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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Ven 8 Juil - 22:57 |
| Alisha Kapoor You can't wake up, this is not a dream, you're part of a machine, you are not a human being. | nom : Kapoor. Un nom somme toute assez commun dans la région du Punjab dont ses parents sont issus. Son nom de jeune fille, qu'elle a repris après la mort de son mari.▲ prénom : Alisha. La protégée. Un prénom dont la signification lui évoque une triste ironie. ▲ âge et date de naissance : 18 novembre 1985, elle avance doucement vers ses 31 ans. ▲ ton clan : Les canons des Ucello sont pointés sur elle, et malgré sa démarche fière, elle se sent comme la condamnée qui dérive vers la chaise électrique. ▲ Ton rang : Aussi longtemps que son sourire tiendra, elle sera outsider. Elle est simplement la veuve de, dont on respecte le deuil de loin, mais à la première fausse note, elle a peur qu'ils la soufflent d'un vent de chaos. ▲ statut civil : Veuve. Et si la compassion vous tord le visage, c'est que l'illusion tient parfaitement. Bien souvent, c'est la veuve qui a appelé la Mort. ▲ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. ▲ metier : Dans ses jeunes années, elle a été étourdie par des promesses de grandeur, de cinéma, de renom, mais on lui avait caché qu'elle n'était bonne que pour les apparences. Très longtemps, elle n'a été qu'une parure, un sourire aux dents parfaites à qui on ne demandait même pas de parler. Aujourd'hui, elle inverse la donne, elle martèle de sa force. Reconnue femme du monde et active dans des oeuvres de charité, elle fait ses premiers pas comme présentatrice à la télévision.▲ situation familiale : Presque vendue par ses parents, Alisha ne peut compter que sur elle. Et maintenant confortablement dotée, baignant dans l'argent hérité à la mort de son mari, elle peut se permettre de penser à elle. Sans enfants, elle accuse son mari de stérilité alors même qu'elle a caché deux grossesses avortées. ▲ traits de caractère : Véritable serpent égoïste ou femme au pied du mur ? Alisha est l'anti-manichéisme pur, elle vit dans des nuances de gris. Rien de ce qu'elle fait n'est motivé par la raison, elle avance simplement avec l'idée que maintenant, c'est son tour, maintenant, c'est tout pour elle. Et maintenant, elle aimerait vivre mais personne ne lui a appris à faire. Jusque-là, elle s'était contentée d'observer, de figurer dans sa propre existence, laissant aux autres le soin de faire des choix. Ses propres initiatives sont souvent grandioses ou dévastatrices, elle n'est pas encore prête pour la subtilité ou la demi-mesure. Un mystère même pour elle-même, Alisha se découvre tous les jours, caresse ses zones d'ombre avec une certaine affection. Parfois elle est au bord du précipice, parfois elle court vers le sommet, c'est un bateau ivre et le capitaine est fasciné par les eaux tumultueuses. Elle est loin d'être calculatrice, loin d'avoir un tel pouvoir, ce qu'elle fait de pire, elle le puise dans une source de frustration, un fleuve qui déborde. Elle persuadée qu'il existe un jeu géant, et elle essaie d'en comprendre les règles. Elle peaufine sa stratégie, parfois capricieuse, parfois séductrice, elle ne se rend pas compte qu'elle perpétue l'ironie de son existence, en tentant si ardemment à comprendre sa vie, encore une fois elle passe à côté.▲ groupe : Strong and wasted ▲ crédits : Carole 71 (avatar) |
| I. Aussi vain que cela puisse paraître, une grande partie de son rituel matinal est consacré à ses cheveux. Son premier atout, ses biens précieux, presque sacrés. Et plus ils sont longs, plus elle se sent forte. II. Élevée dans la tradition Sikh, la jeune femme se sent pourtant infiniment plus italienne, ses idoles et références préférées sont issues du monde occidental. Mais il arrive aussi que pour le spectacle, elle se pare des nombreux bijoux et des saris de la tradition. Une touche d'exotisme que son entourage apprécie, mais toujours avec une pointe de supériorité, un peu comme on regarde le plus bel animal du zoo. III. Son défunt mari avait une fille, à peine plus jeune qu'Alisha. Cette dernière ne se sent pas à l'aise dans ce rôle de belle-mère, mais plus que jamais elle entretient leur lien. Contente de son confortable héritage, sa belle-fille n'a pas l'air de pâtir de la mort de son père et soutient Alisha. IV. Ci et là, elle porte encore les stigmates de ce mariage, des coups et blessures délivrés au nom de la terreur, par un mari devenu violent avec le temps. V. Elle ne se l'avouera pas, mais malgré son ascension vers l'indépendance, elle demeure sensible à ceux qui savent tirer sa corde sensible. Elle aura beau tenter de nager vers des horizons opposés, elle reste toujours la proie idéale aux vils manipulateurs. Dans sa quête désespérée d'un instinct de survie, elle rejettera tout en bloc, mais il suffira d'un tentateur plus acharné que les autres pour qu'elle repasse la corde autour de son cou. VI. Elle vit sur l'héritage confortable de son mari, mais il ne s'agit pas non plus d'une fortune colossale. Cependant, l'argent ne semble pas être son objectif final, elle ne rêve pas d'océans de billets. Alisha, elle rêve plutôt de se retourner un jour et de sourire en disant : "Ça, c'est mon empire." Elle rêve qu'elle est indispensable, elle rêve qu'elle est dangereuse, que c'est une femme fatale, pour laquelle on traverserait un désert. Au lieu de tout cela, elle se languit tout en bas de la colline, ignorant totalement par quel chemin grimper. VII. Longtemps, elle a multiplié les activités artistiques, tentant de faire jaillir un talent qui lui fait cruellement défaut. Ses capacités sont tristement banales et elle a peur de devoir admettre un jour qu'elle n'a rien d'exceptionnel. Pas bonne en dessin, pas bonne en peinture, moyenne au piano, pas fabuleuse au violon, une voix simple mais pas mémorable, il n'y a qu'à la danse qu'elle se démarque légèrement mais sans plus, elle cherche quelque chose auquel se raccrocher. Un jour, il a dit qu'à défaut d'être une grande star, elle était très bonne courtisane. Cette phrase s'est marquée au fer rouge dans sa mémoire. VIII. Elle fait ses premiers débuts à la télévision locale en tant que présentatrice météo. Mais son sourire irréprochable lui fait de plus en plus gagner des points et elle pourrait très bientôt signer pour une émission. En attendant, elle tente de se faire bien voir, participe à des oeuvres caritatives, visite des foyers, des soupes populaires, s'achète le coeur des opprimés en espérant toucher aussi celui d'un public plus large. IX. Ce n'est qu'à son enterrement qu'Alisha a découvert que son mari trempait avec la mafia. Il participait aux activités des Ucello, finançait, blanchissait de l'argent, menaçait qui on lui demandait de menacer, sévissait si besoin et il se cachait derrière l'image du prestigieux homme d'affaires. Elle sait depuis qu'elle est dans le mire des barons de la guerre, estampillée comme une propriété lointaine, possiblement utile un jour. X. Autodidacte, la protégée a comblé son éducation sommaire par de nombreuses lecture et une impressionnante bibliothèque. Mais sa culture ne s'étend pas au-delà de la littérature. Elle patauge quand il s'agit des terrains de l'art ou du cinéma mais ne veut pas se résoudre à troquer son amour des auteurscontre des visites dans des galeries d'art ou des heures de visionnage.
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ton pseudo : Heda ▲ ton âge : Bientôt 22 ans▲ ton pays : France ▲ ta fréquence de connexion : 4/7 ▲ comment t'es arrivé ici ? Bazzart ▲ ton avis sur le forum : Ma chérie, ma chérie c'est magnifaïïïque ! ▲ un commentaire ?
Dernière édition par Alisha Kapoor le Dim 10 Juil - 13:46, édité 7 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Ven 8 Juil - 22:58 |
| Too fast for freedom These chains never leave me I keep dragging them around | |
Les mots renferment bien des choses. Des promesses et des émotions qu’on pense pouvoir exprimer sans vraiment en subir les conséquences. Mais un jour, les mots finissent par imprégner les hommes, par les submerger, dans un rappel à l’ordre nécessaire. On ne peut pas parler sans cesse et sans réfléchir car les silences ont une portée toute aussi puissante.Il avait dit être fou d'elle. Il l'avait appelée « belle enfant. » Belle enfant. Enfant. Ce n'était qu'une toute jeune fille, naïve, facilement manipulable, animée d'un désir unique, celui de quitter la ferme familiale et cette vie. Se glisser dans la peau d'une autre, dans la peau d'une femme. Le matin devant son miroir, elle travaillait sa pose, son accent, s'exerçait pour avoir l'air sophistiquée. Elle souriait et il disait qu'elle était belle, que le monde devait tout à des beautés pareilles. Et elle aurait le monde, les bijoux, les flash, l'attention, la grandeur, la gloire et tout tournerait très vite et elle même virevoltait dans sa robe neuve jusqu'à s'effondrer sur son lit, étourdie. Des perspectives d'avenir, de richesse et de voyage, il n'y avait rien de plus simple pour corrompre la petite jeune qu'elle était. Dix-huit ans. Et peu importait qu'il fut de vingt ans son aîné, ses parents fermaient les yeux, la main tendue vers la bourse pleine d'argent. Et si... Et si je pouvais être une grande femme ? Elle était partie sans un regard en arrière. Florence c'est magnifique, qu'il disait. Il n'y a que du beau monde là-bas. Tout ce qu'il faut pour une belle femme. Et il insistait, lui répétait combien ô combien elle était un bijou. Elle ne savait simplement pas bien interpréter à l'époque. Tout était allé très vite, cette partie-là était vraie. Il l'avait portée de soirée en soirée, lui avait présenté du beau monde, l'avait exhibée comme sa dernière trouvaille. Le joyau le plus brillant. Ne te soucie pas des regards qui jugent, ils te respecteront quand je serai un grand homme. Et les yeux plein d'admiration elle répondait qu'il était déjà un grand homme. Pour elle, richesse amenait noblesse, richesse amenait force et respect. Il lui disait qu'il serait encore plus grand, qu'il jouerait bientôt avec les rois. Elle ne comprenait pas, se contentait de sourire. Le résumé de sa vie. Et les jours s'égrenaient, et les mois se succédaient mais rien ne venait. Et ma grandeur ? Et ma grandeur, chantonnait-elle. Il la calmait d'un geste. Ça viendrait. Un jour. D'abord, donne-moi un enfant. Elle balbutiait, se défilait, pointait la fille qu'il avait déjà, et il se mettait en colère. Un fils, il aurait un fils, dut-il l'arracher de ses entrailles. Un grand homme devait avoir un grand fils, quelqu'un à qui tout remettre. Et si elle voulait être une grande femme, elle devait accomplir son devoir auprès de lui et lui donner cet enfant. Elle courbait l'échine, vaincue. Et si... Et si ça ne venait jamais ? Et un jour, c’était arrivé. Elle venait à peine d’avoir vingt-et-un ans que quelque chose poussait déjà dans son ventre. Et s'il l'apprenait il dirait qu'il en voudrait d'autres, plein d’autres, qu’elle était faite pour tous les porter. Et elle avait eu peur. Parce que c’était trop. Elle n’avait pas l’impression de vivre une vie digne de ce nom, alors comment pouvait-elle prétendre en offrir une à quelqu’un d’autre ? Chaque nausée était une angoisse de plus, elle guettait avec appréhension son estomac comme s’il allait se déformer tout d’un coup. Elle ne pouvait pas le faire et ne s’en sentait pas capable. C’était sa petite rébellion, refuser cet enfant était la liberté qu’elle allait reconquérir. Elle allait s’en débarrasser. De lui, de tous les autres qui viendraient ensuite. Et c’est ce qu’elle avait fait. Elle s’était empoisonnée avec des médicaments achetés au noir. Jamais il ne l'apprit. Il s'acharnait pourtant. Et elle redoublait d'excuses, disait qu'il vieillissait, disait que ce n'était pas la bonne période, disait qu'il la stressait trop, une mélodie de mensonges. Et il en arriva un deuxième, et ce fut le même cinéma. Ils dévalaient la pente. Dans la vie, il faut valser, et la valse, ça se danse à deux. Mais l'un des danseurs est trop vif et l'autre s'égare. Ils entrent en collision, s'écrasent et ça commence par quelques bleus. En l'absence d'un petit danseur, elle était devenu dispensable aux yeux du loup. Alors il la délaissait, rentrait de plus en plus tard, ne la regardait que pour assouvir ses pulsions primaires, elle était devenue un objet dans sa collection d'art. Dispensable. Et la fleur se fanait. Les rêves s'éloignaient rapidement et le gouffre devenait infranchissable. C'est là qu'elle avait compris. Il s'était servi d'elle, l'avait diminuée, ne cherchait en elle que de la compagnie docile et agréable et surtout, de la belle compagnie. Et la rage lui faisait plier poing. Elle s'acharnait sur les miroirs. Ô miroir, ne suis-je là que pour être jolie ? Et il lui semblait entendre la vie se gausser, le doigt pointé vers elle. Elle n'était qu'une plaisanterie. Alors les jours s'allongeaient, les mois n'avaient plus de saveur. Parfois, elle dépérissait et cela le fâchait davantage. D'autres fois, elle provoquait des crises, crachait le fiel de sa frustration qui s'accumulait. Elle le traînait dans la boue et il la faisait taire en la frappant. Il trouvait en elle un nouvel exutoire à sa violence, une violence qu'elle même découvrait tout juste et qu'elle craignait être sans limite. Il la dépouillait. Dignité, honneur, liberté, tout s'évaporait sous la chaleur de la colère de l'homme. Et elle le lui rendait au centuple, menaçait de l'exposer, de partir et de raconter au monde entier qu'il n'était qu'un porc, qu'il n'était qu'un salaud. Elle se voyait approcher dangereusement la date de péremption et cela la rongeait, lui dévorait l'intérieur, grignotait sa raison. Une autre toute jeune fille prendrait sa place, se laisserait étourdir par les promesses et peut-être qu'elle ira plus loin encore, peut-être qu'elle lui donnera un enfant. Les années ensembles ne comptaient plus, il arrive un moment où la femme prend son chemin. Voyez, les femmes finissent toujours par recourir à l’extrême, car il existe dans ce monde des hommes qui n’aiment pas les femmes et qui ne s’en cachent pas. Ils ne tiennent pas compte de douze ans de mariage, ne s'intéressent pas à la fidélité de leur épouse, ils voguent sur leurs flots viciés vers des ports plus prometteurs. Et un jour ils se disent que leur belle acquisition, cette belle enfant d'autrefois, n'est plus qu'une farce qui a trop longtemps duré. Et au moment où cette pensée traverse leur esprit, il est trop tard. Ils s'étouffent, agrippent leur gorge, sentent le une brûlure qui châtie leurs entrailles. Là, en plein milieu du dîner, ils s'effondrent et perdent la vie. Les convives s'agitent, la femme crie sa douleur et accuse le monde. Qui a fait ça ? Qui a fait ça ? Et les larmes viennent mouiller le corps du défunt. On l'écarte, mais elle est hystérique. Peut-être bien qu'elle a du talent finalement, du talent pour le drame, pour le mensonge. Les langues des invités se délient, on blâme la mafia évidemment, le fléau de cette ville, la cause de tous les maux, la source même du vice, des maladies, des malheurs de chacun. Et quand la femme se retrouve seule, elle chante, laisse éclater son audace. Elle a tué un homme, elle sait le faire et elle s'en sort ! Alors elle virevolte sur elle-même, chante ses louanges, chante sa nouvelle vie qui s'ouvre à elle. Un rire dément lui échappe de la gorge, elle festoie et pleure, enchaîne les prières et les mantras, des litanies qui perdent en sens. Libre, elle est libre. Ci-gît Renzo Marino, et avec lui, Alisha Marino, la belle enfant, la douce plaisanterie qui aura duré douze ans. La veuve se retourne, savoure son nouveau statut. Elle sourit, mais pas trop, doit paraître forte mais tout de même dévastée. Et quand le temps viendrait, elle bâtirait son propre empire, une pierre après l'autre. Et si... Et si je pouvais être une femme indépendante ? - Chronologie:
▲ 18 novembre 1985 - Naissance d'Alisha Kapoor dans une ferme des plaines du Pô où est installée une grande communauté de Sikhs. Ses parents travaillent également dans l'agriculture. ▲ Février 2003 - Elle rencontre Renzo Marino, un homme d'affaires dans l'industrie du luxe. Il est aussitôt séduit par la jeune Indienne et il la courtise jusqu'à ce qu'elle craque. Il lui promet qu'elle sera célèbre, et elle se laisse naïvement avoir. ▲ Décembre 2003 - À peine majeure, elle épouse Renzo et il s'installer à Florence, où il siège et où il cherche à se faire une place de choix dans la mafia. Il travaille pour les Ucello. ▲2007 - Elle tombe enceinte de Renzo mais ne veut pas de cet enfant, elle avorte clandestinement sans lui toucher un mot. ▲ 2009 - Elle tombe enceinte une deuxième fois et reproduit le schéma du premier. ▲ 2010/2015 - Renzo commence à se lasser d'elle et les mauvais traitements commencent. Psychologiques d'abord, et physiques ensuite. Il devient de plus en plus violent quand il est là, s'absente également mais la garde sous surveillance. Il multiplie les infidélités et elle le sait. Elle-même est en colère, elle se venge comme elle peut, l'accable quand il est là, elle alimente la violence comme on jette du bois dans le feu. ▲ 2015- Poussée à bout, craignant pour sa pérennité en tant qu'épouse Marino, Alisha empoisonne Renzo dans un dîner d'affaires. Le caractère public de l'événement et la position grimpante de Renzo encouragent les gens à croire qu'il s'agit d'un règlement de comptes avec la mafia. De même, l'appuie de la fille de Renzo éloigne tous les soupçons qui auraient pu peser sur Alisha. ▲ 2016 - Elle reprend son nom de jeune fille dans l'optique de commencer une nouvelle vie, une carrière.
Dernière édition par Alisha Kapoor le Dim 10 Juil - 12:35, édité 3 fois |
| | | Quinto Ferrari Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Ven 8 Juil - 23:03 |
| Ucello et cette beauté, maaah. Ton mari est bien où il est. - Citation :
- ▲ metier : Dans ses jeunes années, elle a été étourdie par des promesses de grandeur, de cinéma, de renom, mais on lui avait caché qu'elle n'était bonne que pour les apparences. Très longtemps, elle n'a été qu'une parure, un sourire aux dents parfaites à qui on ne demandait même pas de parler. Aujourd'hui, elle inverse la donne, elle martèle de sa force. Reconnue femme du monde et active dans des oeuvres de charité, elle fait ses premiers pas comme présentatrice à la télévision.
J'me permet de citer parce que c'est beau. Genre vraiment. Donc, désolé de baver partout mais t'es tellement belle que ça va être compliqué. J'exige un lien, on trouvera bien avec Otto, qui sait. Bienvenue Bon courage pour la suite de ta fiche ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Ven 8 Juil - 23:31 |
| Han my love, très contente de te compter parmi nous Ce personnage me plait beaucoup et ta plume bienvenuuue et réserve moi un lien |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Ven 8 Juil - 23:38 |
| - Quinto Ferrari a écrit:
- Ucello et cette beauté, maaah. Ton mari est bien où il est.
- Citation :
- ▲ metier : Dans ses jeunes années, elle a été étourdie par des promesses de grandeur, de cinéma, de renom, mais on lui avait caché qu'elle n'était bonne que pour les apparences. Très longtemps, elle n'a été qu'une parure, un sourire aux dents parfaites à qui on ne demandait même pas de parler. Aujourd'hui, elle inverse la donne, elle martèle de sa force. Reconnue femme du monde et active dans des oeuvres de charité, elle fait ses premiers pas comme présentatrice à la télévision.
J'me permet de citer parce que c'est beau. Genre vraiment. Donc, désolé de baver partout mais t'es tellement belle que ça va être compliqué. J'exige un lien, on trouvera bien avec Otto, qui sait. Bienvenue Bon courage pour la suite de ta fiche ! On est d'accord, il est bien là, dans son bain de boue éternel. Merci pour tes compliments & t'inquiète, moi aussi je me bave un peu dessus, je suis plus à ça près. #Outaimodestieoutai & of course on aura autant de liens que tu veux, je demande que ça MON AMOUR Va absolument falloir qu'on se trouve un lien qui pète tout J'ai une piste en plus, je te dirai en pv quand j'aurai réglé les derniers détails avec Alisha. |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Sam 9 Juil - 8:17 |
| bienvenue je pose mon amour dans le coin, la tente et tout le début de ta fiche (la plume ), et ce personnage que tu façonnes! j'aime diablement tes idées. cette nana qui s'élève sur les cendres de son époux, ça promet |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Sam 9 Juil - 15:06 |
| Je ne vais que citer mes vdd mais c'est un très beau début de fiche Bienvenue, bonne chance pour la rédaction de ta fiche |
| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Sam 9 Juil - 16:52 |
| Bienvenue parmi nous, et bon courage pour la suite de ta fiche |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Sam 9 Juil - 20:03 |
| Mel > Wow, l'Empereur des cuisses légères qui campe dans mon jardin avec amour ? Je suis flattée Merci en tout cas, j'espère que la suite plaira autant ! Narcissa > /bave un peu sur Charlize au passage/ Merciiii ! & vu ton nom, on va peut-être pouvoir plancher sur un lien sympa Altair > J'ai vu Oscar Isaac, direct j'ai su que c'était toi. (Salome ici présente) Merci ! |
| | | Celestina Ucello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Dim 10 Juil - 12:14 |
| L'empereur des cuisses légères, mais non elles sont forcées pour la plupart J'adore ton personnage, je suis fascinée par ton personnage, c'est pas commun une veuve noire comme tu nous le fais, c'est fourbe aussi, au début je pensais vraiment qu'elle était une femme au foyer, martyrisée par son mari et en fait c'est elle c'est qui martyrise son mari J'ai bien hâte de voir ce que ça va donner mais je sens que ça va être génial ! Bienvenue chez toi |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Dim 10 Juil - 12:42 |
| Oh la la, je vais rougir Je suis touchée par ce que tu dis, et j'espère que la suite de l'histoire te plaira également. Je te laisse découvrir si tu as vu juste avec la petite Alisha. Merci, merci, merciiiii Et vu le statut de ta petite beauté, j'irai très certainement camper dans ta fiche de liens ! (J'ai même un début d'idée. ) |
| | | Celestina Ucello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere Dim 10 Juil - 16:21 |
| TU ES VALIDÉ(E) ! BIENVENUE CHEZ TOI C'est beau ! J'aime ! J'adore toutes les nuances que tu lui as apporté, cette humanité que tu lui confères et ce côté quand même dangereux, je sais ce que je veux et je l'obtiendrais ! Et en même tu n'en fais un robot capable de surmonter toutes les épreuves. Bon c'est qu'une fiche alors je sais qu'elle promet d'autre merveilles ta Alisha et j'ai hâte de lire ça On va dire que le gif est totalement en relation hein Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pense à faire un détour par la LISTE DES METIERS. Tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu. |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alisha || make me bleed, it'll prove there's life somewhere |
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