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Auteur | Message |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:02 |
| Roméo Melchionni i've been dead for seven years, that's as warm as they get | nom : melchionni pour les armes, melchionni pour les larmes. celles-là qui ont mené à certaines tragédies, mais toujours à la certitude qu'il faut continuer ; la vente, les négociations, les purges sanguinaires. parce que de toute manière, c'est tout ce que la famille sait faire. ▲ prénom : roméo, oh mon roméo. pourquoi es-tu ainsi, roméo ? t'as-t-on appris à fermer ta gueule, ou t'aies-tu juste dit, un beau matin, que cela ne servait plus à rien de te faire entendre, tout compte fait ? ▲ âge et date de naissance : vingt-six ans, les mémoires et le sang qui en découlent. les yeux admiratifs pour son aîné, les pupilles toujours tournées sur un père mort le jour de son vingt-quatrième anniversaire. c'était un jeudi. un six décembre comme tous les autres. ▲ ton clan : dans le cœur, les melchionni. tous planqués derrière les ucello, prêts à appuyer sur la gâchette, prêts à occire celui qui voudra du mal à leur échange de bons procédés. ▲ Ton rang : outsider, il est relié aux ucello depuis toujours, pacte sacré, famille vassale. les armes lourdes contre la protection éternelle. ▲ statut civil : fiancé depuis son plus jeune âge, comme aux temps du moyen-âge. c'est toujours comme ça qu'on forge les alliances, qu'on étend un marché. la fille - femme, à présent, bien qu'il l'a verra toujours comme l'enfant qu'elle était, sa seule amie, celle qui n'a plus besoin de mots pour se faire comprendre. du mariage ils ne se formalisent pas, c'est un rouage de leur vie, préparé à l'avance. ils ont appris à composer avec. ▲ orientation sexuelle : peu de considération pour l'acte en lui-même, l'adolescence qu'il n'a pas goûtée. il y eu très peu d'hommes dans son lit et une seule femme, juste pour la forme. ce n'est pas qu'il ne peut ressentir, c'est que la sensation est rare, trop nouvelle. ▲ metier : nettoyeur, il fait sa besogne quand on le lui demande, le flingue comme une extension de lui-même. depuis peu, pourtant, il accompagne son frère pour les négociations. il est la force tranquille, le regard aiguisé, l'aigle au milieu des vautours. ▲ situation familiale : amputée à la racine. la mère malade, le père qui bouffe les vers d'autres que lui, six pieds sous terre. le grand-père est toujours là, trop vieux pour être sage. il ne reste que les enfants. la trinité ébène, le berger vengeur, le guerrier silencieux et la vierge farouche. ▲ traits de caractère : calme, introverti, angoissé, intuitif, désabusé, sournois, attentif, discret, sarcastique, créatif. ▲ groupe : strong and wasted. ▲ crédits : swan, tumblr |
| le mal des autres, agoraphobe depuis sa plus tendre enfance, s'il se fond dans l'assemblée joyeuse, se fond dans l'esprit des gens qui ne l'observent pas, roméo déteste les foules. roméo se pisse dessus dans un centre commercial bondé de touristes bon marché, et cela malgré le 9mm dissimulé sous ses vêtements. ▲ quand certains seront excités à propos de quelque chose, quand d'autres grommelleront dans leur barbe, roméo restera indifférent, quoi qu'il puisse se passer. toujours l'air blasé de l'adolescent - la seule émotion qu'il a bien pu retenir de cette période-là. ▲ la drogue, partout, dans la famille. du grand-père à la sœur à peine sortie de l'enfance. la poudre dans les placards, juste à côté des assiettes ébréchées, dans les bonbonnières de la grand-mère. l'argent des armes contre la quiétude de l'âme. roméo a cédé à la nicotine, en premier. aux herbes qui calment ses angoisses, ensuite. rien d'autre. il résiste. quant à son frère, il est bien loin devant lui, trop loin parfois. il ne peut pas l'atteindre. il ne peut plus atteindre personne. et cela lui fait peur. si peur. il ne pourra jamais avoir tout en main. ▲ enfance passée entre deux mondes, apprendre quel flingue fera le plus de dégât, quel prix cette cargaison vaut, le semi-automatique sous l'oreiller, l’œil sur les animés qu'il bouffait comme les coups de poings de l'aîné. ça n'a pas changé. rien n'a changé. ▲ les poings serrés, les phalanges écorchées, c'est le sacerdoce des melchionni, frapper pour faire mal, mais surtout pour gagner. il a commencé la boxe jeune, entraîné par son frère, obligé par leur père. il a continué, à frapper, à gagner. par habitude seulement. ▲ les modèles bouffés par les vices, ses vrais héros ne sont que des dessins, faits par des mangakas inatteignables, là-bas, à l'autre bout du monde. il aurait aimé fouler leur voie de violence imaginaire, au lieu d'avoir à faire à la violence de florence, bien réelle. parfois, il y repense encore, en couchant sur le papier ses idées de personnages et d'univers manichéens. univers où les gentils en seraient vraiment. ▲ la famille religieuse, hypocrite. aller à l'église. se confesser à des prêtres vendus, avoir sa place au paradis perdu. il a une croix autour du cou, qui l'étrangle et tente de le façonner depuis l'enfance, sans y parvenir réellement. roméo s'y est pourtant fait, et inconsciemment se comporte comme le reste des melchionni. c'est qu'il faut bien avoir peur de quelque chose de plus important que soi, quand on bosse dans la plus grande organisation du monde. ▲ tu préfères les chats que les chattes, que lui dit son frère, se balançant entre le sourire véritable et le rictus pincé. c'est la vérité. il se revoit enfant, comme un aimant à félins, se poser près des bennes à ordures en attendant que les chats de gouttière fassent leur entrée discrète, qu'il ne manquerait pas de remarquer. roméo, le roi des poubelles. ▲ peu éloquent, moue blasée, air hagard, effacé. les racailles du coin n'hésiteraient pas à le railler dans la rue ("eh, parle, dis nous comment ta thérapie comportementale avance au lieu d'être là comme un con" "tapette"), s'il n'avait ni ses poings, ni sa masse musculaire. quant au flingue, ils l'envieraient. et roméo leur rirait au nez. heureusement, plus personne n'ose lui faire ce genre de remarques, pas de cette manière en tout cas. ▲ une flèche transperçant le talon. cent-vingt euros, quelques millilitres d'encre à insérer sous la peau. une broutille qui lui tient à cœur, même s'il ne sait pourquoi, même s'il ne trouve aucune foutue signification à ce tatouage d'enfant de quinze ans, un peu trop sensible face à une lecture aimée. |
ton pseudo : erebor ▲ ton âge : dix-sept capt ▲ ton pays : le pays des escargots ▲ ta fréquence de connexion : 4/7 ▲ comment t'es arrivé ici ? j'ai mes sources ▲ ton avis sur le forum : comme dirait freud, c'est caca ▲ un commentaire ?
Dernière édition par Roméo Melchionni le Dim 1 Mai - 22:23, édité 11 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:03 |
| smile or go to jail but it's not i don't know my way, but i don't know my way | |
Ils sont quatre. Quatre contre un. Certains diraient que ça ne se fait pas. Les mauvais gosses rajouteraient que c'est pas du jeu.C'est un jeu, pourtant. Il faut le prendre ainsi, pour vouloir encore débloquer les niveaux, quitte à ce qu'il n'y ait pas de princesse à tirer à la fin. C'est mieux que de s'arrêter brusquement pour se foutre une balle dans la tête. C'est mieux que de faire une overdose dans les chiottes d'un bar miteux. C'est mieux que rien. Que des rêves qu'on étale encore sur le corps d'un enfant mort. Ils ne prennent pas la peine de se déplacer discrètement. Ils font ce qu'ils veulent, parce que ce sont les règles. Leurs règles. Ils sont sur leur territoire, avec leur argent volé, leur traître à flinguer. Et cela en fait sourire trois. Le quatrième attend, comme on le lui a appris. Il ne dégaine pas, comme on le lui a appris. Soldat immobile, il n'en demeure pas moins un Melchionni. Fils de. On l'oublie, parfois, mais c'est encore la triste vérité. Il n'a pas à faire le premier pas. Et il sait précisément ce qu'il n'a pas à faire. Pour le reste, rien n'est moins sûr, et parfois le doute l'assaille, insubmersible. Jamais bien longtemps. "Orlando. Attends." Il appelle. Une fois. Sans élever la voix. Comme un ordre répété, pourtant. Prémâché. Une histoire de hiérarchie, peut-être, doublé par la force de l'habitude. Le dénommé s'arrête, et le fils de plonge son regard dans le sien. Ils entendent un bruit, plus loin dans la ruelle, puis plus rien. Il hoche la tête, et Orlando se retourne, fait face au traître avec son sourire de chien. Pendant un instant, il ressemble à un monstre. C'est rassurant. Il n'est donc pas le seul."Alors mange merde, on voulait garder les jouets des autres pour soi ? Hm, tu savais très bien que le patron ne serait pas content. Lui aussi, il a des obligations, tu sais. Tu croyais qu'il allait gentiment te laisser faire ?" Orlando s'est rapproché, tandis que les deux autres s'emparent d'un homme déjà pétrifié. Il parle lentement et clairement, comme on le lui a appris. Il pose le canon de son flingue sous la jugulaire de son nouvel ami, comme on le lui a appris. C'en suit un flux de paroles incompréhensible. Quelques mots, jetés aux pieds des plus forts. "désolé" "pas moi" "vais" "tout dire" "tout rendre" "erreur" Son père aurait souri, en comprenant qu'il disait exactement ce qu'il avait voulu lui faire dire. Il l'imite, une fois. Pour la forme. C'est un rictus pincé, aux airs de faux papiers. Il sait pourtant que le but est proche. Que ce n'est plus qu'une question de secondes. Et pourtant, il n'en retire aucune satisfaction, juste la légère adrénaline qui vient avant le début de l'assaut. ERREURIl fait un signe discret à Orlando, qui frappe la chaire. Un nez cassé, et une diarrhée pour se préparer à la mort. Quelle belle espèce que l'être humain. "Tout le monde fait des erreurs." dit-il, après un silence violé par des gémissements difficilement étouffés. Melchionni fronce le nez. La ruelle pue la merde. Il se retourne, fait quelques pas pour s'éloigner de la scène. Plus que quelques secondes. L'homme crache tout ce qu'il sait. Il ne sait pas grand chose. Suffisamment assez, à son plus grand bonheur; pour réparer les conneries de son minuscule gang de malfrats, des chiffres sur un vieux cahier humide, des comptes à rendre, des deals qui leur rapporteront de quoi se payer une fille de joie à partager. Une ombre passe, devant ses yeux. Maintenant. Il les a donc suivi, le voleur curieux. Le traître à la mauvaise conscience. C'est toujours la même rengaine. La maladie mortelle de l'homme égoïste, et pourtant incapable de laisser ses pairs. Il le comprend. Une seconde. Comme un coup à la porte de la mort. Puis tire. Il est seul. Un contre un. Il a besoin de deux autres balles pour l'achever, à la lumière d'un vieux réverbère. Quand il revient vers le groupe, l'homme le regarde comme s'il était le diable en personne, ou du moins l'un de ses suppôts. C'est peut-être vrai. A la différence qu'il ne se repaît pas de chaire humaine, donc qu'il voudrait bien rentrer le plus vite possible pour pouvoir manger. Il s'arrête, se baisse à son niveau. Son odeur le prend à la gorge. Il lui donne envie de gerber. Ce con lui a coupé l'appétit. Il a un petit soupir, de ceux qui se font discrètement entendre à la suite d'un acte idiot, fait par d'autres. "Il devait mourir, tu comprends ? Si je ne l'avais pas tuer, on serait revenu, et cette fois, toi aussi tu y serais passé. Tu comprends ?" Il parle calmement, comme s'il s'adressait à un enfant capricieux, en regardant des yeux qui tentent de se dérober à la menace. L"homme hoche vigoureusement la tête. Il avait une quarantaine quand il s'est pointé, le courage au bord des lèvres. Quand on le laisse se relever, il en paraît quatre-vingt. Melchionni se dit que c'est le métier qui rentre. Il a toujours eu l'air plus âgé lui-même. "Ouais, on n'encule pas les Melchionni, mange merde ! Tiens, ramasse la tienne, avant de partir, fils de pute !" Orlando rajoute, ponctuant sa phrase d'un paquet de mouchoir lancé comme un cocktail molotov - sa grande passion. Un autre soupir se fait entendre, amusé cette fois. "Allez viens, Leone." On rentre à la maison.*** Orlando n'est pas rentré avec lui. Et pourtant, ils auraient pu faire comme ils faisaient à quinze ans, s'enfermer dans la chambre de Roméo et jouer à des jeux vidéos. Il pense qu'il est allé se vider les bourses ailleurs. Après tout, le patron vient de le payer. Roméo ne peut même pas se vanter de pouvoir faire la même chose. Lui, il bosse pour la gloire de la famille. Il claque la porte d'entrée en arrivant, comme si ça l'énervait. Comme si cela pouvait énerver quelqu'un en retour. Grand-père est de toute façon bien trop occupé à prendre la ligne c. Essayer du moins. Pour échouer misérablement sous les yeux de son petit-fils. Roméo voit bien que ça lui prend la tête, et il sait aussi ce qui va s'en suivre. C'est ainsi qu'il s'approche et l'aide, ramenant le crystal échoué à l'autre bout de cette vieille pochette de vinyle que son nonno lui faisait écouter, gamin. "Là." Il l'observe prendre son remède, attend jusqu'à ce qu'il revienne à ce qu'il était avant que la vieillesse lui scie les deux jambes. "Oh, salut gamin ! Tu rentres tôt ! Pino a des affaires, il a dit, il a dit que t'avais des affaires aussi, t'as finis avant lui ! Sacré gamin !" Il se fait héler après un temps, rire à l'appui, alors qu'il sent une main lui ébouriffer les cheveux. Grand-père est tout sourire, comme rembobiné, et on dirait qu'il a l'intention de bouffer le monde entier. Roméo lui fait un baiser sur la joue, et se dirige à l'étage, jusqu'à sa chambre. Dans cinq minutes, le vinyle va cracher sa musique d'un autre temps et grand-père va se mettre à fredonner. Il faut qu'il soit allongé pour pouvoir supporter le poids de la nostalgie. Maman est dans sa chambre. Assunta doit être avec elle. Elles se sont rapprochées, depuis la mort de papa. Peut-être parce qu'elles connaissaient le même homme, alors que ses fils avaient connu l'autre. Le marchand de Florence. Il semble loin, le temps où il faisait rage, le marchand de Florence. Le temps où on décapitait au lieu d'user d'un flingue, parce que les flingues, c'était la marchandise, et qu'on ne touchait pas à la marchandise. Cela ne fait que deux ans. C'est long, deux ans. Finalement, il s'enferme dans sa chambre, et allume la télévision. Un cendrier tient en équilibre sur sa couverture, qu'il réarrange comme il peut, jusqu'à entendre le bruit significatif de quelque chose qui se casse. Maman a fait le même bruit, le jour de la mort de papa. Ou peut-être était-ce papa lui-même ? Pris d'une fatigue extrême, Roméo laisse et le cendrier, et la couverture, où il se jette sans plus de cérémonie, la tête retombant sur son oreiller moelleux. Plus tard, il se dit. Toujours. Son Goku se bat à l'écran, et il monte le son, fort, plus fort, pour ne pas entendre la mélodie des chansons d'autrefois.
Dernière édition par Roméo Melchionni le Dim 1 Mai - 20:07, édité 6 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:11 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:41 |
| han merci mon bichon maltais ça fait plaisir de te revoir (t'es bien bonne en ezra quand même, dommage que lino vole pas bien haut c le fun)
Dernière édition par Roméo Melchionni le Dim 1 Mai - 15:02, édité 1 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:43 |
| niktamer. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:47 |
| UCELLO FTW. J'vois que le bro ramène de bien beaux garçons parmi nous. À croquer le petit. Bienvenue parmi nous ! Le début est déjà génial. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 14:58 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 15:04 |
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| | | Arabella Mastroianni Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 15:13 |
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| | | Otto Bartolozzi Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 15:47 |
| mais quel beau garçon.. et chez les ucellos, c'est le choix parfait. bienvenue chez les meilleurs, mais si tu veux vraiment être un gagnant, fini cette fiche ! c'est méchant de nous laisser sur notre faim comme ça. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 17:03 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 20:38 |
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| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Dim 1 Mai - 22:39 |
| Ce choix de vava qui déchire sa race Bienvenue parmi nous |
| | | Celestina Ucello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Lun 2 Mai - 9:54 |
| TU ES VALIDÉ(E) ! BIENVENUE CHEZ TOI J'ai même pas eu le temps de te dire bienvenue que tu as déjà fini ta fiche ! Et je crois qu'en plus de ça on s'est déjà croisé quelque part et tes personnages aussi formidable. C'est toujours un plaisir de lire tes mots car ils claquent au palais, ils vibrent et il y a tellement d'émotion, c'est comme si tu voyais un film, que tu voyais ton personnage et que tu pourrais presque le toucher ! Et ces idées tellement bien exploiter, tu lui as donné tout plein de nuances qui le rende plus qu'humain et attachant (même s'il est dangereux faut l'avouer mais c'est ce qui fait encore sa richesse ! ). Voilà j'aime beaucoup énormément !On va dire que le gif est totalement en relation hein Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pense à faire un détour par la LISTE DES METIERS. Tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE Lun 2 Mai - 20:14 |
| - Amadeo Ucello a écrit:
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UCELLO ! UCELLO !
J'ai dévoré ta fiche Ce personnage promet Bienvenue parmi-nous, le choix du camp est indéniablement le meilleur je suis contente que le personnage plaise, j'espère pouvoir faire de futurs jolies choses chez les ucello because of course, ce sont les meilleurs (merci pour le petit mot de bienvenue, cet accueil ) - Altair Esterhazy a écrit:
- Ce choix de vava qui déchire sa race
Bienvenue parmi nous merci à toi altair, je ne peux que te renvoyer le compliment, oscar est parfait et celestina, la validation du tonnerre ! merci pour tous ces mots qui me font rougir, ça fait chaud au cœur et je pense qu'on s'est croisé, à l'occasion, mais où, j'en sais trop rien dans tous les cas, ta plume me dit quelque chose aussi |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: YEAR OF SILENCE |
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