pseudo que je connaissais au détour de bazzart puis boum la pub et moi qui  now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2867506033  now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1978493442  ▲ ton avis sur le forum : J'adore l'esthétique, le sujet de la mafia, la ville, c'est tout ce que j'aime  now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 14883531un commentaire ? votre réponse ici votre réponse ici



Dernière édition par Livio Masaccio le Dim 24 Avr - 22:30, édité 14 fois
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 10:18

La vie continue.La mort aussi.Plus longtemps.

 
Maybe if we were kinder to ourselves we could still see the stars.


Le gamin ne tremblait pas de peur, juste de froid. Trempé jusqu’à la moelle, les embruns à ses paupières se mélangeant aux regrets liquides ayant menacés de le noyer, le petit Masaccio regardait l’adulte lui faisant face une lueur de défi dans le regard. Le brun détestait Benito. Il capi qui souffrait de trop de zèle dans l’application de ses fonctions. Homme de mauvaise foi, plus prompt à régler ses problèmes en les ignorant qu’en les réglant, il était tout ce que Livio méprisait. Tout ce que Livio refusait de devenir. La tête droite, le regard glacial, le gamin du haut de ses huit ans avaient les poings serrés et montrait les crocs prêts à bondir sur l’homme tendant une arme vers lui. Depuis son plus jeune âge, l’enfant avait entendu à multiples reprises à quel point sa vie était inutile, un gâchis. On lui avait rappelé à tant de reprise qu’il ne devait sa vie qu’au grand patriarche Uccelo et son héritier trop tendre que le petit avait fini par entièrement oublié l’existence de ses géniteurs. Fils de personne, enfant sanctifié de racines inconnues, d'une naissance biblique, le gamin avait appris à donner des coups de coude et de dents pour se frayer un chemin sur le devant de la scène. Conscient de ses origines insolubles, du poids d’échecs qu’il n’avait pas commis, l’enfant s’était résigné à se faire balader de soldats en soldats, de faciès méprisants en faciès méprisant. Affrontant alors Benito, ce dernier le tenant en joug comme s’il n’était pas qu’un enfant inoffensif, le petit affichait un sourire carnassier fier de l’effet qu’il arrivait à produire. Du sang coulait légèrement de ses lippes sèches, le gamin des rues ayant réussi à marquer ses crocs dans la chair de l’adulte ayant eu l’impudence d’essayer de noyer le gamin à même le bénitier de la basilique. S’étant débattu comme un beau diable, s’accrochant à sa vie envers et contre tout là où le monde s’échinait à la lui arracher des doigts, il avait réussi à se défaire de l’emprise de l’homme surpris par la férocité du petit garçon que tout le monde méprisait avec révérence. « Benito, baisse ton arme. » Gronda une voix capable d’emplir la basilique comme personne n’avait réussi à le faire jusqu’à présent. Les vêtements mouillés par l’eau bénite, les cheveux plaqués à son front, le Masaccio avait l’air encore plus perdu qu’à son habitude, tâche violant le décor pourtant si solennel de la basilique. Les yeux plantés sur le patriarche de la famille Ucello, Livio ne savait s’il devait soutenir le regard de ce dernier ou baisser les yeux face à l’homme qu’il avait appris à vénérer aussi puissamment qu’à craindre. De ses prunelles trop grandes pour son âge, ce regard délavé en ayant trop vu en si peu d’années, le gamin observa Amadeo s’approcher inlassablement de lui plein d’une prestance que le petit enviait. « Tu n’as peur de rien petit Masaccio ? » Posant ses prunelles céruléenne sur l’arme que venait de tendre l’Ucello, Livio hocha négativement la tête, toute tension désormais partie de ses membres. Derrière Amadeo, son chien de garde, Benito, souriait perversement à l’exécution sommaire sur le point de se dérouler devant ses yeux. Malgré la rage qu’il aurait dû ressentir à voir cette raclure se gorger d’un acte qu’il n’était pas à même de poser, le petit se contenta d’observer droit dans les yeux l’Ucello lui faisant face. Le canon du flingue tendu vers son visage, Livio observait l’arme avec un soin religieux qu’il avait bien du mal à fournir pour toute autre tâche. Le chrome de l’arme, les finissions délicates de celle-ci, le gamin voyait tout. Il pouvait sentir la mort poindre au bout du canon, son souffle froid s’échapper de celui-ci alors que les glaces de ses balles s’apprêtaient à recouvrir le cœur de l’enfant. « Vas-y petit, embrasse le. » Ecarquillant les yeux face au calme et à la douceur s’échappant des lèvres du patriarche, le Masaccio hésita une seconde avant de s’exécuter. Ses lèvres chaudes rencontrèrent la morsure glacée du métal alors qu’il ne se tenait qu’à un mouvement de l’index de son propriétaire d’une mort que ce dernier pouvait lui offrir à tout instant. Les lèvres plaquées contre le canon de l’arme, pureté fondant au contact de la cendre, des résidus de poudre encore plaqué là, le gamin ferma les yeux un instant. Serein face une mort certaine, une mort qui venait avec le fardeau d’exister, l’enfant ne redoutait pas l’instant où l’Ucello allait presser la détente. Mort en devenir, enfant rompu par des années d’une lutte ne lui étant pas destinée, il était prêt. « Il en faut de la dévotion ou de la folie pour oser embrasser l’arme d’un homme. Tu m’aimes petit Masaccio ? » Inconscient du poids de ces mots-là, du poids de cette évidence s’échappant des lèvres du meurtrier de ses parents, l’enfant ouvrit les yeux en sentant la main d’Amadeo se poser sur son crâne avec une tendresse qu’il n’avait jamais connu. « Plus que ma propre vie. » Répliqua l’enfant une once de défi dans la voix et un peu trop d’entrain aux lèvres. A croire qu’il n’attendait que de mourir pour les Ucello afin de payer la dette imposée par ses origines.

†††

Le visage recouvert d’une couche épaisse de sang apparaissant le long de ses traits tels un masque mortuaire, Livio n’avait rien du gamin d’autrefois. L’innocence de ses traits angéliques avait laissée place à la noirceur du démon se cachant dans ses artères alors que ce dernier passait une main moite et rougeâtre dans ses cheveux trop longs à son goût. Un sourire serein aux lèvres, le regard blasé de celui en ayant déjà trop vu, déjà trop fait, le jeune homme hocha lentement la tête tout en regardant sa victime le suppliant et pleurant pour qu’il arrête. Un flingue calé dans le holster attaché à sa hanche, un couteau de boucher dans la main, cela faisait longtemps que le jouet des Ucello avait perdu toute once d’innocence, tous remords. « J’ai besoin de faire de toi un exemple. Une raison pour que d’éventuels vendeurs véreux ne soient pas tenté de t’imiter. Tu comprends j’espère ? » Des icebergs plein le regard, l’Atlantique coulant dans ses veines, le jeune homme s’approcha du mort en devenir, s’imaginant un instant ses propres traits sur celui du vendeur d’arme véreux. Laissant la lame de son couteau danser le long des pommettes de l’homme bien plus âgé que lui, il s’imaginait sans mal le jour où les rôles seront inversés. Où sa place à lui sera sur la chaise de la victime contemplant son bourreau la terreur dans les yeux. Malgré lui, sans même y réfléchir, le Masaccio se gorgeait de fierté à l’idée d’être mieux que ça. Mieux que ces raclures se prétendant hommes et qui pourtant se mettaient à pleurnicher dès que leur bâillon se retrouve hors de leur bouche. Le brun s’amusait de les voir céder sous ses doigts alors qu’il se savait plus fort qu’eux, plus résistant. Elevé par la rue quand personne ne voulait de lui, l’ancien gamin perdu entre les ruelles appris la vie entre la faim et les coups. Entre le vide et le froid. « Tu aurais dû savoir qu’il n’est jamais bon de parier contre un Uccelo. Je me demande qu’elle rêve de grandeur a pu te faire perdre la tête. » Souffla la main d’œuvre de ce clan tout puissant alors qu’il s’asseyait sur la chaise faisant face à l’homme sans nom. « J’ai… Je voulais pas. J’ai deux filles, pas d’argent. J’avais besoin d’argent rapidement pour quitter ce milieu et partir d’ici. Je voulais juste les protéger. » Faussement empathique, Livio hocha lentement la tête, les traits de son visage détendu en une expression de douceur et de sympathie tranchant douloureusement avec le sang recouvrant déjà ses traits. L’être lui faisant face n’avait plus d’homme que le nom, ses traits tirés par la douleur et la fatigue étaient à la hauteur des blessures variées recouvrant son corps meurtri. A même sa chair écorchée, le Masaccio avait gravé les erreurs que le pauvre inconscient avait commis. Ainsi, même dans sa mort, le fou porterait le fardeau des actes qu’il avait réalisé, incapable de se défaire de ce passé l’ayant mené jusqu’à sa mort. Une froideur dans la voix jurant avec le brasier de ses passions et de cette violence s’échappant de ses doigts en torrents brulant, un sourire en coin étira ses lippes amusées : « Je suis certain que les priver d’un père était la meilleure chose que tu pouvais faire. » Avec un calme rongé par l’impatience, Livio arracha à son holster son arme de poing, revolver de seconde main qu’un soldat des Uccelo lui avait donné une fois qu’il fut en âge de s’en servir. Regardant l’objet pendant quelques instants, vérifiant le nombre de balles lui restant avant de tendre le canon vers le visage du vendeur d’arme, il se délecta de la terreur passant sur ses traits. Ballet d’ombres et de lumière dansant sur son visage en un spectacle d’ombre chinoise menant la rosée aux yeux du Masaccio le contemplant. Sous la terreur, la peur de mourir et les mots s’échappant de la gueule du presque mort, Livio pouvait y lire du soulagement. Celui amené par la fin. Celui que tous recherchent quelques instants avant de mourir, oubliant la peur, le mal, oubliant les erreurs et les regrets. Baissant subitement l’arme, pointant cette dernière vers l’estomac de sa victime, le brun tira à plusieurs reprises des points vitaux et douloureux. La porte s’ouvrit presque instantanément suite au premier coup de feu, dévoilant un homme en costume qui grogna presque aussitôt : « Tu n’en as pas marre d’être aussi dégueulasse ? Le but c’est de le tuer pas d’en faire de la pâté pour chat. » Un rire gras s’échappant des lèvres de l’abatteur professionnel, ce dernier haussa les épaules tout en retirant sa chemise imbibée de sang et en tendant la bâche prévue pour transporter le corps bientôt sans vie.  

†††
Corps en devenir, cœur en soupire. Le Masaccio observait ses traits durcis dans la glace alors que ses pupilles dilatées peinaient à témoigner justement de ce qu’il observait. Ses doigts cherchaient le long de sa peau les lignes de son histoire, l’arbre de ses origines. Soufflant une nappe nacrée d’une fumée faite de tabac et d’un quelque chose d’ailleurs, le brun riait aux éclats le nez recouvert d’un peu de poussière d’étoile alors que son sourire n’avait plus rien de carnassier. Rien de plus que le sourire alangui d’un lionceau lézardant au soleil. Les yeux perdus dans sa propre contemplation, Livio ne revint à la réalité que lorsque les mains glacées de la fille des rues s’arrêtèrent sur le bord de son pantalon. Femme de peu de vertu, catin de haute provenance, l’assassin avait oublié combien de billet il avait pu claquer pour cette proie de premier ordre. Entre la drogue et ses folies de grandeur, le brun en avait oublié toute raison. S’agrippant à la blonde comme si sa vie en dépendait, plantant ses ongles dans la chair tendre de cette brebis demandant à se faire souiller, il en oubliait toute douceur, tout contrôle. Prédateur prêt à planter ses crocs dans sa proie, ses lèvres avides se fondèrent sur celles de la belle avec une violence qu’il sentait dégouliner de son cœur meurtri. Il avait envie de la blesser. Envie de tatouer entre ses côtes les mêmes écorchures qu’il possédait. Retirant ses propres vêtements sans douceur, refusant les mains aguicheuses cherchant à adoucir cette fièvre dont il ne savait comment se défaire, le Masaccio la repoussa vers le lit avant de la plaquer contre celui-ci sans douceur. Etre avide cherchant à combler le néant en son buste avec tout ce que cette vie avait à lui donner, il ne se souciait guère des gémissements mécontents de sa pute d’un soir. Encore moins des cris languissant s’échappant des lèvres de cette dernière alors qu’elle le suppliait de l’achever, de continuer jusqu’à ce que plus aucun son cohérent ne s’échappe de sa gorge enrouée par leurs ébats. De la cendre plein les poumons, fumées obscures refusant de s’échapper de ses bronches, se déplaçant sans aucune pudeur dans la chambre d’hôtel miteuse où il avait ramené son étoile d’un soir, il inhala encore un peu de poussière d’espoir alors que son esprit se perdait dans les volutes de fumées. Le regard perdu, le cœur battant un rythme inconnu, Livio ne savait plus ce qu’il faisait. Ce qu’il avait fait. Un instant allongé sur le dos, une diablesse lui arrachant ses plus beaux démons des lèvres avec sensualité le surplombant, l’instant d’après il était seul, tétanisé, glacé jusque dans la moelle par un manque ne se trouvant pas là précédemment. Seul au plus profond de sa chair, Icare en infamie souffrant d’une chute refusant de s’achever, il pouvait sentir son corps danser à la frontière de ses lèvres, menaçant de sauter hors de sa gorge. Attrapant son téléphone posé sur la table de nuit, le brun se roula en boule, pareil à un fœtus refusant la vie, alors qu’il composait le seul numéro lui venant en tête. « Allo ? Ara, c’est moi… »



Dernière édition par Livio Masaccio le Dim 24 Avr - 23:34, édité 3 fois
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Halyna Nabokov
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Halyna Nabokov

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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 11:05

TOI ICI ! now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 4228081930 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2867506033
Tu m'avais manqué tu sais, quand j'ai vu le nom de famille je me suis dis tout de suite que je te connaissais, et bnfhbhf je suis bien heureuse que tu nous ai rejoins, surtout avec un personnage comme ça (les Ucello c'est les meilleurs avec tous les groupes en fait now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 225179245) mais une victime on n'en a pas encore et ça c'est bien, viens avec moi on va former le club des exploités now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1598819460
Et rien que la première phrase est divine now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2003563851
Je veux la suite ! now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2579209541
Bienvenue chez toi now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 3260832282
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 15:11

J'adore ce genre d'accueil. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2867506033 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2649522668 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2579209541 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 459362272 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 3301814932
Néanmoins, avec ton pseudo je te reconnais pas du tout. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1284504042 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1993404564 Shame on me. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 677937683 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2003563851

J'espère que la suite sera à la hauteur de la première phrase. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 14883531 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 3238629106
Faut plus de victimes, c'est bien de se faire victimiser, on va faire un club pro-victimes. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 4042572647 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1978493442
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Altair Esterhazy
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Altair Esterhazy

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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 15:47

Toi ici now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 3301814932
De retour avec ton carpaccio à ce que je vois now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1840478431
Bienvenue, j'ai hâte d'en lire plus now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2867506033
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 15:51

Long live the carpaccio now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2978968014 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 903861302 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1978493442
Je suis là pour te pourrir l'existence, now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1840478431

J'écris, j'écris. J'aurais trop peur de te faire attendre. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 225179245 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2745651735
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Altair Esterhazy
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 16:01

C'est bien petit carpaccio, c'est bien now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 4260347001
Tu aurais trop peur que je te dévore, hein now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 459362272
Anyway, je viendrai te réclamer un lien now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 4042572647
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Melchiorre Donatello
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 16:02

bienvenue now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 505306283
un petit cabot à la botte des ucello now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 459362272
qu'il garde ses crocs derrière une muselière now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 3803038912
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Dim 24 Avr - 18:31

altair, prends pas la grosse tête quand même. Quand tu t'y attendras pas je viendrais te mordre les fesses. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1840478431 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2272051206

melchiorre, les seuls capables de me museler sont les Ucello, si tu t'approches je risque de te bouffer la main. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 225179245 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 14883531 A part ça, je suis un véritable amour. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2634659471 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1840478431
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Halyna Nabokov
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Lun 25 Avr - 8:49


TU ES VALIDÉ(E) !

BIENVENUE CHEZ TOI


A chaque fois tu me fais le coup quand même, faut arrêter les perfections à un moment donné parce que ça commence à devenir encore plus parfait, je crois que Livio c'est un personnage que j'aime énormément maintenant (les Ucello c'est bien, c'est même le clan génial tu ne pouvais pas mieux choisir now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2395651369). Toutes ces nuances que tu lui as apporté, cette dualité, et il est encore tout jeune, j'ai l'impression qu'il a vécu 50 ans de vie. C'est... non franchement j'ai plus de mot now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2003563851 La prochaine fois je te dirai qui je suis comme ça, tu viendras plus vite now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 459362272

On va dire que le gif est totalement en relation hein now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2272051206 Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pense à faire un détour par la LISTE DES METIERS. Tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu.

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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)
Lun 25 Avr - 11:35

T'as toujours le don de me faire rougir avec tes commentaires. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1078336339 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 2628182153 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 3577509411 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 652442127
Merci pour la validation! now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 14883531 Je vais de ce pas aller foutre le feu sur le forum. now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 198152450 now we're grown up orphan that never knew their names (livio) 1840478431
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Sujet: Re: now we're grown up orphan that never knew their names (livio)

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