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Sorcha Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Alchimie de la douleur Mar 17 Mai - 22:20 |
| Sorcha Donatello une citation pour mettre dans l'ambiance. | nom : Il résonne sur les lèvres fragiles, Donatello entends-tu les hymnes valsant entre les mouvements féeriques, Donatallo chuchoté quand la vierge épouse, agenouillée, l'amour du père royal. Il flotte un embrun de poussière mêlé de sang des nymphes écartelées, celle préservée, née sous l'alcôve d'une bénédiction. ▲ prénom : Sorcha babille des légendes lointaines dans le pays des contrées boisées, des vertes prairies et des mers nostalgiques ; l'enfant murmure le prénom, tête baissée, humble prénom chanté. ▲ âge et date de naissance : Vingt deux perles nacrées sur ses paupières violacées, l'enfant montre une maturité illuminée de sainteté, et cette azure d'innocence dans ses yeux troublés. ▲ ton clan : Héritière d'un clan exploitant les corps, misogyne et fracassant, elle se trouve dans l'au-delà d’exigences impitoyables, la jeune fille obéit, tourmentée, dévouée. Princesse des Donatello, figure stellaire. ▲ Ton rang : Dernière, promise dans les vices florentines, enfant du don, elle promet sa vie pour sa famille. ▲ statut civil : Fiancée peut-être, la bague ne chevauche l'annulaire pour l'instant mais les paroles autoritaires du père résonnent dans l'esprit de l'étudiante, d'un héritage, un mariage également. ▲ orientation sexuelle : Amoureuse de l'intelligence, de la beauté plutôt que d'un physique obscène, dégoûtée de la corporalité, elle se dit asexuée, on la dit prude, non intéressée. ▲ metier : Ballerine voguant dans les sphères de ballets et de premiers rôles offert pour la grâce et la fragilité, tantôt cygne blanc, Odile soumet Odette dans une danse passionnée, Marie embrasse le front de Casse Noisette. Musicienne, elle compose dans le secret d'une antre charmante, des disques secrets d'un pseudonyme brisé. ▲ situation familiale : Benjamine d'une famille royale, il y a le père aimé, puis la mère décédée, les trois frères observés sans particulièrement s'en approcher, c'est l'unique bijou féminin venant créer une fierté paternelle. ▲ traits de caractère : Naïve - Froide - Silencieuse - Charmante - Concentrée - Intransigeante - Ferme - Loyale - Renfermée - Introvertie - Passionnée - Autodestructrice - Se veut parfaite - Se met la pression. ▲ groupe : Skin of the night ▲ crédits : Sugar Slaughter, tumblr. |
| DOULEUR DEMONIAQUE • Se tait l’enfant dans les peines abyssales, Sorcha semble de ces filles de feu d’un Nerval amoureux, danseuse sublime aux tissus vaporeux, elle a les pieds décharnés d’avoir bougé comme Salomé, la douleur pénètre ses membres, elle retient les poignards dans ses veines, autodestruction de la fillette, elle sent couler dans le cœur un effervescent plaisir quand il s’agit de briser l’âme, son âme. • TALENT DES MUSES • Elle touche aux matières diverses, aux domaines variés, la jeune fille peint, coud, dessine, photographie, écrit, elle sait sculpter sa silhouette dans le linceul de la maigreur, elle sait distraire d’une discussion partagée lors des soirées organisées, elle sait, douée, écouter, voler les connaissances des ainés, pour forger l’âme dans le charbon d’une intelligence, d’un monde fabriqué. • MYSTERE D’UNE SORCIERE • Auréolée d’une aura inatteignable, c’est l’effarouchée biche qui plante ses iris dans les jumeaux de l’humanité, silencieuse poupée qui garde ses mots, elle parait froide sous des allures de vierge concentrée. • DANS LE JARDIN DE L’OGRE • Les hommes, êtres d’admiration pour l’esprit de la sauvage enneigée, elle tremble quand les mains charnues s’approchent de son épiderme glacé, d’un art ténébreux, d’un art amoureux, elle n’est pas concubine elle est la vestale d’une ignorance achevée. • SUBLIME AGONIE • Anorexique, le mot tonne dans les voix cruelles de certaines matrones, femmes jalouses au passé négligeable, vieillies par des rides répugnantes, l’enfant voue un culte à la jeunesse printanières, admire les poupées de son sexe. • GENIE DIVIN • Elle a passé son diplôme, deux années d’avance, dans sa classe, l’ange reflétait une douance voilée, car l’enfant est humble, elle cache ses capacités. Une femme se doit d’être inférieur, partout où elle vagabonde, obéissante et dévouée. • INTRISANGEANTE VIERGE • Elle joue des particules de dureté, l’héritière infante, vierge incandescente, étroite de principe appris dans les voutes d’une cathédrale bénie, les paroles de dieu tintent dans ses veines à chaque action faite. • BEAUTE SACREE • Un culte à sa beauté, à sa peau de lait, d’atour précieux elle se couvre non par vanité juste pas plaisir de l’esthétisme, hédoniste malicieuse, elle reste des heures face à la robe qu’elle devra parer sur ses épaules chétives, toujours la dentelle, la mousseline, la soie restent ses tissus favoris. De jupes délicates, de robes enchantées, rare sont les fois où elle doit s’arquer d’un pantalon. • EXQUISE NAIVETE • On lui chante des gourmandises de mensonge qu’elle croit sincèrement, de plusieurs la considère candide, la vérité peint sur ses traits et ses agates brûlantes d’une enfant ivre d’histoire, il est étrange qu’une si intelligente fille soit victime de croyances ineffables. |
ton pseudo : Neon Demon (j'en change mais celui là c'est le dernier ) ▲ ton âge : 23 ans dans deux semaines ▲ ton pays : Delacroix et Hugo ▲ ta fréquence de connexion : Tous les jours, je suis scotchée genre comme une sangsue ▲ comment t'es arrivé ici ? Le messie ▲ ton avis sur le forum : tellement moche que j'y reste collée ▲ un commentaire ? Je sais bien que je suis une grosse faible !
Dernière édition par Sorcha Donatello le Dim 12 Juin - 13:50, édité 3 fois |
| | | Sorcha Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Mar 17 Mai - 22:21 |
| Beauty is terror citations pour faire classe, pour entrevoir. | |
L’enfant, dans les bras d’une mère au regard incandescent, à la gorge fragile d’une mannequin déchue, au visage opalescent beauté funambule, touche les joues froides de pleurs, l’incompréhension baigne les paroles de la jeune pousse, ses cheveux nacrés, d’un blanc des neiges du nord sur son front immaculé, elle sèche les perles humides de la femme ainée, de la protectrice, d’un univers autrefois subjugué d’un soleil ravi, la petite fille observe, elle sent plus qu’elle ne pense. « Pourquoi tu pleures maman ? C’est encore papa ? C’est Milo ? » demande-t-elle, innocent chérubin à la voix de cristal évaporé dans l’immense chambre d’un luxe encensé, sur la table de chevet lustrée trône conquérant, ouvert, un carnet de cuir où les esquisses de visage poupins reflètent le désespoir, l’on voit dans leur iris d’encre et de papier des effluves de peurs. Tôt cette matinée, quand l’aurore virevoltait dans un nuage de poussière Florentin, ses rayons orangés flirtant sur les toits, elle est entrée dans le bureau sacré, d’un monarque ignoré, d’une figure monstrueuse tantôt père glacial, père sublime, pie voleuse, pie curieuse, elle cueillit le méfait, dans un lit de soie elle se mit à observer, regarder les êtres immobiles, les faciès tremblant d’une terreur indicible, elle posa ses doigts sur le cuir manipulé. Melchiorre, c’est son prénom qui rougeoie dans le crâne de la gamine chétive, jolie déjà d’une silhouette exquise. « Il a fait quelque chose de mal ? Papa ? » Car la mère, plus tôt, a pris l’objet du vice, du crime, dans un cri effarouché, aux notes mêlées d’horreur se brouilla dans la colère florissante, des mots orduriers bourgeonnèrent sur les lèvres pailletées, Sorcha n’aime pas que l’on dise du mal de papa, car papa, bien qu’elle ne le rencontre jamais, papa trouve les mythologies, l’imagination d’une petite fille dans son ombre. Elle s’enfuit Sorcha, loin de l’hystérique amoureuse, près d’un guerrier à qui, sur ses genoux elle chuchote à l’oreille « J’ai pris ton carnet qui était sur ton bureau, je voulais voir parce que je te connais pas. Mais maman… maman elle a découvert et elle a dit qu’elle te quitterait, qu’elle m’emmènerait. On ne se verra plus ? » C’est au lys timide de verser dans le calice d’un cauchemar des pluies de détresse.
Le vase resplendit dans son diamant offert, l’unique fleur exhale son parfum divin, le nez s’avance pour voler quelques senteurs sucré, l’ange habillée d’une pièce sur mesure, d’une robe épousant les formes épanouit d’une adolescente convoitée, elle a les courbes généreuses d’une beauté blanche, d’une beauté délicieuse des souveraines évanescentes, le voile tremble quand elle s’assied sur le sol moquetté, sur le canapé de cuir elle effleure de ses mains de marbre, sa joue sur la matière indésirable, il lui a demandé de poser pour lui, dans l’intimité d’une chaleur ardente, quelques heures volées dans l’immobilité. Elle a l’habitude la ballerine surdouée, seize ans et déjà le talent des croquis sur les grains de fusain, des poèmes sur les marges des cahiers, d’un corps mouvant aux gestes fluides, Hespéride gardienne des pommes d’or pour le désir masculin, créature parfaite auréolée d’un mystère inaccessible. Elle ne s’engage jamais dans les baisers de la jeunesse printanière, jamais elle n’a convolé dans les draps défaits, froissés, jamais elle n’a invité une amie au palais, jamais elle n’a désobéit au paternel, jamais elle n’a glissé l’irrévérence et la rébellion d’une jeune fille outragée. « Je peux dormir avec toi ce soir ? » L’on chuchote que l’ange se donne dans les vices impardonnable, l’on murmure que l’ange offre de sa carne pour le plaisir passion d’un homme charmant, d’un homme à la chair similaire, l’on calomnie la pureté de la tendre ingénue, fillette des cieux transporté dans l’écrin d’un corps jouvence. Quand elle voit l’époux se pencher sur sa feuille elle ferme ses paupières, quand elle contemple les veines vieillies, ensorcelées de charisme elle sourit. Sur son épaule elle sent la poigne, elle se relève, membres douloureux d’une fixité habituelle, le geste naturel de phalanges nacrées embrassant la barbe naissante d’un Dieu, sur son torse elle vient se blottir, une caresse, des bras entourant, protecteurs la fine gracile. « Juste dormir s’il te plait. Rien d’autre. »
Dernière édition par Sorcha Donatello le Sam 11 Juin - 22:26, édité 3 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Mar 17 Mai - 22:49 |
| Encore une beauté au compteur. J'adore fufufu, elle est bien mignonne la cadette des Don'. Re-re-rebienvenue du coup ! |
| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Mar 17 Mai - 23:12 |
| SORCHA. J'ai envie de regarder Willow maintenant Anyway, super choix de famille Re-bienvenue chez toi |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Mer 18 Mai - 14:16 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Mer 18 Mai - 14:23 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Mer 18 Mai - 22:39 |
| QUE TU ES FAIBLE. QUE TU ES BELLE. |
| | | Otto Bartolozzi Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Jeu 19 Mai - 17:45 |
| Soyons deux dans la faiblesse belle créature ! rewelc' |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Jeu 19 Mai - 21:14 |
| LA SISTA' !! La belle ! Je te l'ai déjà dit, mais j'adore le pseudo choisit ! Et pis, la famille quoi ! J'ai hâte d'en lire plus sur cette miss parfaite |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Jeu 2 Juin - 13:13 |
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| | | Sorcha Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur Dim 12 Juin - 13:51 |
| Un mois pour faire une fiche Je suis genre la pire des tortues Merci pour vos bienvenues ! |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alchimie de la douleur |
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