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Auteur | Message |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 12:59 |
| Genesis, Leandre Caravaggio et de leurs yeux la pluie qui tombe. non moi ça ne m'émeut pas, mon cœur est pris par d'autres crimes. | nom : caravaggio. langue qui roule contre le palais, goût de cendres qui s'éternise entre les lippes. pilules glissées dans un manteau, poudre tendue sur un plateau, seringue remplie d'un rien. ce nom qui la suit et qu'elle se plait à perpétuer, rêves accordés le temps que les substances fassent effet. retour sur terre qui écrase le faciès contre le macadam, clients assoiffés de plus vertes contrées qui supplient l'une des triplées pour pouvoir encore s'évader. argent qu'elle amasse, billets et pièces trébuchantes perdus entre ses griffes, elle s'évertue à plonger davantage le monde dans la décadence. caravaggio, aussi doux et épais qu'un bon whisky, sirupeux et piquant sur les papilles en note de fin.▲ prénom : genesis. prénom à consonance british qui n'a rien à faire dans la famille caravaggio, et pourtant. maman a craqué sur le groupe homonyme et a souhaité l'affubler à l'une de ses filles. leandre, second prénom tout aussi anglais. genesis n'a jamais su pourquoi ces deux patronymes avaient été choisis mais elle ne s'en plaint pas, n'y réfléchit pas non plus. ▲ âge et date de naissance : vingt-cinq gélules offertes aux faibles d'esprits. vingt-cinq baisers refusés. vingt-cinq ans, âge qu'elle partage avec les deux autres triplets, âge qu'elle craint de voir toujours plus s'élever. jeunesse qu'elle contemple dans un miroir, telle une méchante reine à la pomme rougeoyante, jeunesse qu'elle cajole. et c'est tous les funestes 18 février qu'elle souffle les bougies, le sourire toujours moins grand de voir les années s'effriter. ▲ ton clan : depuis le berceau, son palpitant s'est vu emmuré encore chaud dans les desseins des caravaggio. petite princesse qui rêve de prendre la suite du patriarche alors même que son sexe n'est qu'un frein à son ambition, la brune n'a eu de cesse de se montrer digne de sa famille et de perpétuer la tradition. elle s'amuse, la joueuse de flûte, à se créer de fidèles adorateurs qui la contemplent de leurs yeux ronds, priant pour plus de cachetons. elle feint d'être clémente, offrant la dose de trop, ouvrant les portes d'un paradis interdit, alors que la faucheuse attend impatiemment le dernier soubresaut d'un myocarde usé par la poudre, les veines enflées d'avoir été trop malmenées. Ton rang : genesis, comme ses sœurs, n'est que trop bien placée dans cet empire. héritière du don caravaggio, elle n'a connu que luxe débordant, dégoulinant, vomissant. elle n'a connu que protection exagérée, disciples bien éduqués paniquant à l'idée d'être refusé par la gamine. poupée de cire, poupée de soie, elle ordonne et obtient l'objet de ses désirs.▲ statut civil : célibataire sur le papier, palpitant déchiré entre la loyauté et l'attrait qui la pousse toujours dans les bras d'un disciple ucello en réalité. la brune qui ne comprend pas ce qui la pousse à toujours rechercher la chaleur du masaccio, qui refuse l'arrivée de sentiments qui seraient déplacés et surtout non désirés. femme volage qui préfère goûter à différents parfums avant d'être obligée de se ranger.▲ orientation sexuelle : perdre ses doigts dans une légère toison qui contraste avec la peau crémeuse. s'amuser à redessiner les pectoraux, embrasser un nez aquilin, avoir l'intérieur de la main qui chatouille sous la caresse des cheveux coupés courts. avoir des mains larges qui enserrent son bassin, avoir des mains larges qui enserrent ses seins. les hommes et seulement eux. ▲ metier : petite fille aux allumettes qui distribue des bâtons de plaisir, des fioles remplies de rien et qui récolte le pactole. un quart voire la moitié de donné à la famille, le reste dans sa poche. pas de véritable métier qui demande des diplômes mais l'illégalité qui lui colle à la peau. ▲ situation familiale : maman dont elle se fiche éperdument, le frère aîné qui est souvent absent, les triplets qui se bouffent le nez et papa qui les prend dans ses bras. papa que genesis a toujours voulu rendre fier, papa qui a toujours été placé sur un piédestal. famille qui s'agrandit avec les oncles et les tantes, les larbins du don et dont la brune n'a que faire. papa sur le bord des lèvres, papa qui ne quitte jamais les pensées, papa qu'elle mourrait de décevoir. les liens qui sont forts, les liens qui risquent pourtant de se défaire avec les erreurs. rien n'est certain, et surtout pas l'avenir. ▲ traits de caractère : séductrice, impulsive, caractérielle, sanguine, intelligente, manipulatrice, subtile, sensuelle, calculatrice, intransigeante, insoumise, douce d'apparence, loyale, protectrice, distiguée, ambitieuse, trompeuse, éloquente, provocatrice parfois, épicurienne, trop calme, réfléchie. ▲ groupe : highway of endless dreams. ▲ crédits : tumblr-drugs effects ; rebloggy ; .sparkle |
| 01. miroir exalté. reflet qui rejette la jeunesse autrefois amie. temps qui laisse des marques au fer rouge dans la peau, fascination morbide pour le miroir allié. narcisse en devenir, princesse de cendres qui panique à l'idée de vieillir. 02. onirisme rêvé. imposteur qui s'improvise magicien d'oz au féminin, genesis qui distribue ses étoiles blanchâtres aux passants, les rend accros à son fond de commerce, non sans omettre les fournisseurs. caravaggio qui ne se cache pas de rendre les clients pantelants, tremblants pour obtenir le bâton d'illusions qui les enverra vers un autre monde. 03. l'ouroboros. serpent qui se mord la queue, poupée de soie qui vit à fond et souffre de ne pas pouvoir vivre plus. tic tac qui continue de vibrer dans l'esprit, danger qui rôde, happe le cœur désireux de tout vivre, de tout voir, de tout savoir. d'être omniscient, d'être omniprésent, d'avoir le pouvoir. 04. danseuse entre les doigts filandreux des fantômes. musique classique qui résonne, envahie l'espace, la pièce, l'esprit. gamine perdue dans ses songes, corps qui se meut, tête vidée. amour des notes, amour des mélodies qu'on ne fait plus. princesse de la pègre qui s'essaie aux instruments : piano, harpe, violon. cordes qu'elle aime à caresser. 05. cœur en cristal. arme toujours présente, cachée dans un sac à main ou planquée dans une jarretière, héritière qui se pavane sans garde mais qui a apprit à se défendre. pas d'expertise en maniement des armes mais une certaine expérience de celles-ci. idée qui l'a caressé d'aller trouver les ucello pour apprendre davantage, palpitant mortifié à l'idée de trahir le patriarche. 06. pantins de bois. amour des jouets, amour de la manipulation. petite fille prétend tout savoir alors qu'elle entre à peine dans la vie, bébé dans un monde de loup. intelligence qui la sauve toujours dans les pires situations, fascination de la loyauté envers sa famille. besoin d'avoir sans cesse un être dont s'occuper, un être qui ne vivra que pour elle. 07. déesse de la discorde. personnification d'eris, genesis qui souhaite voir sa famille écraser les autres et participe pourtant à son déclin. fraternisation, liens qui se créent avec d'autres. effroi lorsqu'elle saura, effroi lorsqu'il faudra faire un choix. 08. le vol de l'ange. loin des traditions viennoises, genesis faite douceur malgré les tromperies et coups bas qui s'enchainent. chaines qu'elle repousse d'ailleurs, amoureuse de liberté. vénérée des uns, crainte des autres, c'est le courroux de la princesse des cendres que l'on craint. douceur, calme placide, calme avant la tempête qui s'improvise tsunami. colère qu'il ne vaut mieux pas avoir causé, répercutions fatales et définitives. 09. princesse fantomatique. lorsque la lune est haute dans le ciel, la voilà, funambule, esprit alanguis et perdu dans la soie d'une étoffe collant à ses jambes diaphanes. somnambule qui vit ses rêves, avance dans le noir, le cœur paisible. traitement qu'il faut prendre, gamine agacée par les médicaments. alors la voilà qui recommence, se perd dans des dédales de couloir, se réveille les cheveux trempés par la pluie d'une florence déchainée. 10. myocarde prisonnier. ne jamais s'attacher. doctrine familiale qui musèle la réalité, sentiments annihilés. envie d'aimer qui pousse le palpitant à se rebeller, qui pousse la belle italienne à chercher le danger des familles opposées. inconsciente, elle pactise avec l'ennemi dans l'espoir vain de sentir le palpitant étreint par l'un de ses semblables. adolescente qui sommeille toujours en elle et qui se retrouve démunie dès lors que l'organe répond trop de sa présence. cœur à qui elle hurle de se calmer, qu'elle feint de ne jamais écouter. |
ton pseudo : santa klaus. ▲ ton âge : on se rapproche du quart de siècle et ça fait faire la grimace. ▲ ton pays : hexagonal. ▲ ta fréquence de connexion : souvent. ▲ comment t'es arrivé ici ? bazzart. ▲ ton avis sur le forum : il est beau et les plumes sont tellement belles... ▲ un commentaire ? je vous veux tous.
Dernière édition par Genesis Caravaggio le Ven 29 Avr - 22:36, édité 2 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 12:59 |
| Y'a plus que des cendres entre nous dis-moi est-ce que tu m'aimes ? est-ce que ça valait la peine ? j'en doute. | |
Princesse de cendres. La voilà qui descend l’énorme escalier marbré, sa main passant distraitement sur la rampe dorée. Sa robe coule le long des marches, déforme son corps longiligne. Pieds qui disparaissent sous les épais morceaux de tissu, la princesse de soie fait acte de présence. Il Don qui sourit de toutes ses dents, loup parmi les agneaux. Carnassier, le visage buriné, la beauté fanée, papa qui contemple l’œuvre de toute une vie. Genesis, l’une de ses triplets, celle qui fait tout pour lui ressembler. La brune qui s’empare d’un verre, va embrasser la joue du paternel et de la génitrice, avant de se mêler aux convives. Ustensiles nichés dans les pans des vêtements, poudre blanche glissée dans les verres offerts. Lippes qui s’étirent tandis que la voix s’élance : - Ce soir, c’est moi qui régale. Fête privée, fête mondaine. Musique qui résonne, alcool qui coule à flot. Princesse de la pègre, princesse de l’onirisme, elle se fait affable, offrant toujours plus d’irréel aux pantins désireux d’atteindre les mondes de merveilles.
La gamine aux boucles brunes s’avance, ne jette pas plus de regards à ses sœurs, à son frère ou à la femme qui l’a expulsée de ses entrailles. Elles ne comptent pas, n’ont jamais compté, ne compteront jamais. C’est vers le monarque que les prunelles s’alanguissent. De lui qu’elle ne cesse de vouloir être aimée, de vouloir égaler. - Qu’as-tu prévu ? Elle ronronne, minaude. Il Don ne fait jamais ce genre d’orgies d’éphémère sans arrière-pensées. Concurrents à faire tomber, à moins que ce ne soit pour davantage afficher la suprématie de la dynastie aux yeux des autres familles, serpents qui répandent leur venin. Grimace qui s’attarde sur la bouche rougie à la pensée de ces autres, ces indésirables. Drogues. Prostitution. Armes. Suprématie du sang. Les quatre facettes de Florence. Les quartiers partagés, l’ambition de vouloir tout s’approprier. Les guerres qui font rage, la peur qui enserre le palpitant rusé de l’aînée des triplets à l’idée que le père perde son influence, perde jusqu’à son essence. Discussion entre les rapaces, père et fille intéressés uniquement par la diffusion et la prospérité de l’empire dessiné. Intelligence partagée, tactiques élaborées. Poupée de soie qui se complait dans le palais du rêve décharné créé par les siens, Caravaggio aux sombres desseins. Sourire qui s’agrandit en voyant les veines piquées des uns, les narines ensanglantées des autres. Organes qui implosent de l’intérieur alors que guette l’overdose.
Fidèles qui accueillent la princesse de cendres comme le messie. Mains qui se perdent dans les étoffes épaisses, prunelles relevées vers le doux faciès, suppliques qui s’éternisent. - Mademoiselle Caravaggio… Un peu plus. Juste une dose. Ils s’exclament en cœur, poupées décharnées essayant sans cesse d’avoir davantage alors même qu’elles n’ont pas les moyens financiers pour ouvrir leur esprit sur de plus vastes contrées. Ils enragent, les pauvres drogués, d’en voir d’autres s’amuser. Si eux sont désespérés, à la recherche d’un peu de plaisir qui finira par les tuer, les disciples d’Il Don sont déjà perdus dans leurs rêves éveillés. Les corps qui se mêlent, dansent avec l’éternel, les rires qui résonnent alors que le palpitant pompe toujours plus afin d’accuser le coût des réalités emmêlées, certaines plus vraies que d’autres. Poupée de soie que tous rêvent de posséder. Poupée de soie que tous rêvent d’embrasser, d’embraser. Poupée de soie qui exalte d’être tant désirée, poupée de soie pourtant désemparée. Parce qu’il n’y a jamais assez. Parce qu’elle veut plus, tout le temps. Être davantage, aimer plus, vivre plus. Gamine effrayée à l’idée de ne plus être, de disparaître, alors que le temps glace son être…
Héritière de la pègre qui va désirer l’ennemi, l’un des sbires des Ucello. Héritière qui a toujours voulu être la première, se montrer digne de son rang, devenir plus puissante malgré le machisme de la société, et qui en vient à fauter. Langues qui se mêlent, corps qui se frottent, mains avides de caresses. Et la liasse de billets que toujours, elle lui laisse. La brune qui n’assume pas de le vouloir, lui, le pantin qu’elle appelle à sa guise. La brune qui ne cesse de le vouloir plus, prise à son propre jeu des dépendances. Elle n’est plus qu’envies… Envies de lui. Le myocarde est épuisé d’être trop sollicité alors qu’il ne l’était jamais. Le myocarde s’efface, l’esprit rationnalise. Elle ne ressent rien pour lui, ce n’est qu’un passe-temps. Animal blessé qu’elle essaie de rafistoler alors même qu’elle ne fait que davantage l’abîmer. Fil rouge qui relie les deux cœurs quand Genesis ne fait qu’essayer de le briser. Et à deux, ils commencent à exister. Et à deux, ils commencent à aimer. La vie, le monde, le reste.
Dernière édition par Genesis Caravaggio le Ven 29 Avr - 22:46, édité 5 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 13:05 |
| Cette nana est tellement... et une Caravaggio, dommage que tu sois chez les ennemis. Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche !! |
| | | Arabella Mastroianni Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 14:03 |
| Le pré-lien de mon petit Livio Fais attention à tes petites fesses Je mors pas, mais pour lui je peux faire un effort Sérieusement, ton avatar, les images, les titres, la plume, je meurs Trop de perfection Bienvenue et bon courage |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 14:44 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 15:59 |
| L'avatar, le clan, la plume, le personnage, tout est parfait Bienvenue parmi nous |
| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 16:19 |
| Ce choix de famille, puis l'avatar Bienvenue parmi nous |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 17:26 |
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| | | Halyna Nabokov Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 17:44 |
| C'est quoi cette plume de fou ? C'est pire qu'une plume de fou là, c'est la perfection ! Je suis verte de jalousie voilà ! Non mais... c'est beau, c'est tout ce que j'aime, tu as pris Léa en avatar aussi (ce mannequin je l'aime beaucoup, énormément ! ) et... et... LA SUITE !!! Je suis morte comme Livio en fait, c'est beau ! Bienvenue chez toi ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Mer 27 Avr - 21:24 |
| marta : mais c'est pas les ennemis voyons. allez viens, on envoie chier tout ça et on fait des enfants. arabella : comment ça, ton livio ? merci pour les compliments en tout cas, j'aime beaucoup ta plume aussi. nazario : rholala mortensen... craque sur moi, j't'en prie, j'adore ça. selene : c'toi la parfaite. merci. altair : ton pseudooooo ! la fan d'AC en moi ne pouvait pas passer à côté du pseudo. merci. livio le plus beau : ça te plaît ? mais je fais jamais du mal. et papa sera gentil. j'espère que le reste te plaira tout autant. en vrai j'me sens tellement pas à la hauteur de ta plume de guedin. jtm. halyna : toi aussi jtm, t'es belle et puis tu écris trop bien. mais genre toi qui m'dit que ma plume elle déchire, c'est genre woaw quoi. trop de compliments, je me meurs. merciiii. |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Jeu 28 Avr - 11:52 |
| je viens déposer foule d'amour pour tes mots il y a trop de plumes incroyables par ici, je me meurs et une petite caravaggio bienvenue |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Jeu 28 Avr - 22:26 |
| l'avatar, la plume, la famille, le personnage... tout est sublime, comment tu fais ? bienvenue parmi nous |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Ven 29 Avr - 22:38 |
| melchiorre : tu m'en vois fort flattée, d'autant que je meurs d'amour pour les tiens. rossana : j'copie sur toi. merci à vous deux. j'ai donc officiellement terminé ma fiche. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Ven 29 Avr - 22:59 |
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| | | Otto Bartolozzi Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume Ven 29 Avr - 23:54 |
| je viens après la guerre, je finis de lire bientôt, c'est promis, me reste l'histoire, je me garde un peu de suspens. quel personnage, quelle plume. bienvenue même si on a déjà fait connaissance. |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Trop de sang dans l'écume |
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