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my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)

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Invité
Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir

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Sujet: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 19:14


Romeo Luca Lupi

I don’t intend to wage war. Wars are fought by warriors. Massacres, though— those are fought by monsters.



nom : La famille de loups, le patronyme traduisant la nature de ses membres. Les bouffeurs de chair, les prédateurs au sommet de la chaine alimentaire. Lupi, la famille déchirée par l’avidité du dernier. Le nom que personne ne souffle plus sans crainte et fascination. La famille façonnée par l’héritier, le louveteau désireux de créer sa propre meute, choisir ses frères et sœurs de galère. Une famille dont le nom ne porte plus les souvenirs oubliés de ses membres. Une famille dont le mal a été détruit jusqu’à la racine afin de repousser avec plus de force.  ▲  prénom : Romeo, le prince oublié, l’héritier d’une jeunesse dorée s’étant perdue le long des murs de la belle Vérone. Romeo, le gamin perdu dans la mauvaise histoire, l’enfant promis à de grandes choses s’éteignant sans sa Juliette. Le tragique, l’héritier anémique d’un empire détruit par ses propres doigts. Pas de conteur pour l’histoire du brun, pas de Shakespeare pour immortaliser l’art coulant du bout de ses mains. Personne pour s’intéresser à sa tragédie, cette vie qu’il décida de prendre en main.  ▲  âge et date de naissance :Le prédateur a déjà un quart de siècle dans les pattes. Le louveteau récemment intronisé loup est né un chaud soir de juillet en 1990. Fier descendant de la belle Florence, lorsqu’il poussa son premier cri le vingt et un juillet de cette année-là ses parents étaient en extase. La ville bourdonnait d’une agitation que ceux-ci accordait à ce miracle, à ce nouveau-né portant tous leurs espoirs. Maintenant bientôt âgé de vingt-six ans, le Lupi contemple encore parfois l’ironie de cette entrée dans la vie au son des carillons et des cris de joie lui qui n’a apporté qu’effroi.  ▲  ton clan :Animal sans blason. Leadeur de son propre clan dévoué à la grandeur de sa personne, ce n’est que par appât du gain que Romeo a décidé de s’attacher à une des grandes familles de Florence. Conscient de la petitesse de ses actions, de cette chair exempte de pouvoir qui lui avait été légué, homme avide d’un pouvoir lui échappant toujours un peu plus de ses doigts, c’est à l’adolescence qu’il lia sa vie à celle de la famille des Verrochio. Traite à son sang, bâtard ayant vendu ses propres parents sur l’autel de sa grandeur, sa décadence n’a pas de limite. Chirurgien à la main infaillible, marchandeur sur lequel on peut toujours compter, le Lupi s’est créé une place au côté des Verrochio tout en convoitant toujours plus. ▲ Ton rang : Il capi intransigeant. Loup ivre du pouvoir offert par son clan, il exerce d’une main de fer sa loi sur les parcelles de territoire lui appartenant. Calculateur froid, manipulateur emblématique, Romeo attend son heure, accomplissant sa tâche jusqu’à ce que l’appel du sang ne devienne trop fort. Jusqu’à ce que le carillon sonne et qu’il ne montre les crocs. Peu importe sa tenue, un loup habillé en agneau reste une créature de cauchemar, une chose sur laquelle on ne peut compter.  ▲ statut civil : Empêché des sentiments. Gamin avorté du cœur, il n’a jamais appris à utiliser son myocarde correctement. D’abord détaché de sa famille, ensuite détaché des corps sans vie sur lesquels il apprit à récupérer les organes, le Lupi manque de cette chaleur faisant battre les veines. Faisant pomper le myocarde jusqu’à ce qu’il en éclate sur les murs. Célibataire à la dent dur, batard fini incapable de s’attacher correctement, il se mure dans sa solitude. Se noie sous la froideur de cette distance qu’il s’impose, à cause de cette absence de contact. Il les aime ravagées, décharnées, complètement dévastées, mais jamais à ses côtés. ▲  orientation sexuelle : Aveugle du cœur, amputé des sentiments, le désir est une notion échappant trop souvent au Lupi. Courir après des courbes féminines, se pâmer d’amour devant la virilité de ses prétendants lui est inconnu. Pourtant, après avoir été embrassé par un garçon ivre dans un bar, impact de dents et goût amer d’alcool trop longuement consommés, Romeo a commencé à se dire qu’il n’était pas fait pour ça. Pas fait pour les mains rustres et les lèvres déchirées. Pas fait pour la force des bras musclés et des effluves masculines faisant tourner la tête. Depuis lors hétérosexuel, il ne s’est plus jamais laissé aller aux yeux trop profonds des méchants garçons.  ▲  metier : Romeo a toujours été fasciné par le tangible, la beauté de l’ineffaçable. Une cicatrice aux teints pourpre striant une lèvre anciennement ouverte, une tâche de naissance rendant son possesseur unique. C’est cette passion pour le permanent et la beauté de l’art sous sa forme la plus primitive, la chair, qui lui fit ouvrir un salon de tatouage. [iPropriétaire de la cave aux loups[/i], l’homme aux crocs acérés en est aussi le principal tatoueur, partageant ce titre avec ses meilleurs amis. La cantina di lupi est une enseigne à la hauteur de son propriétaire, mystérieuse, brumeuse et étouffante, ceux qui y rentrent n’en sortent jamais totalement les mêmes. Que ça soit pour se tatouer le nom d’un être proche sur le cœur ou y perdre une partie de soi, la cantina di lupi est un endroit qui laisse des marques. ▲  situation familiale : Second fils d’une fratrie de deux, le Lupi est le fruit de l’union de deux florentins fiers de leur patrie. Enfant étouffé depuis sa plus tendre enfance par la petitesse d’esprit de ses proches, gamin différent rêvant de grandeur et de décadence, l’esprit étriqué de ses parents l’insupporta tout au long de sa vie. Ramassant le long des pavés ceux dont il fera sa nouvelle famille, sa sœur et son frère de galère, l’ivresse d’une jeunesse toute puissante lui fit perdre la tête. Œdipe désireux de tuer son père, non pas pour posséder sa mère, mais tout posséder, il vendit son âme aux enchères à la famille régnante lui paraissant être la plus apte à exaucer ses souhaits. Orphelin par choix, les Verrochio aidèrent le gamin en mal de pouvoir à accomplir ses sombres desseins. Commettre la triple honte du patricide, matricide et fratricide,  ne fut pas suffisance pour étancher la soif de pouvoir de l’adolescence. Les Verrochio pourrirent la dent sucrée du garçon qui découvrit dans l’excavation du cœur un frisson que rien ne pouvait lui offrir. Pour eux, il entama des études de médecine, s’arrêtant une fois le plus important à ses yeux appris, avant de fonder sa famille, leur offrir un foyer, un métier, tout ce dont ils pouvaient désirer. ▲  traits de caractère : L’avidité de la bête, le souffle brûlant de l’animal. La colère et les influx rageur de l’être n’ayant jamais été éduqué, l’indomptable force d’un cœur que personne ne chercha à apprivoiser. La froideur méthodique du chirurgien, les doigts immobiles et la concentration de celui qui tient la vie à pleine main. Cet arracheur de dent, arracheur d’espoir, nouant à ses doigts des bagues de sanglots, gardant l’image de ses victimes un sourire satisfait aux lèvres. Le morbide de l’étudiant de la vie, celui qui a besoin de comprendre, en profondeur, d’exhumer les secrets les plus profonds de l’humanité. La folie des grandeurs de l’incandescent, sa mégalomanie étouffante, son besoin d’en savoir plus, d’être plus, ressentir plus, offrir plus. La brûlure qu’arrache son contact éphémère et son caractère revêche, inconstant. Ses habitudes de travers, ses manies irritantes, ce besoin de tout classifier, de tout organiser, d’agir dans l’ordre, de tout contrôler. Et l’avide. L’avide qui revient en permanence. L’avide toujours coincé dans les pensées. Ce besoin d’obtenir plus, d’avoir plus. Ce besoin de viser les étoiles en sachant que pour atteindre la lune il lui faudra faire tomber le roi de son piédestal. ▲  groupe : end of the beginning (d'ailleurs y a une faute dans ce groupe, il est écrit begenning avec un e au lieu du i)▲  crédits : votre réponse ici  votre réponse ici
▲01. Le monstre aux traits angéliques, le démon se repaissant de la chair même de sa famille. Le loup au milieu des brebis, la créature faisant du patricide un acte de foi. Un acte de bonté, une mort offerte sur un plateau d’argent telle une libération que ces pauvres fous avaient mérité. Le seul regret de Romeo est de ne pas l’avoir fait de ses propres mains, ne pas avoir eu le plaisir de laisser danser le scalpel le long des chairs mortifiées de ses proches. Il offrit comme sacrifice au roi Verrochio sa famille, la chair de sa chair, le sang de son sang, s’élevant au-dessus des chaines de tout fils, de tout frère. A ses quinze ans, le brun devint quelque chose de plus, se faisant fou afin de pouvoir convoiter le roi.  ▲02. Bourré d’anxiétés depuis la plus tendre enfance, obsédé par l’ordre, la propreté, le Lupi passa de longues heures à parler de ses problèmes. A son psychiatre, à sa psychologue, répéter encore la même chose aux conseillers d’orientation, à ses parents, à ce frère qui ne comprenait rien. Avec le temps, il s’est mis à gober des pilules, troquant la douleur contre les médicaments, éteignant le feu en ses veines à coup de produits chimiques. Il les connait tous, les a tous goûtés au moins une fois. A tel point qu’il ne peut se défaire de ces béquilles chimiques, devenant falsificateur de prescription pour ne pas avoir à expliquer comment il finit bouteilles de somnifères sur bouteilles de somnifères.▲03. Dictateur autoproclamé d’un royaume bâti au centre ville. Propriétaire fier de la Cantina di lupi, le brun fonda son propre salon de tatouage après avoir abandonné les études de médecine un an plus tôt. Avec l’argent des Verrochio, il se créa un empire sommaire, marquant les chairs désireuses de cicatrices à l’avant avant d’en faire autant dans la baignoire de l’appartement au-dessus de l’institution, centre névralgique de sa vie et de ses malversations.   ▲04. Orphelin par choix, père de famille par envie, Romeo ramasse les rejetés dans la rue comme d’autres collectes les timbres. Amoureux des causes perdues, il leur donne un foyer, une raison d’être. Ses deux plus proches ratures sont ses acolytes de toujours. Des moins que rien qui rêvaient de plus, souhaitaient passer outre leurs origines brumeuses afin de devenir quelqu’un, quelque chose de plus.  ▲05. Ancien étudiant en médecine, Romeo est d’une précision extrême avec un scalpel. Après avoir travaillé à la morgue, s’entraînant sur les corps anonymes voués à la fosse commune, il se plait à repousser les limites ésotériques des connaissances du corps humains. Il souhaite s’approcher au plus près de la réalité de la vie, au plus près de la réalité de la mort. Passion morbide l’ayant accompagnée toute son enfance, grandissant avec lui à l’adolescence, il sait ses passions peu recommandables. Sait sa fascination du souffle glacé répugnante pour certains. Il ne s’en soucie guère, trop occupé à comprendre les limites de la vie, de sa propre mortalité.  ▲06. Caractère obsédé du mégalomane. Décadence sanguinolente guidant les doigts de l’ivre de puissance, le Lupi fait partie de ces personnes incapables de se contenter de peu. Il veut tout. Tout de suite. Il veut tout et son contraire, la vie et la mort, le calme et le chaos. Il veut sentir dans ses battre l’inconstant rythme d’une vie qu’il ne contrôle pas, souhaite sentir en sa chair l’absolu d’un néant sur lequel il n’a aucune emprise. Mégalomane aux aspirations inatteignables, il veut faire tomber son roi de l’échiquier, prendre sa place pour que la terreur règne et que son nom soit scandé par les bouches affolées des pions à sa solde. ▲07. Etre fait de maladresse, de timidité, sa pudeur n’a aucune limite. Gamin asocial, adolescent incapable de se défaire des premiers émois, le corps humain l’attire autant qu’il le repousse. L’anatomie n’a pas de secret pour lui qui frôle de ses doigts assurés la chair glacé des morts sur le point de traverser le Styx. Néanmoins, la peau tiède, les opales brulantes lui sont étrangères. Beauté indomptables, lèvres trop pleines, il ne sait comment s’éteindre le long des courbes d’une autre. Ostracisé par choix, mal à l’aise sous les doigts inquisiteurs d’étrangère désirant sa langueur en leur sein, il n’a pas le cœur aux étreintes passagères, au folie embrumée. Pourtant, il s’oublie parfois. Lorsque le cœur a du mal à battre, lorsque la peau s’est faite de glace, lorsqu’il a besoin de sentir le sang couler dans ses veines. Il s’éteint alors sur les lèvres muettes d’inconnues auquel il refuse son nom. Et ça lui fait mal. Mal de s’oublier ainsi dans les gorges de filles aux destins scellés par les doigts d’une famille les ayant placés sur cet échiquier. ▲08. Homme de parole plus que d’acte, manipulateur déplaçant avec agilité ses pions sur l’échiquier de la vie, Romeo n’est jamais sur la première ligne. Il envoie ses orphelins combattre ses luttes, les pressant vers un front lui étant inconnu. Le Lupi est fait pour l’ombre et la lumière. Fait pour le commandement sans jamais gouter au sang et à la poussière. Il est fait pour attendre dans la voiture, observer au comptoir, toujours à distance. A distance du sang, distance des étreintes et des mouvements discordants. Jusqu’à ce que le scalpel morde la chair et qu’il se fasse tout puissant. ▲09. Après avoir vendu son âme aux enchères, récupérant les billets que les Verrochio lui offrirent pour sa donation, Romeo fut récupéré par les services sociaux. Balloté de familles en familles, lorsque son étoile filante fût en âge de prendre son appartement, il alla vivre avec ce dernier. A deux ils refirent le monde, à leur chair les promesses gravées de leur loyauté indéfectible envers l’autre. Leur étoile naine, princesse de ce trio magique, les rejoignit presque aussitôt, créant un quotidien fait de tendresse et d’une liberté enivrante dont ils ne pouvaient se défaire.  ▲10. Ivre des grandeurs, gamin obsédé par l’idée de devenir quelqu’un. A force de contempler Atlas porter le poids du monde sur les épaules il a tant souhaité graver dans sa chair le poids de sa vie. Tatoueur réputé dans la région, son corps est recouvert de tatouages réalisés par ses proches ou lui-même. Au détour des années, faisant de son corps une fresque, le brun a finalement trouvé le moyen de se rendre intemporel, journal de vie sur pieds qui ne demande qu’à retourner à la terre pour qu’enfin s’efface ses lignes.

ton pseudo : still the-last-shewolf, parce qu'on est plusieurs dans ma tête maintenant  ▲ ton âge  : j'ai un peu vieilli, mais pas tant que ça, 21ans▲ ton pays : Belgica ▲ ta fréquence de connexion : aussi souvent que possible, j'ai une pathologie couramment nommée : addiction ▲ comment t'es arrivé ici ? le saint esprit ▲ ton avis sur le forum : je le déteste, il pue la merde c'est d'ailleurs pour ça que je me dédouble alors que je fais jamais ça  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2176248990un commentaire ? come to me my babies so i can cut a little bit there and there  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1419944056



Dernière édition par Romeo Lupi le Ven 13 Mai - 16:57, édité 5 fois
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Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir

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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 19:15


what a cold star i would make

As what is myself, forgive me — I am a violent faulty thing.

Moi j'irais tuer mon père non je ne suis pas un ange

Les rêves qui coulent entre les doigts, la jeunesse qui s’envole avant d’avoir été vécue. Au cœur, les regrets, la rancœur d’une destinée gravée dans les draps de soie et de la pitié sur les pavés. Enfant moyen d’une famille moyenne aux revenus moyens. Une normalité accrochée à ses mains, une absence d’excellence que le gamin spolié par ses origines ne pouvait arracher à sa peau. Il avait beau frotter tous les jours, frotter jusqu’à en rougir ses doigts, cette saloperie de normalité refusait de partir. Il pouvait la sentir s’agripper à ses phalanges, remonter le long de ses bras. Peu importait les cachetons avalés, l’anxiété tenue à distance par la félicité d’une camisole chimique. Ils le disaient angoissés, désespéré, attiré par une mort qui refusait de s’offrir à lui. Ils le disaient incompréhensibles, étrange, étranger à sa propre famille. La psychologue le regardait de ses yeux trop vides, le psychiatre un sourire féroce aux lèvres, le pharmacien avec ce désintérêt que le Lupi ne pouvait supporter. Le gamin avait toujours voulu attiser les flammes. Le feu de la haine, le gouffre de l’envie. Il voulait voir naitre dans les prunelles sans vie de ses opposants des sentiments trop grands pour leurs épaules écrasées. Il en avait imploré les Euménides, ces déités persécutrices, de l’écraser de leur fléau. Frôler de leurs doigts tordus le dessus de son berceau et tisser dans la toile de son existence une calamité telle que sa vie en sera changée, sa personne transcendée. Allongée à même le sol de sa chambre, un joint à moitié consumé aux lèvres, il observait les fissures du plafond avec la méticulosité et le désintérêt que seuls les adolescents en mal d’être arrivaient à produire. Il savait qu’il était l’unique responsable de la venue du démon. Il avait laissé ce dernier entrer dans sa maison, lui offrant les clés de sa demeure dans le but de le voir détruire les fondations, déchirer le papier peint en couvrant les murs du sang de ses habitants. Romeo pouvait entendre le remue-ménage dans le salon. Les chaises qui raclent le sol, le salon retourné par les mains fébriles des porteurs de la mort. Il entendait les cris terrifiés de ses parents, la bravoure pleine d’inanité de son grand-frère. Peut-être aurait-il dû l’épargner. Ce pauvre bougre. Peut-être aurait-il dû attendre que ce dernier retourne à l’université, lui laissant l’opportunité de ne pas être au mauvais endroit au mauvais moment. Contemplant les fissures dans le plafond, écoutant le spectacle terrorisant et à la fois fascinant se déroulant à l’étage en dessous, l’adolescent exultait. Non. Ses parents lui avaient offerts une vie tragique. L’avaient affublé de ce nom grotesque. Lui avait mis sur les épaules le poids d’une tragédie qu’il se devait de porter, le poids d’une vie romancisée. Ils l’avaient arraché à sa belle Verone. Lui avaient oublié sa Juliette, faisant de ce pauvre Romeo un être seul. Lui inoculant la tragédie dans les veines, incapable de lui offrir une vie à la hauteur du paria dont il avait été inspiré, le manque avait fini par s’installer. Le besoin de plus. Le besoin de se forger le long des lames acérées d’un destin trop grand pour lui. Le cœur au bord des lèvres, les cris de sa mère s’éteignant alors que ceux de son frère se faisaient haletant, il avait promis de ne pas descendre. Promis de ne pas observer les cavaliers de l’apocalypse à l’action. Pourtant, le désir en faisant trembler ses doigts, le besoin de mettre des images sur ces sons délicats lui consumait le cœur. Le joint au bord des lèvres, la passion illuminant ses prunelles dans lesquels n’existaient que des crépuscules, il ouvrit la porte. La troisième marche de l’escalier en partant du haut avait toujours grincé. Dans un râle d’agonie, Romeo avait toujours eu l’impression que la maison leur disait qu’elle souffrait. Souffrait de cette banalité exposée en ses murs. Souffrait de cette vie passée à contempler des êtres inanimés. Une marche à la fois, le cœur fébrile pour la première fois, c’est à bout de souffle qu’il posa son pied sur la troisième marche. Le silence l’accueillit alors qu’en bas un autre cri déchirant s’échappait des lèvres de son père. Les yeux posés sur la fresque digne d’un Jackson Pollock à ses plus belles heures, le brun contempla son œuvre avec une fascination morbide. Le sang recouvrait les murs, l’organe ayant cessé de battre posé dans un caisson réfrigéré en attendant les autres. Les membres devenu sans vie d’une mère n’ayant jamais été que l’ersatz d’une harpie vengeresse. L’image était vivifiante, s’incrustait par tous les pores de sa peau alors que le Lupi se régalait de cette liberté retrouvée. Se régalait de cette liberté en devenir, cette rupture de la vie familiale, loin des repas silencieux, loin des plaintes dégueulasses et d’une normalité étouffante. Le regard fou, les traits tirés en une grimace de satisfaction, face aux prunelles suppliantes de son père il ne put s’empêcher de souffler : « Je crée ma légende. »

Moi contre ton épaule je repars à la lutte, contre les gravités qui nous mènent à la chute

« Je t’avais dit que la médecine te convenait pas. T’es plus douée pour blesser les gens que les soigner. » Un sourire amusé aux lèvres, allongés le long de la table flambant neuf du salon de tatouage, Romeo haussa les épaules. La médecine n’avait jamais été qu’une pierre à son édifice. Un moyen d’atteindre ses objectifs. Le bras tendu vers sa protégée, la gamine qu’il avait arraché au foyer déchiré d’un père alcoolique et d’une catin à la solde des Donatello, il haussa les épaules alors qu’elle appliquait le calque sur sa peau brulante. Accoudé au comptoir, son frère d’armes, son frère d’âme l’observait les lippes tordues en un sourire complaisant. Une étoile naine en train de se consumer et une étoile filante ayant cessé de bruler, il aimait sa famille d’adoption. Sa famille de choix. Il aimait ces êtres qu’il avait sélectionnés à l’aube de l’adolescence, nouant à leurs poignets des chaines que rien ne pourrait briser. Après les avoir arraché à leurs vies merdiques, s’intronisant chevalier à leurs yeux dithyrambiques, il s’était fait centre de l’univers, soleil brûlant de rayons aveuglant. « T’es sur que tu veux que je le fasse ? J’ai pas encore vraiment pratiqué… » Un sourire attendri aux lèvres, le Lupi hocha lentement la tête avant de glisser un pouce sous l’élastique de son boxer pour dévoiler un tatouage dont peu avaient connaissance. « C’est un rite de passage, l’autre con m’a marqué quand on avait quinze ans. J'en ai fait autant l'année d'après, on a tout les deux pu s'exercer sur toi. Maintenant, c'est à toi de le faire. » « Je sais quand même pas si c’est la meilleure idée de la laisser faire sans formation appropriée. » Tendant la main vers son ami, ignorant sa remarque fondée, il demanda silencieusement à ce que ce dernier lui offre la clope se consumant entre les lèvres avant de répondre simplement : « Je veux juste qu’elle me laisse une cicatrice. » Après avoir inhalée une première taffe, observant le plafond sans fissure de sa cantina di lupi, son œuvre, il se laissa bercer par le son régulier de la machine s’enfonçant dans sa chair. Peut-être qu’il n’aurait pas dû dire des mots pareils. Peut-être qu’il n’aurait pas dû le dire comme ça. Laisser s’élever dans l’air son besoin d’être amoché par la vie, amoché par eux, les seuls qui comptaient à ses yeux. Il aurait pas dû lui offrir une autre raison de se désillusionner, une autre raison d’espérer quelque chose qu’il ne pouvait lui donner. Son cœur avait été arraché le jour où les démons étaient venus chercher ceux de ses parents. Il leur avait laissé, récupérant une liasse de billets contre les corps vidés de leur substance. Depuis, ça ne faisait plus mal, ça ne faisait plus rien. L’antarctique battait dans ses veines, enflammant les glaciers gonflant ses poumons. Le Lupi pouvait parfois sentir le givre s’échapper de ses lèvres, sentir le froid s’échapper par sa bouche comme si l’enfer en son thorax avait fini par s’échapper. Les yeux clos, s’offrant à ses amis en une vulnérabilité dont il ne faisait jamais preuve, ce sont les doigts pressants de l’étoile filante qui lui firent ouvrir les yeux. Contemplant le visage de ce ravage de la vie, ce gamin de personne abandonné à l’orphelinat comme un jouet cassé, il l’interrogea du regard. « Qui l’aurait cru, elle est plutôt douée. » « Vas te faire foutre. » Un sourire étirant ses lèvres alanguis, de son air assoupi il se noya dans les prunelles de son étoile naine, laissant l’éclat de celle-ci lui bruler les prunelles. Il posa à peine un coup d’œil au tatouage, heureux du rendu, heureux de cette marque de la vie, cette cicatrice qu’il pouvait exhiber. Après s’être redressé, retrouvant le contact du sol, il posa ses mains sur le crane de la belle, embrassant son front avec une tendresse qu’il n’offrait qu’à elle. « Ecoute pas ce pauvre con, il est pas mal pour une première fois. » « Si t’en perds pas le bras. » « A la place de faire le con tu pourrais recommencer à bosser, c’est beau d’avoir un salon de tatouage, mais tant qu’on a pas fini l’intérieur on peut pas bosser. » « Ouh, Romeo, tu sais que j’aimes quand tu te la joue patron avec moi. » Bousculant sans ménagement son frère par choix, il reposa ses prunelles sur sa belle, contemplant le soin que cette dernière prenait à observer le tatouage, essuyer le surplus d’encre avant d’étaler de la crème et le recouvrir. A croire qu’il était une œuvre d’art, un chef d’œuvre de la vie qu’elle craignait de briser de ses doigts maladroits. De ses yeux trop naïfs, ses prunelles ingénues ne lui permettaient pas de voir la réalité de ce qui se trouvait devant ses yeux. Le Lupi n’était rien de plus qu’un accident de parcours, un carambolage qu’on peut pas éviter. Il était pas un chef-d’œuvre, juste une rature qu’on avait oublié d’effacer.

dans les gorges des filles oui tout s'oublie
l'hémorragie de nos mélancolies

Le rythme de la basse grondant entre ses côtes était enivrant. Portant un verre de champagne à ses lèvres, il regardait ses comparses de toujours ferrer leur proie de ce soir. Pareil à deux prédateurs œuvrant en tandem pour chasser un animal effrayé, contempler leurs mouvements organisés et sensuels était un spectacle envoutant pour le Lupi qui ne comprenait rien aux charmes naturels de ses amis. Lui avait toujours le cœur au charnier, toujours l’esprit voguant sur d’autres hauteurs alors que de braves inconnus essayaient de draguer le garçon étrange, l’homme encore trop juvénile dans ses relations. Le rythme que battait son cœur était impossible à ignorer. Romeo avait l’impression que quelqu’un avait planté des enceintes au milieu de son torse, faisant de sa cage thoracique une boombox qu’il ne pouvait arrêter. Installé au comptoir de la boite de nuit, ses yeux ne quittaient pas l’étoile filante et l’étoile naine. Il les voyait briller, attirer eux sur les regards envieux des danseurs inconscients du piège que leur duo formait. Les lèvres de sa belle s’étaient posées sur la nuque tendre d’une inconnue, la jeune femme qu’il avait décidé de dérober à la vie. L’enfant prodige d’une famille dont le bonheur était écœurant. Dans un majeur tendu contre la vie, un Vas te faire foutre tonitruant, le trio choisissait toujours ceux favorisés par le destin. A croire qu’ils portaient en leur cœur une rancœur intarissable, un déficit de l’estime dont ils ne pouvaient se défaire. Le cœur au bout des phalanges, la tendresse de sa chair était insupportable pour le brun qui se forçait à regarder le spectacle. Regarder l’accident de voiture, l’impact s’apprêtant à se produire. Son frère posa ses lèvres sur celles de la jeune femme, s’amusant de la torture qu’il imposait à la gazelle prise dans leurs filets. Il le voyait à la tension dans sa nuque, la douceur imparfaite de ses traits. Il savait comment ces deux-là jouaient la comédie. Comment ils paraissaient plus qu’il n’était une fois la nuit tombée. Il le savait car c’était pour ça qu’il les avait trouvés. Pour combler le manque, combler cette absence. Afin de ne pas être seul, afin de trouver d’autres orphelins avec lesquels porter son linceul. Les mains caressent, les mains s’aventurent de manière effrontée dans des territoires non vierges depuis longtemps. Déglutissant à cause du malaise, le Lupi descendit son verre en une gorgée avant de le poser sur le comptoir et sortir de la boite. S’installant au volant de sa voiture, il ne fallut qu’une dizaine de minutes à ses amis pour ramener le corps inconscient jusqu’au coffre.
Comme toujours, avec la force et la passion d’un acharné, il était celui se retrouvant à gratter les plaques de sang coagulé sur la faïence de leur baignoire. Il frottait encore et encore, laissant au produit rongeant ses gants et aux cris brûlant de ses amis le soin de faire fondre la matière grise en son crâne. Les émanations de produit chimique lui donnait des hauts les cœurs ou peut-être que c’était les gémissements s’échappant de la chambre annexe à la sienne. Annexe à la salle de bain. Ravalant le cri rageur menaçant de s’échapper de ses lèvres, faire tomber les murs le séparant des corps emmêlés et brulant de la pièce à côté, il frottait d’autant plus. Frottait dans l’espoir qu’à force de récurer cette baignoire il allait arriver à arracher à son cœur le bitume qui s’était collé là. Rien n’y faisait, il n’entendait que leurs cris entremêlés, leurs râles bestiaux s’échappant de lèvres ne demandant qu’à se perdre contre l’autre. Les dents serrées, aux yeux les embruns d’une amertume qu’il ne pouvait expliquer, Romeo se leva d’un bond, jetant ses ustensiles dans la baignoire immaculée depuis de longues minutes. Allant se poster devant la porte fermée de son ami, faisant de son mieux pour ravaler les flots de fiel menaçant de s’échapper de ses lèvres, ce n’est qu’une fois le silence revenu qu’il se permit d’abattre son poing sur le bois de sa porte. Lorsque celle-ci s’ouvrit, dévoilant une étoile naine se consumant entre des draps froissés sur son corps nu, il détourna le regard de peur de s’y perdre. Se perdre le long de la cascade de tissu épousant ses formes avec trop de soin, caressant la vallée de ses seins avec un flegme le rendant fou. « Vous pourriez pas la boucler un peu ?! » Derrière la silhouette de la belle, allongé sur son lit dans une nudité transcendée, le prince décadent s’amusait de ce frère dont l’étrangeté l’avait toujours rendu perplexe. « On a réussi à ferrer une bonne prise ce soir, tu devrais fêter ça aussi. Pourquoi tu ramènerais pas une belle gonz ? Si tu veux j’ai le numéro d’une belle rousse qui rêverait de passer du temps avec toi. » Lui jetant un regard à la colère insoutenable, il planta ses prunelles sur l’étoile naine, celle qu’il avait toujours cru comprendre, celle dont il savait être désiré. Peut-être que c’était ça qui faisait le plus mal : voir qu’elle ne pouvait pas l’attendre ? Voir qu’elle n’avait pas le cœur à se faire souffrance jusqu’à ce qu’il soit prêt. Jusqu’à ce qu’il sache comment ramener l’été dans son thorax. La déception débordant de ses prunelles à l’obscur jugement, il la fixa de longues secondes avant de tourner le dos à cette vision d’apocalypse. Il l’entendit plus qu’il ne le vit, le drap qui s’affaissa à même le sol, les pas pressés cherchant à le rejoindre, traverser à la nage cet océan qu’ils avaient mis là, entre eux. Plus rapide, plus déterminé, sa porte claqua avant qu’elle ne puisse le rejoindre, avant qu’elle ne puisse l’arrêter. « Romeo ! » La plainte flotte dans l’air, il n’entendait pas, refusait d’entendre. L’habitude guida ses mains alors qu’il retrouvait la boite de comprimés, avalant ses belles pilules pour faire disparaître l’anxiété, pour oublier cette impression de noyade. Il avait tant voulu être une légende, un héros. Il avait fait de son mieux pour devenir un plus qu’homme, un presque dieu dont la fourberie le mettait sur un pied d’égalité avec un Floki au rire grinçant. Il avait tant travaillé à créer sa fable de toute pièce, oubliant au passage que les légendes n’ont jamais de fin heureuse.



Dernière édition par Romeo Lupi le Ven 13 Mai - 11:42, édité 7 fois
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 19:32

On promet tous. Puis c'est le drame. EN PLUS AVEC DOLAN BORDEL DE DIEU. J'exige un truc qui déchire, à nouveau.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1840478431 Bienvenue parmi nous à nouveau mon beau, et bonne chance pour ta fiche !  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3058302029  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 275567650
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 21:14

Je ne sais qui tu es en compte principal MAIS laisse-moi te dire que je pourlèche ton choix de vava pour celui-ci.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3058302029
Rebienvenuuuu !  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 275567650
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 22:05

Parce que tu pourlèche pas Logan MARTATOUUUUUUUUUUUUU  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2978968014

Les Moretti, vous savez déjà que je vous aime.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2745651735  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 198152450
Lino avec plaisir pour le lien, si t'as pas trop peur d'un voleur d’organes obsédé par le pouvoir.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 225179245
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 22:13

HAN C'EST TOI MON LIVIOUNET. Meuh si je pourlèche Logan, oeuf course.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 459362272
Il nous faudra un lien aussi pour la peine.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1999688349  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 808101704
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 22:49

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Je préfère ça quand on me reconnait.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2745651735 Je suis trop VIP.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2745651735 Ou pas.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3495551740

Avec plaisir pour le lien.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1999688349  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2867506033  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 14883531
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Altair Esterhazy
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Altair Esterhazy

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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Jeu 12 Mai - 23:15

Meeeeh, ce DC de folie  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 4260347001
Avec le beau Xavier  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1999688349
Re-bienvenue  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3301814932
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 6:11




Ouh ils vont s'entendre nos loupiots  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 225179245
Bienvenue  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 198152450
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 7:54

Je vous léchouille partout tous les deux  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 4042572647  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 225179245

altair  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2745651735  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2563884465  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2628182153

lupo, deux loups chez les Verrochio, ça risque d'être intéressant.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 459362272  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3301814932
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 8:04

reeee, très bon choix de nom, de famille et d'avatar  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 4260347001 I love you
je veux un lien  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 198152450
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 8:41

Quel choix d'avatar ! C'est un de mes coups de cœur du moment  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3540166279 Mais bon en toute objectivité je préfère Livio Arrow  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2272051206
Re-bienvenue parmi-nous du coup, j'ai hâte d'en lire plus !
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 9:48

petite verrochio, il nous faut un lien d'office  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573 en plus, vu la fourberie du lupi, ça l'intéressera de s'approcher de la petite princesse pour paraître intouchable.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 225179245

amadeo,  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2649522668 à moi aussi!  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1978493442
Encore heureux que tu préfères Livio, je me poserais de question sinon  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 677937683  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3550215434
 my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2563884465 merci  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2634659471
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Celestina Ucello
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Celestina Ucello

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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 17:43


TU ES VALIDÉ(E) !

BIENVENUE CHEZ TOI


Je vais vraiment me dire que No church a un pouvoir spécial ou je sais pas trop tellement à chaque fois tu me ponds des merveilles, heureusement que tu as sauté le cap du dc parce que Roméo est une perle. Non seulement c'est un grand dangereux (c'est que j'adore ce genre de personnage  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 459362272) et comme toujours ta fiche est un délice (je sais pas comment tu fais pour écrire autant, j'admire, et je déguste comme un roman  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2834142672 et puis tes idées encore, elles sont toutes parfaites  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2003563851 Le clan Verrochio avec les personnages qu'il a c'est de loin le plus fascinant je trouve (ils me font tous peur  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1840478431).

On va dire que le gif est totalement en relation hein  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 2272051206 Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pense à faire un détour par la LISTE DES METIERS. Tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu.

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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)
Ven 13 Mai - 18:35

 my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 41209573  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 198152450  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 198152450  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 198152450
Va falloir arrêter avec les compliments, moi aussi je vais finir par devenir megalo.  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 1078336339  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3050400601  my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo) 3987002876
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Sujet: Re: my poor mother begged for a sheep but raised a wolf (romeo)

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