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Auteur | Message |
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Lavinia Lucania Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: le paradis perdu Lun 25 Juil - 22:02 |
| Lavinia Lucania l'empire des désirs, les déserts du plaisir. | nom : lucania. c'est l'inconnu. c'est papa, cet homme qu'elle ne connait pas dans le fond, ou peu. trop peu. ▲ prénom : lavinia, vierge shakespearienne scarifiée, à l'innocence sacrifiée. ▲ âge et date de naissance : ding dong, vingt et une années ont frappé en ce jour du printemps passées à déambuler dans les rues de florence, et c'est l'indolence de l'enfance qui au loin semble s'envoler. ▲ ton clan : la grande faucheuse, marchant de deuil, despote de l'arsenal. ucello à la vie, mais surtout à la mort. ▲ ton rang : rien de plus qu'un pion, de la chair à canon. bonne à tout faire, docile soldat, la voix décrète et elle obtempère. ▲ statut civil : étreintes d'une nuit, caresses éphémères. lavinia est de ces chimères fugitives qui se laissent désirer un temps pour rendre la rupture plus amère. ▲ orientation sexuelle : les mains rugueuses fantasmées le long de ses reins, les courbes plantureuses lovées contre son sein ; tous ces corps la fascinent indifféremment. ▲ métier : elle se rêve parfois ballerine, se jure abbesse pour les entendre supplier, louer cette beauté qu'elle ne peut gâcher. elle rend parfois des services au clan, mais l'oisiveté de l'opulence lui reste attitrée. ▲ situation familiale : gamine puînée du sous boss qu'elle respecte et qu'elle craint à la fois sans toutefois vraiment le connaître, la gosse a grandi auprès de sa mère. tenue éloignée tant bien que mal de la violence du quotidien du paternel, il a cependant toujours été suffisamment présent pour qu'elle n'ait à manquer de rien. ▲ traits de caractère : calculatrice, sibylline, rusée, orgueilleuse, défiante, placide, enjôleuse, vénale, mutine, tentatrice, étonnement affectueuse. ▲ groupe : strong and wasted. ▲ crédits : viceroy, tumblr, henri-pierre picou. |
| ⊱ entre ses lippes roses de fillette défilent aussi bien des cigarettes que des sucettes. ⊱ le sexe. la luxure. le fruit défendu. le pêché trop souvent décrié, dénoncé. la curiosité l'a emportée. le plaisir l'a emportée. elle commence à offrir ses seins et ses soins à des camarades du lycée mais a tôt fait de découvrir que les mains savantes et âgées lui siéent bien mieux que celles des puceaux sauvages qu'elle avait jusque là envoûtés. ⊱ éducation puritaine, traditionnelle ; la belle se révèle parfois étonnement maternelle. prête à marier, parfaite future mère au foyer, mademoiselle joue la revêche : son pygmalion lui est déjà promis et elle ne se donnera à quiconque d'autre que lui. ⊱ lavinia a vu. lavinia a su. toutes ses paroles apocryphes que l'on transmet, toutes ses oraisons sacrilèges que l'on tient pour vérité. foutaises, blasphèmes. le dogme lui est apparu. transgresser pour vivre au plus près du sacré. ⊱ Le corps maculés de zébrures indélébiles. Balafre le long de ses côtés, comme si on l'avait empalée par le côté gauche. Estafilades maculant la paume de ses mains. Stigmates, don du divin promis. ⊱ kaléidoscopique gamine, voilée derrière un éternel sourire d'arcane. les limbes de son cœur et de ses pensées demeurent à jamais criblées. ⊱ le frisson contre son échine et les hanches qui se déhanchent au rythme de la musique qui tambourine. luxurieuse et luxuriante, lavinia l'indolente ne réalise pas, dans sa transe, l'effet qu'elle fait quand elle danse. ⊱ vénale sylphide ne vit qu'à travers le regard des autres. il faut se détacher de l'ombre de papa dont on ne reconnaît que trop bien le nom. elle a besoin de se sentir admirée, jalousée, idolâtrée, besoin qu'on lui reconnaisse une valeur, quelque importance bien à elle. ⊱ mélodies d'antiquité, sonorités caduques, elle chérit comme le plus précieux des trésors un vieux tourne disques. présent paternel, témoignage d'une tendresse tout sauf soupçonnée qu'elle préserve religieusement. ⊱ papa. elle ne peut lui reprocher nulle absence, nulle indifférence. mais l'homme dégage une telle aura de violence qu'à trop s'approcher du loup, elle a peur de se faire croquer. elle l'aime, foncièrement, à n'en pas nier. elle ferait tout, tout pour le protéger, mais en face de lui ne peut s'empêcher d'avoir une attitude de retrait. ⊱ fratrie morcelée en diverses femmes et contrastée. môme de l'entre-deux au rôle double et permuté. aînée d'une petite sœur incomprise pour son agressivité, cadette d'un grand frère dont la vulnérabilité donne envie de le préserver.
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ton pseudo : pétrichor, la terre après la pluie ▲ ton âge : seize timides printemps. ▲ ton pays : la france, un peu l'espagne ▲ ta fréquence de connexion : c'est les vacances donc . ▲ comment t'es arrivé ici ? en errant de clic en clic, y avait de la lumière sous la porte, j'vous ai trouvés beaux alors me voilà. ▲ ton avis sur le forum : . ▲ un commentaire ? merci encore à la jolie danseuse-couturière pour son aide dans ma quête d'une bouille pour lavinia.
Dernière édition par Lavinia Lucania le Mar 26 Juil - 19:31, édité 8 fois |
| | | Lavinia Lucania Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Lun 25 Juil - 22:03 |
| Je meurs de ne pas mourir ô mon dieu vous m'avez blessée d'amour. | |
Développés croisés. Grands ronds de jambe en l'air. Échappés à la seconde. Retirés. Elle s'efforce de garder son estomac plat et ses bras tendu. Son cou commence à pâtir, mais elle s'ingénie à garder une expression d'impassibilité. Tombé pas de bourré. Pirouette. Elle aime à ce que la prunelle des badauds se tourne vers elle, mais ne tient pas à ce qu'on la tienne en pitié. Préparation. Sauts de basque. C'est son moment. Noyée dans la foule des seconds couteaux on ne la discerne qu'à peine mais lorsque vient le temps des pas de deux, elle sent les projecteurs et les regards braqués sur elle. Bref échange de regard avec son condisciple. Préparation. Arabesque. Chassé descendant sur l'autel des planches, et. Rien. Plus rien. Ou plutôt, si. Une lumière éclatante qui obstrue tout autre objet. Ce n'est pas quelque chose d'artificiel, comme si les phares avaient chu et embrasé les tréteaux. C'est une douce aura mystique qui l'englobe et l'isole de la clameur des mortels. Et du cosmos se détache l’Éternel. En Sa main, une longue lance d'or à la pointe ardente, dévorée par des flammes célestes qu'Il semble entrer en elle, lui criblant le cœur, perforant ses entrailles. De ses lèvres s'échappe un soupir obscène. Ses yeux se révulseraient presque. Elle sent la pointe en elle se livrer à une danse lascive. Il est là. Il scintille, Il brille. Il rayonne. Son sourire est béatifiant, semblable à une torride caresse sur chaque parcelle de sa peau. Il est beau. Il est trop beau. Il l'éblouit. Elle est Icare planant désespérément vers un Apollon aveuglant. Elle est déjà tombée. Un Apollon blessant. La douleur sourde la reprend au flanc. Elle tente de retirer la flèche mais ses mains lui brûlent à leur tour. Elle tente de crier, en vain. Elle tente de hurler, supplier que tout cela s'arrête, qu'on la libère, mais rien. Rien ne s'échappe de ces lèvres si ce n'est quelque plainte, quelque gémissement. Elle est hors d'elle, son corps ne répond plus. Le ravissement est trop grand. Elle ne veut suspendre cet instant. L'Être de lumière de nouveau lui sourit, de nouveau l'éblouit. Il tend la main nonchalamment. Elle tente de L'attraper, s'efforce de soulever son bras, ce bras qui lui semble lourd, si lourd, comme si sa vie en dépendait, comme si tout le sens de son existence était contenu au bout des doigts de l'Entité. Mais, pantelante au sol, elle n'est capable de rien si ce n'est, pitoyable, de Le mirer. La Main Divine s'ouvre et révèle en Son cœur un anneau, chatoyant comme son Démiurge, si bien qu'il ne diffère presque pas de la paume. Au sol, la sylphide s'agite. Son cœur bat dans sa poitrine, plus vite encore, plus fort. L'organe sauvage tente de briser sa cage pour rejoindre le Fétiche. Sa respiration est saccadée, ses râles irréguliers, et chacun de ses membres contractés. Ses mains serrent son justaucorps à l'arracher. Ses yeux se ferment. Ses sourcils se froncent. Tout son corps se cabre et se cambre. Alors Il retire Son dard, semblant emporter avec Lui chacun de ses abats, la laissant en échange remplie d'un feu mystique, d'un incommensurable amour. Son visage est peint par l'extase. Jamais n'a-t-elle connu plus douloureuse douceur et plus douce douleur. Nulle main - ni d'homme, ni de vétéran, ni de femme, ni d'adolescent - ne lui a jamais fait connaître telle agonie, telle catalepsie. La caresse transporte son âme comme son corps. Tout lui semble éthéré, mais elle voudrait que cette sensation ne puisse jamais la quitter. Le calme l'envahit, un repos inimaginé. Tous ses troubles semblent à jamais envolé. Autour de son annulaire elle sent encore le brûlant spectre de la présence de l'Alliance, mais il y a cette sensation de vide dans son bas ventre, de froid, comme s'il lui manquait toujours quelque chose. Incomplète. Elle rouvre les yeux. La Vision n'est plus là. Sa lumière cosmique a de nouveau cédé sa place au criard éclairage de la scène. Dans ses oreilles bourdonnent les bruits de pas, les bruits des voix qui accourent, certaines inconnues d'autres familières desquelles se détache celle de sa mère « Vivi ! » plus paniquée et consternée encore. La réalité la frappe comme une balle en pleine poitrine. La tête lui tourne. Elle est essoufflée. La sueur et le cruor la recouvrent d'une poix collante. Elle a la nausée. On la redresse, sans ménagement. On triture sans pudeur la plaie à son flanc et ses mains de carmin. Ses joues se maculent d'eau salée. Elle ne comprend pas. Le vide dans ses entrailles se fait plus oppressant, le froid s'étend à tout son corps d'enfant. Elle est perdue. Où est passé la Présence qui l'apaisait tant ? Elle voudrait se perdre en Elle, connaître encore cette allégresse. « … épilepsie partielle. » « … heurtée… décor mal placé… » Il lui semble saisir des bribes de phrases auxquelles elle ne trouve guère de sens. Des sirènes résonnent au loin. Bientôt, on l'installe sur une civière, on la bande, on la branche. Un inconnu pose sa main étrangère sur sa joue pour attirer son attention à son visage. Comme le contact lui semble vulgaire. Et comme le spectacle de sa physionomie lui semble pitoyable après avoir contempler le faciès du Séraphin. « Mademoiselle, vous m'entendez ? Pouvez me donner votre nom, je vous prie ? » Il braque sur elle une lampe torche, pâle copie du regard du Saint Amant. « Lavinia. » Elle a peine à ne serait-ce que bredouiller. Maman prend le relais. Elle, baisse les yeux et couve tendrement sa main gauche.
Les petites mains d'enfant s'égarent tendrement sur son visage rugueux, buriné par le temps, buriné par la vie. Le doigt innocent glisse le long des sillons qui ornent le coin de ses yeux, de sa bouche avant de tapoter, joueur, le bout de son nez. Le rire cristallin résonne dans la chambre quand de ses mains rugueuses il lui chatouille les côtes pour l'installer sur ses genoux. Bienveillance paternelle ? L'ignorant voyeur pourrait se laisser berner mais elle, elle sait, sent la bosse qui frotte entre ses cuisses blanches. De ses lèvres sèches, il effleure la gorge tandis que sa paluche s'acharne sur le sein. Insensiblement, il soulève la jupe courte, trop courte, et glisse sa patte de loup dans la culotte pour l'arracher. Il la veut. Il perd patience, elle le sait. Elle veut aussi. Mais ce serait la fin du jeu. Il aurait gagné. Ça ne serait plus drôle. La belladone n'est pas prête à se laisser cueillir. Elle se relève, quitte son étreinte et le fixe de son regard mutin. Sa main s'égare sur le chapelet posé sur sa petite poitrine impudiquement exposée. Elle le porte à sa bouche, l'absorbe entre ses lèvres roses et le suçote un instant. « Le Seigneur n'admettrait pas que sa promise s'offre comme ça. » Sa voix est claire, mutine. Innocence illusoire. L'homme grogne. C'est dangereux. Si l'un de ces messieurs se lassent du petit jeu, il la prendra sans vergogne. Mais c'est si bon de jouer avec le feu. L'homme se dresse à son tour, la surplombe de sa hauteur, l'écrase de sa lourde carrure. Il esquiche de sa bouche profane ses lippes de nymphette. Du bout des doigts il lui caresse la joue avant de se saisir de sa gorge. « Si je n'peux te toucher, donne-moi au moins du plaisir. » Les mots tout juste glissés à l'oreille qu'elle plie les genoux et obéit. Ses yeux se calquent sur la croix au dessus du lit, tandis que le butor adipeux agrippent ses cheveux. Sa virginité immaculée se tâche chaque jour un peu plus du jus du fruit défendu.
Dernière édition par Lavinia Lucania le Mer 27 Juil - 16:21, édité 10 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Lun 25 Juil - 22:15 |
| Ma fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiille! T'es de toute beauté!! Papa est fier! J'ai hâte de voir la suite de ta fiche et de te voir parmi nous |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Lun 25 Juil - 22:20 |
| Oh bébé Lucania
Bienvenue parmi nous et si ton père est trop lourd, tu peux venir me voir. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Lun 25 Juil - 22:59 |
| t'es aussi jolie qu'un soleil oh et ce début de fiche, elle est vraiment toute délicieuse cette petite femme, à croquer bienvenue par ici et bonne chance pour le reste de ta fiche |
| | | Lavinia Lucania Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Lun 25 Juil - 23:46 |
| Papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. je fais au plus vite pour la fin de ma fiche, il me reste une poignée d'anecdotes, et la moitié de l'histoire. Lupo, l'ombre de mon papa. merci. j'ai cru comprendre que ça parlait de me pervertir, sur la cb ? Florian. Boyd. merci beaucoup pour ton accueil. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 0:44 |
| Bienvenue! |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 1:11 |
| bienvenue tu as pris la gamine qui baigne dans la luxure que fait-elle chez les ucello ? c'est un crime il faut que Mel demande pour l'acheter le début de ta fiche est sublime (ton pseudo, petrichor ouais, j'ai trop regardé DW) |
| | | Celestina Ucello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 11:12 |
| Seize ans et déjà un talent merveilleux pour l'écriture, tes mots Je crois que je suis jalouse en fait, ça coule tout seul, c'est totalement délicat et recherché et en même temps il y a un côté hyper naturel Je suis amoureuse de ton style et de ton personnage Je ne connaissais pas la jolie mannequin que tu as pris mais elle est toute belle, parfait pour ton personnage ! Bienvenue chez toi |
| | | Lavinia Lucania Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 15:22 |
| merci Oskar. Melchiorre, même que mon papa il me vendra jamais. je suis la pucelle de Dieu, je suis trop précieuse. mais entre nous, on peut toujours s'arranger. merci beaucoup. omg, dw ! shame j'avais jamais fait le rapprochement. il faut vraiment que je m'y remette.awww, Celestina, tes mots me touchent énormément. merci beaucoup pour tous ces compliments. ravie que Paulina et la poupette en général plaise. |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 15:41 |
| à ton papa, je lui ferai une offre bien sympathique et sinon.. on ne lui dit rien et tu te faufiles dehors pour rencontrer le loup |
| | | Otto Bartolozzi Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 17:54 |
| Une Luciana. Tssss. Telle père, telle fille. Bienvenue parmi nous quand même , et comme mes vdds, ta fiche -> |
| | | Lavinia Lucania Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 19:55 |
| tu vas lui faire une offre qu'il ne pourra pas refuser ? j'approuve le mode sneaky ninja. otto. cillian. dead. c'est faux, je suis une vierge prude et vertueuse. no judgement d'abord, on est du même clan. merci beaucoup. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mar 26 Juil - 21:21 |
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| | | Night Ambrose Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu Mer 27 Juil - 10:07 |
| Malheureusement je passe en coup de vent car mon Internet bug et je suis en vacances, mais je suis très contente de te voir sur le forum avec la ravissante Paulina, elle est tellement belle et elle est enfin prise sur un forum, ouiiii . Et ce n'est rien pour l'aide, ça m'a fait plaisir. Bienvenue et quand je serai de retour, je m'empresserai de lire tout ça car à en voir les compliments de MVDD, c'est bien jolie. Amuse-toi bien ici et on se recroisera sûrement sur ta fiche de liens ou la mienne. |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: le paradis perdu |
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