NO CHURCH IN THE WILD
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Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir

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Sujet: c h a o s w a l k i n g
Dim 17 Avr - 21:47


Aristotele Uzzeni

tell freedom i said hello.



nom : Cette lente agonie qui s’est glissée entre les draps usés, poussière qui danse paresseusement entre les volets clos. Ces maîtres du sang enrichi sur une frontière à l’ouest, heureux les travailleurs, heureux le peuple au dos courbé, quand Uzzeni devient nom précieux noyé dans son orgueil.  ▲  prénom :   Aux grands noms les grands hommes, aux rêveurs les espoirs de gloire. Aristotele le découvreur d’univers, douce vengeance italienne sur la décadente Grèce, et l’ironie de l’homme de main d’un clan qui prospère entre les cuisses de l’origine du monde en portant le nom du père de l’école péripatéticienne. ▲  âge et date de naissance : date bâtarde oubliée dans les valses des années, ombres grises qui se sont penchées sur les rebords d'un berceau immaculé, l'aube d'un demi-siècle, vieilli celui qui devait traverser les âges, un jour sans faste, ni alpha ni omega, simple quinzaine d'un début d'hiver. ▲  ton clan : Donatello où s'évaporent les vapeurs des chairs, poudre d'inconnues qui s'entrelacent lorsque les loups de l'ombre reviennent hanter le bois à la recherche de l'innocente au rouge chaperon, viens enfant, viens admirer mes grandes dents. ▲ Ton rang : le chien au bout de la laisse, les crocs et les battements de queue, l’animal transformé en loup à la faveur des ombres, fais les morts quand tombe la muselière ▲ statut civil :  la femme aux doigts glacés, fantôme arrogant en silence, souvenir vaporeux de cercles d’argent, la vieille histoire oubliée au goût de sang sur les phalanges.  ▲  orientation sexuelle : Aristotele menteur aux mains caresses pour elles, elles aux parfums et aux courbes, elles qu’il délaisse depuis la femme aux doigts glacés, ancienne saveur, elles constellations pâles pour l’amant d’un astre, Aristotele l’homme d’une femme au charme du canon d’un revolver. ▲  metier : aux odeurs des gens de passage, aux rires qui s'erraillent d'alcool et nicotine lorsque le vieil enfant tourne les joints de métal, visage familier de l'homme au sourire fracassé ▲  situation familiale : l’homme qui oublie de plier. Le dernier résistant d’une guerre du temps, l’inconscient qui enterre les siens, celui qui sait avec les mots avalés le blanc de ses os fatigué. ▲  traits de caractère : l'animal dévoué et loyal, montre les crocs-assis-couché, créature de cauchemar qui ne sort que la nuit lorsque les ombres se font clémentes pour les monstres ayant dévoré leur propre égo, sous les dents saveur hémoglobine de l'homme que plus rien ne touche.  ▲  groupe : skin of the night ▲  crédits : braekleman + morphine.
I. Tendresse des soirs qui s’évaporent, les prunelles dévouées à la luna, l’oiseau de nuit qui batifole dans son élément d’obscur, Aristotele en ombre tangible qui se glisse sans bruit, l’homme-fantôme en silence dans une ville qui prétend connaître le repos de minuit dont il connait les faux silences et les portes dérobées, rapace aux coussinets délicats sur les pavés. II. Les rois endormis. L’obsession enfantine des grands noms, bien avant le sang et les cris, bien avant Mel et les Donatello. Les géants hors du temps. Aristotele et ses pairs. Les murs couverts des vestiges d’Arthur, William, Akhenaton, César, Auguste. L’enfant sans but avide d’une quête, lorsque dans les déserts d'un pays qui s'effrite viennent mourir les rêves. III. Coule dans la gorge la saveur ambrée, molécules depuis si longtemps adoptées, Aristotele l'homme qui tangue et vacille sans jamais tomber. Les excès d'une vie trop tôt consumée, l'homme qui tombera un jour d'avoir trop vécu. IV. Presque six ans et l'anneau toujours qui brule, argent qu'il ne se résouds pas à retirer, l'homme sans femme, l'ombre dont il sait chaque geste et chaque soupire, l'étrange feu qui brule lorsque les démons ricanent au coeur de la nuit. V. Enfant des amours arrachés, Aristotele le dépendant, et le visage de celle aux sourires d'un soleil depuis longtemps oublié, les amours adolescents, l'éclat dans les ténèbres, l'impossible disparue, la rose écarlate et le bouton timide. VI. Visage recomposé. Menteuse aux ongles dans son palpitant si faible, si vieux, lui qui ne voulais jamais avoir d'enfant, que s'éteigne avec lui la lignée, que s'éparpille la poussière d'un vieillard gris peut-être déjà enterré, et soudain elle, le nouveau bouton, petit démon. L'enfant de la rose, et pour le représentant du philosophe une faiblesse douloureuse. VII. Hémoglobine sur les phalanges. Créature de chair au souffle arraché, et dans la poitrine d'Aristotele, l'euphorie qui ravage, entre les lèvres d'un vieil enfant le rire comme un torrent. Derrière les paupières closes le premier cadavre si facilement invoqué, et dans l'ombre bienveillante la chaleur de Melchiorre. VIII. Le dégoût suintant par tout les pores de la peau, la chair qui se révolte à peine effleurée, le boucher qui déteste être touché. Monstre aux milles visages à la colère comme un flambeau lorsque le corps devient objet. IX. Et sur l'asphalte d'un pays gorgé de soleil le corps sans cesse propulsé, du gamin au vieillard qui se profile les os brisés, le corps mille fois ressoudé de celui qui parle mieux avec ses poings que les mouvements de sa bouche. X.  Au creux de l'épiderme, sur la chair qui lentement se flétrit d'un personnage presque irréel danse l'encre éternelle de ceux qui refusent d'oublier. Cicatrices au relent des échecs et sur la peau les souvenirs d'une vie aux épines douloureuses.

ton pseudo : ASTRAIOS  c h a o s  w a l k i n g 2978968014   ▲ ton âge  :  c h a o s  w a l k i n g 363789343 c'est chaud j'ai failli répondre dix-huit super sérieusement  ▲ ton pays : NE M'APPELEZ PLUS JAMAIS FRAAAAANCEUH, LA FRANCE ELLE M'A LAISSÉE TOMBEEEEEEER ( le premier qui juge mes connaissances musicales je lui bouffe un bras ) ▲ ta fréquence de connexion : votre réponse ici votre réponse ici ▲ comment t'es arrivé ici ? j'ai mis du temps mais j'ai fini par pister Haly  c h a o s  w a l k i n g 1999688349  ▲ ton avis sur le forum :  c h a o s  w a l k i n g 3902804953  c h a o s  w a l k i n g 3902804953  c h a o s  w a l k i n g 3902804953  ▲ un commentaire ? votre réponse ici votre réponse ici



Dernière édition par Aristotele Uzzeni le Jeu 21 Avr - 1:19, édité 8 fois
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Invité
Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir

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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Dim 17 Avr - 21:48


never smile at a crocodile

leather seats and pumped up beats .

Aristotele, c’est vraiment un nom stupide.
Elle repose l’ouvrage en silence sur le rebord de la fenêtre, dissimulant un sourire amusé devant le gamin aux boucles brunes. Tu aurais préféré Dante ? Ou Edmondo ? Il grimace en s’approchant d’elle, la femme qui accuse l’âge avec chaleur, la femme qui murmure dans les couloirs du soir, la femme au parfum qui l’obsède encore, bien des années plus tard. Il me semble que ta mère t’as demandé de travailler cet après-midi ? Aristotele hausse les épaules, grimpe sur le rebord de la fenêtre à ses côtés. Ses prunelles tombent sur l’ouvrage qu’elle a abandonné, un roman d’amour comme elle les affectionne. Regard accusateur et sourire contrit. Elle l’attrape et l’attire dans ses bras, les doigts sur les côtes et entre les lèvres d’un enfant qui se débat les cris comme un masque d’une joie qui s’évapore au rythme lent des embrassades. Tu dois vraiment partir ? Silence aux accents d’un tombeau qui se referme lentement. Le corps roulé contre celle qui devient un fantôme dans les souvenirs tangibles. Déesse immaculée aux amours piètres. Tu es trop grand pour avoir une nounou. Sur les murs d’une demeure rongée par le temps s’étalent les vestiges des belles années. Les jouets de bois depuis longtemps dévorés de poussière au fond des malles du grenier. Et une amie ? Je suis trop grand aussi, pour une amie ?  Elle a les doigts glacés d'avoir lu dans les courants d'air. Tendresse des enfants qui murmurent derrière les portes d'une maison assourdissante des silences que laissent les absents. Vieille campagne comme un cercueil sur lequel il s'arrache sans cesse les doigts dans une quête désespérée de liberté. Lèvres douces sur le front du garnement. Aristotele, je t'ai cherché partout ! Viens vite finir tes devoirs ! L'autre femme. Celle qui n'a pas le temps de sourire dans ses angoisses. Celle qui se fond dans le décor ici. Celle qui n'a pas cet accent chantant du sud de l'Italie et dans les fossettes des allures de princesse. Ils se détachent, la jeune fille et l'enfant, les compagnons des peintures, les figurants en arrière plan aux rêves qui palpitent un peu trop fort.

Tu as oublié. Encore.
Visage vieilli et fatigué dans l’ombre vacillante d’une lampe usée. Va voir ta mère Ari. Étrange reflet des années à venir dans la silhouette de cet homme aux tempes grises, aux phalanges palpitantes de veines bleutées. J’ai gagné, si jamais ça t’intéresse. Il a les mains encore douloureuses, les muscles brulants sous la peau couverte d’hématomes. L’autre se lève, curieuse créature décharnée, abîmée par ces tours du cadran, la morsure du labeur jusque dans la chair. J’ai pas le temps pour ça, va voir ta mère. S’il-te-plaît. Le souffle comme une gifle sur l’adolescent, ce vieillard qui tangue sur ses deux jambes, le paternel déjà un peu mort, un pied dans la tombe le paysan qui s’est échiné toutes ces années. Obligé de supplier. Sur le bout de la langue, le goût du mépris. Laisse tomber. Colère qui roule en ouragan dans les phalanges des poings serrés, reflet troublant de celui qui s’éteint contre celui qui s’enflamme. Ari, soit gentil avec ton père. Elle a sous les yeux les plis de ceux qui ne dorment plus depuis si longtemps que dans la chambre à coucher les fantômes se sont lentement installés. Êtres de cendres absorbés par les murs d’une demeure qui s’écroule jusque dans les recoins de sa mémoire. Va préparer tes affaires, je t’emmène à Florence demain. Agonie.

J’ai tué mon père.
Explosion des atomes dans la vieille ville qui se révèle enfin. Sous les prunelles, le héros de l’ombre, le roi qu’il a toujours cherché. Les astres dansent en constellations redessinées pour cet autre aux mains lourdes de péchés, cet apollon déchu, créature des enfers adoré de lumières. Raconte.. Splendide décadence d’une génération à deux individus, les démons libérés aux rires grinçants sous les arcades, le foyer tant désiré. Dans la poitrine d’un savant autrefois trahi palpite enfin un organe racorni. Sur les mains du gamin épris d’anciennes prophéties s’ébauchent les rigoles sanglantes.
Médecine ? Toi ? Éclat des prunelles comme les flammes qui ronronnent dans l’âtre. Quelques années en terrasse des cafés, nicotine éprise des poumons qui s’essoufflent. Ouais. Ça pourra toujours servir.. Et sur le bout des lèvres les mots jamais murmurés, écoute Lucifer le cantique des âmes damnées.

Putain, tu t’es marié ?
Dans l’âme un peu trop calcinée d’Aristotele s’est glissée la femme aux doigts glacés, celle qui brule les cendres des vieux royaumes abandonnés, souveraine superbe dans les décombres de Florence à ses pieds. Tu veux des enfants ? . Les glaciers dans les orbites. Descendance. Aristotele observe les rues qui crépitent d’une vie qu’il se surprend encore parfois à ne pas tout à fait comprendre, créature de l’ombre, monstre des comptines tapis sous le lit. L’anneau comme une laisse au poing, nouvelle muselière. Aristotele l’animal dompté. Non. Et toi non plus. Sur les lèvres qu’il se surprend toujours à embrasser danse ce sourire dont il sait devoir se méfier et adorer. Déesse de l’en-dessous, machiavel à la toile invisible. Et il se vautre avec délectation dans les bras de la seule femme qui puisse fouler cette terre et le faire trembler.
Elle est partie. .
Les mots amers, l’étrange gloire de ceux qui se sont tellement brisés que lorsque le monde éclate enfin, il a des airs de rédemption.




Dernière édition par Aristotele Uzzeni le Mer 20 Avr - 23:22, édité 3 fois
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Arabella Mastroianni
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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Dim 17 Avr - 22:23

toi c h a o s  w a l k i n g 1840478431  ici c h a o s  w a l k i n g 1840478431  contente de te retrouver toi et ta plume c h a o s  w a l k i n g 3012802215
Je veux un lien et tu as pas le choix c h a o s  w a l k i n g 3495551740
Bienvenue et bon courage
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Melchiorre Donatello
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Melchiorre Donatello

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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Lun 18 Avr - 8:53

ma vieille canaille c h a o s  w a l k i n g 225179245 c h a o s  w a l k i n g 505306283  c h a o s  w a l k i n g 168325269 le début m'a déjà tué. C'quoi cette plume de folie là ? c h a o s  w a l k i n g 41209573 merci de tenter le p'tit loup  c h a o s  w a l k i n g 4011387534  ils vont faire foule de conneries les deux là c h a o s  w a l k i n g 4260347001
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Halyna Nabokov
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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Lun 18 Avr - 10:05

c h a o s  w a l k i n g 1598819460 Avoue tu me suis partout où je passe ? c h a o s  w a l k i n g 225179245 Viens ici mon canard, je te réclame un câlin !
Ca va me changer des personnages trop chou que tu jouais, là même Halyna ne pourra pas lui demander son passeport pour rentrer chez elle, c'est triste (si je te paie grassement avec la carte bleue de Melchiorre ça marche tu crois ? c h a o s  w a l k i n g 1840478431)
Bon ta plume on ne va pas en parler si je vais devenir jalouse, parce que t'es Baudelaire en vrai... Ca suffit, en deux phrases tu ponds de la magie, qu'est-ce que ça va être la suite de ta fiche ? (je t'interdis de dénigrer ton style, bonsoir, merci Arrow).
Bienvenue chez toi ! c h a o s  w a l k i n g 2773279502 c h a o s  w a l k i n g 4011387534 Fais pas trop de bêtises c h a o s  w a l k i n g 225179245 c h a o s  w a l k i n g 459362272
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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Lun 18 Avr - 13:01

Norman, le choix de scénario, le début de ta fiche, tout est parfait c h a o s  w a l k i n g 2563884465
Bienvenue parmi nous I love you
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Altair Esterhazy
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Altair Esterhazy

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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Lun 18 Avr - 15:35

Trop fou de te retrouver là c h a o s  w a l k i n g 4260347001
Et puis ce choix de gueule, quoi c h a o s  w a l k i n g 1999688349
Bienvenue c h a o s  w a l k i n g 1840478431
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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Lun 18 Avr - 21:55

Bienvenue officiellement c h a o s  w a l k i n g 198152450
T'es beau, ouais profite, c'est bien la première et dernière fois que j'dirai ça d'un homme c h a o s  w a l k i n g 3495551740 et puis bon t'as choisi le bon pré-lien c h a o s  w a l k i n g 1999688349
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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Mar 19 Avr - 17:28

Merci à toi d'exister, parce que tu m'as permis, inconsciemment, de me décider à prendre le deuxième pré-lien de Melchiorre en choisissant celui d'Annibal c h a o s  w a l k i n g 2745651735 alors gros keur sur toi c h a o s  w a l k i n g 1999688349 Et puis ta plume est incroyable et met l'eau à la bouche c h a o s  w a l k i n g 3178249011

Bienvenue, donc c h a o s  w a l k i n g 275567650
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Melchiorre Donatello
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Melchiorre Donatello

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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Jeu 21 Avr - 9:44

c h a o s  w a l k i n g 3453731737 c h a o s  w a l k i n g 4042572647 c h a o s  w a l k i n g 2867506033 c h a o s  w a l k i n g 3577509411 c h a o s  w a l k i n g 2003563851 c h a o s  w a l k i n g 4228081930 c h a o s  w a l k i n g 198152450
c'quoi cette perfection de fiche là ? c h a o s  w a l k i n g 2003563851
validez le petit diable, on a des saletés à faire c h a o s  w a l k i n g 4260347001
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Halyna Nabokov
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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g
Jeu 21 Avr - 10:42


TU ES VALIDÉ(E) !

BIENVENUE CHEZ TOI


Je suis au ralenti aujourd'hui c h a o s  w a l k i n g 516252157 Mais ta fiche est sublime (excuse moi si mes propos sont un peu... emmêlés c h a o s  w a l k i n g 516252157) tu as bien fais de choisir monsieur le géant pas bô et fascinant, surtout que ta plume lui donne une profondeur merveilleuse et surtout surtout il est trop chou (pour un méchant c'est fourbe je te le dis c h a o s  w a l k i n g 3341684380). Comme d'habitude en fait, ça ne change pas ta perfection de fiche, entre l'histoire qui déploie des émotions toute mignonnes (quand il est enfant ! c h a o s  w a l k i n g 2867506033) et ses manies, j'ai tellement hâte de suivre ses aventures, il va en causer du chaos dans la ville surtout avec son diable compagnon c h a o s  w a l k i n g 2563884465

On va dire que le gif est totalement en relation hein c h a o s  w a l k i n g 2272051206 Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pense à faire un détour par la LISTE DES METIERS. Tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu.

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Sujet: Re: c h a o s w a l k i n g

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