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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 17:02 |
| Ezio Sanseverino (je brûle mes rêves au coin fumeur) | nom : sanseverino, noblesse oubliée dans les méandres d'un passé frelaté. ancien parmi les anciens, il laisse une empreinte indélébile sur le papier et un goût amer dans la bouche de celui qui le prononce. ▲ prénom : ezio. lubie d'une mère qui voulait honorer un vieil oncle qu'il n'a jamais connu. un prénom court et qui se retient facilement. ▲ âge et date de naissance : la cinquantaine, le demi-siècle synonyme de regrets et d'amertumes. il est né lors du solstice d'été, le vingt et un juin 1965. ▲ ton clan : donatello, les mains sales, l'odeur du foutre et de la sueur sur les draps. loyal jusqu'à sa mort, il crèvera comme il a toujours vécu — dans la douleur. ▲ Ton rang : il est le sous-boss, le bras droit de melchiorre, son ombre méphitique. le goût des privilèges, le statut tant convoité. ▲ statut civil : divorcé, il n'est pas prêt de refaire cette connerie une seconde fois. il préfère désormais payer pour quelques caresses, se ruiner dans les plaisirs concupiscents en compagnie de putains jobardes et quintessenciées. ▲ orientation sexuelle : hétérosexuel, n'a jamais été troublé à la vue d'une paire de couille qui se balance. aime bien trop les femmes, toutes les femmes.▲ metier : venant d'une famille très riche, il a reprit les affaires de son père et possède de nombreux hôtels et restaurants qui font sa fortune. ▲ situation familiale : divorcé depuis dix ans, il n'a aimé qu'une seule femme. un amour que le temps s'est évertué à bousiller au fil des années. de ce mariage est née la belle anna-lucia, sa fille, son trésor. ▲ traits de caractère : charismatique ; charmeur ; intelligent ; loyal ; jaloux ; orgueilleux ; impulsif ; belliqueux ; sensible ; passionné ; réfléchi ; travailleur ; franc ; égoïste ; rancunier ; cynique▲ groupe : SKIN OF THE NIGHT ▲ crédits : neon lights & tumblr pour les gifs |
| il mesure un mètre quatre-vingt sept, le corps musclé et l'esprit aiguisé • il ne fait pas du tout son âge, sportif et prends soin de lui • adepte des plaisirs épicuriens, manger, boire et baiser • il a plusieurs tatouages que très peu de personnes ont vues • c'est un grand fumeur, cigares y compris • il parle plusieurs langues dont le français, l'anglais et le russe • il déteste la télévision • méprise les gens en général • passionné d'arts et d'opéras • la seule personne capable de lui faire verser une larme est sa fille lorsqu'elle chante • a une relation fusionnelle avec sa progéniture, très possessif avec elle • déteste son ex-femme • il ne sourit que très rarement • passe la plupart de ses soirées en charmante compagnie à s'enivrer pour tenter d'oublier parfois une vie sans effets • n'a pas peur de la mort • boxeur, excellent combattant à mains nues • tuer ne le rebute pas, il n'est pas adepte de la torture • loyal envers melchiorre • séduisant, il n'est pas dépourvu d'un certain charme, mais il n'en joue pas forcément. Il préfère plaire par les démarches sensées et subtiles de son jugement dantesque que par sa séduction pourtant innée • il possède une aisance verbale certaine et s'exprime avec un vocabulaire choisi • doué d'une grande force de persuasion • orgueilleux, il donne l'impression d'être sûr de lui-même et il l'est, déteste la médiocrité et les bassesses |
ton pseudo : v.b ▲ ton âge : vingt-six ans ▲ ton pays : france▲ ta fréquence de connexion : régulière; 5.7 ▲ comment t'es arrivé ici ? bazzart ▲ ton avis sur le forum : magnifique. ▲ un commentaire ? suis ouvert aux pré-liens, je réfléchis encore au personnage. j'espère me plaire parmi vous
Dernière édition par Ezio Sanseverino le Ven 5 Aoû - 16:36, édité 14 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 17:02 |
| Una furtiva lagrima miserere mei, deus | |
Le désir rougissait et cachait sa face monstrueuse derrière un voile de passion et d'interdiction. Le goût du tragique, des étreintes fatales au gré des cendres, entre leurs crimes et leurs cris. Ils se désiraient et se murmuraient des palabres brûlantes. Libido insatiable d'un désir qui brûlait et se consumait au creux de caresses pernicieuses. Ô Gloria reine des femmes, devant elle il s'inclinait pour chanter les louages d'une passion enflammée. Elle était sa pute, l'ultime joyau de ses brûlantes possessions dont il aimait se vanter, poupée de foutre qu'il aimait habiller de robes griffées pour le simple plaisir pervers de pouvoir ensuite tout lui retirer. Elle n'avait pas la classe de sa première femme, elle en était même totalement dépourvue lorsqu'elle était à genoux devant lui. Elle n'avait rien à voir avec Marlena, sachant où aller pour satisfaire le quinquagénaire concupiscent. Son insolente jeunesse qui venait titiller son membre dressé devant-elle, ses lippes gourmandes et désormais profanées par la semence de l'homme en échange de quelques billets chiffonnés. La triste du trottoir s'en allait ensuite dans la salle de bain, laissant alors Ezio se reposer après l'effort, la marlboro enflammée entre ses babines satisfaites, le corps nu et entendu par ses grands airs de prince des cabossées. Après une douche rapide, la putain retourna près de son possesseur pour partager cette dernière cigarette, profitant alors d'un moment de tendresse dans ses bras fatigués. Il observait alors les moulures et les peintures vénitiennes au plafond, chambre luxueuse d'un hôtel qui lui appartenait. Ezio faisait parti de l'élite, des grands de ce monde, une place dorée offerte par son vieil ami et monarque Melchiorre Donatello. Une amitié qui était née dans les cours pavées dans lesquelles les deux mômes avaient joués il y a déjà presque un demi-siècle. Ils étaient nés pour embrasser plus tard le destin déjà tout tracé que leurs pères avaient prit soin de bâtir pour eux. Si Ezio se révélait au final qu'un simple exécutant, il ne pouvait que se languir de la couronne que Melchiorre lui avait donné. Assis sur un trône forgé par la sueur de putains, le cul confortablement posé sur les carcasses ébranlées de ceux et celles condamnés à servir ceux qui avaient su s'élever grâce à l'intempérance et au stupre des plaisirs bacchanales. Éperonner par l'ambition dévorante de toujours vouloir tout posséder, telle était cette décadence qui était l'apanage des mortels, les grands agissants tels des dieux parmi les insectes. L'Italien en faisait parti, écrasant sous ses chaussures hors de prix les plus faibles sans aucun état d'âme, tout en haut de la chaîne alimentaire. Gloria n'avait laissé qu'une petite empreinte dans le cœur du protagoniste, une marque qui commençait à s'estomper, de plus en plus blasé et lassé par ses jouets. Il n'y avait qu'une personne sur cette Terre dont il n'arriverait jamais à se détacher, l'unique personne à qui il offrirait volontiers sa couronne si elle lui demandait. Perché dans les hauteurs de l'auditorium, il assistait avec une joie non dissimulée à la première de sa fille à l'opéra. Dieu ayant offert une voix unique à cette séraphine tombée tout droit du ciel. Son paradis perdu, les iris cuivrées retenant leurs myriades de perles salées, l'émotion palpable, les frissons caressant l'échine de sa peau à chacun des vibratos de la cantatrice. Elle brillait dans la semi obscurité, presque aveuglé par tant de beauté qui faisait la fierté de ce père comblé. Elle avait beau être le portrait de sa mère, il pouvait entendre dans sa manière de chanter toute la puissance qui était propre aux Sanseverino depuis bien des générations. La beauté de sa génitrice, la persévérance de son créateur. Un ange parmi la crasse, une pureté qu'il s'osait pas profaner avec ses putains et ses mains encrassées. Une fois les dernières notes envolées, elle eut le droit à une standing ovation amplement méritée sous le regard comblé du pater familias. Anna-Lucia venait de fêter ses vingt-six ans, sa seule fierté, la seule chose positive qui était née de ce mariage de convenance dont il avait eu du mal à se détacher. Un divorce qui n'avait pas vraiment ébranlée la cantatrice, ayant toujours su que ses parents s'étaient mariés juste parce-que ils venaient de la haute société. Un père bien trop occupé à gérer ses affaires, une mère frigide et adepte du rouge dès les premières lueurs du jours dressées. La coupe de champagne dans une main, sa fille se tenait à son bras tout en remerciant les âmes esseulées venues l'écouter chanter un opéra qui pleurait encore et toujours des amours de merde. Marlena se joignit alors au duo en jetant un regard hautain à son ex-mari qui ne se donna même pas la peine de la saluer. Il avait beau détester cette femme, il devait admettre que le temps avait agréablement épargné sa beauté qui rappelait celle de leur fille. « Maman ! Devines ce que papa m'a offert pour mon anniversaire ! » Marlena offrit alors un sourire hypocrite à l'italien, véritablement très douée pour jouer au jeu des apparences faussée. « Certainement pas de son temps j'imagine. Ton père a ses priorités. » Anna-Lucia jeta alors un regard sombre à sa mère, apparemment déjà enivrée et prête à lancer les hostilités. Ezio offrit alors le même sourire faux à son ex-femme tandis qu'il venait embrasser avec douceur la tempe de sa fille tout en observant sa montre. « On se retrouve plus tard. » Souffla alors le quinquagénaire en offrant sa coupe à Marlena qui prit cela pour un élan de gentillesse. « Une de plus ne te fera pas de mal. Au moins quand tu picoles, tu fermes un peu ta gueule. Bonne soirée. » Il glissa alors un baiser sur la joue de son ex-femme qui bouillonnait, sachant qu'ils devaient sauver les apparences en société, les parents laissèrent leur fille s'amuser de la situation tandis que Ezio quittait la salle de réception pour un salon privé où le business l'attendait. Elles étaient agenouillées à ses pieds, courtisanes de l'enfer venues chercher une absolution face à leurs fautes expiées. Des menteuses, des voleuses marchandes d'amour. Leurs visages cachés par un sac, frêles créatures dont les vies dépendaient du bon vouloir du quinquagénaire blasé d'avoir été dérangé. « C'est elles patron, elles vous volaient sans vergogne ces putains. » Ezio fit alors un geste de la tête et son homme de main dévoila alors l'identité des deux bagasses. Les traits du boss se voilèrent alors de déception en observant sa Gloria, sa pute, sa ribaude. Elle était tombée comme les autres, le mascara tâchant ses joues cabossées par les coups reçues quelques minutes plus tôt. La seconde gagneuse n'était pas familière et il ne lui accorda que très peu d'attention. Les règles étaient très clairs, elles devaient être punies. « C'est très décevant. » Avoua alors le boss en s'allumant un cigare sous les regards apeurés des deux hétaïres. Le pouvoir impliquait des responsabilités, des choix par toujours facile à faire et des conséquences souvent regrettées. « Pourquoi Gloria ? » La putain préféra alors regarder le sol, honteuse d'avoir été si vite découverte tandis que Ezio se sentait trahi par cette femme qu'il avait pensé aimer lors d'une nuit de faiblesse. D'un geste du menton, son bourreau s'approcha alors de la seconde prostituée pour lui briser la nuque sous les hurlements de Gloria qui se jeta aux pieds du quinquagénaire pour embrasser ses chaussures et l'implorer. Tirée par les cheveux par l'homme de main pour qu'elle se recule, elle pleurait sous le regard blasé du protagoniste qui souffla la fumée sur ses traits violacés. « Je ne peux pas laisser une brebis malade contaminer tout le troupeau. Aussi belle sois-tu ... Personne n'est irremplaçable. » Il se leva alors pour embrasser son front avec douceur. « Bonne nuit princesse. » Son homme de main sortit alors une lame et trancha alors la gorge de la traîtresse. Il observa alors le visage de Gloria devenir livide, suffocante dans son propre sang. Son hémoglobine inondant alors son corps puis le tapis, précieux véhicule de vie. Elle était tombée à genoux devant lui dans un silence assourdissant de seule la mort connue. Non pas dans un élan d'amour et de respect, mais comme l’ennemie qui avait été vaincue. Puis elle s'écroula enfin face contre terre après avoir longtemps agonisé, à ses pieds. La chaleur du feu qui consumait l'âme, le froid mordant d'un corps qui se vidait sous ses yeux. Dans un élan de faiblesse, il détourna alors le regard pour ne pas voir son amante ressembler au sommeil éternel entaché de cauchemars — ébranlement du néant et de Dieu — bordel qu'elle suçait bien.
Dernière édition par Ezio Sanseverino le Ven 5 Aoû - 16:41, édité 13 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 17:26 |
| Ce perso qui promet de tout déboiter! |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 17:50 |
| UN LOUP, UN CHACAL bienvenue, tu as fait le bon choix de clan le début de ta fiche est divin et ça promet un personnage à la caboche trouée je ne connaissais pas du tout la bouille, ravie de découvrir |
| | | Otto Bartolozzi Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 17:52 |
| Frank Grillo ! Le début de ta fiche est merveilleux ! Malheureusement j'ai aucun lien à te propose pour l'instant. Bienvenue et bon courage pour la suite. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 19:36 |
| j'aime trop ce que je viens de lire, c'est une tuerie ce type! ton personnage déchire, j'adore! vite la suite qu'on en sache plus sur ce mécréant! évidemment je plussoie ton bon goût pour ce qui est de ton avatar et de ton clan & bienvenue! (soit dit en passant) |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 26 Juil - 21:23 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mer 27 Juil - 19:32 |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
| | | Sorcha Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Jeu 28 Juil - 11:24 |
| A chaque fois que je vois ton avatar je le confonds avec l'acteur Christian Camargo le Dracula dans Penny Dreadful, ils ont tous les deux les traits hyper rudes, j'adore Et encore un méchant dans le clan Donatello (en même temps tu agrandis le côté classe de ce clan avec ce personnage ) Je veux en lire plus ! Bienvenue chez toi ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Jeu 28 Juil - 21:36 |
| Il nous faudra un lien parce que je crois que je fantasme un peu trop sur l'avatar Bienvenue |
| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Ven 29 Juil - 11:40 |
| Tiens tiens, un propriétaire d'hôtels de luxe Nous faudra un lien Très bon choix de clan, en tout cas! Bienvenue! |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mar 2 Aoû - 8:24 |
| Coucou Le délai de ta fiche est maintenant dépassé, nous aimerions bien avoir de tes nouvelles car sans cela nous serons obligés d'archiver ta fiche et de supprimer ton compte Il te reste trois jours de sursis néanmoins |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mer 3 Aoû - 15:41 |
| merci à tous pour vos messages, c'est motivant ! malheureusement j'ai un soucis avec mon pc portable (j'ai l'écran qui s'est barré ) donc melchiorre serait-il possible d'avoir un petit délais ? je pense commander mon nouveau PC vendredi. pour le moment je me connecte là où je peux |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mer 3 Aoû - 15:55 |
| mais... mais. comment ça ton écran a abandonné le clavier ? je t'ajoute un délai d'une semaine et si tu as besoin de plus, n'hésite pas à demander |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. Mer 3 Aoû - 16:00 |
| oh jusque quelques jours ça ira, j'avais presque fini c'est à cause de mon neveu qui a marché dessus faîtes des gosses qu'on nous dit. merci en tout cas ! |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (ezio) + ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire. |
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