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Auteur | Message |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: ≈ olivia ; the living are hungry Mar 26 Avr - 20:47 |
| Olivia Zorzo We are the reckless, we are the wild youth | nom : Zorzo, nom qu'elle hérite de son père, qui ne signifie par grand chose à ses yeux. Un simple nom puisqu'il en faut un. ▲ prénom : Olivia, l'indomptable Olivia ▲ âge et date de naissance : Née le 22 mars 1995, dans une ville un peu en retrait de Florence. Elle est âgée de 21 ans. ▲ ton clan : Elle appartient aux Caravaggio, sans le vouloir, sans le savoir.▲ Ton rang : Outsider, Olivia n'a pas conscience d'être liée à la mafia. Elle a toujours été tenu à l'écart de ces histoires. ▲ statut civil : Un cœur instable, elle a du mal à faire rester quelqu'un ou de trouver quelqu'un qui veut rester. ▲ orientation sexuelle : Olivia est de ceux qui disent aimer une personne plutôt qu'un genre. Les étiquettes elle n'aime pas ça. ▲ metier : Elle s'est lancée dans la photographie de manière impulsive et finalement ça lui réussi plutôt bien. ▲ situation familiale : Sa famille, c'est elle et son père, c'est tout. Eux contre le monde entier, ça l'a toujours été. Olivia n'a aucun lien avec sa mère qui est en prison, du moins c'est ce qu'on lui a dit. Et du côté de son père, la famille est plutôt désunie, éparpiller, avec pas mal de casserole, mais ça Olivia ne s'en mêle pas. ▲ traits de caractère : Mystérieuse - Espiègle - Nerveuse - Active - Différente - Curieuse - Libre - Solitaire - Inconstante - Sensible - Indomptable - Indépendante - Passionnée - Rancunière - Impatiente - Bagarreuse - Créative - Critique ▲ groupe : highway of endless dreams. ▲ crédits : electric bird et tumblr |
| 1. Olivia, elle aurait aimé faire de longues études, mais elle s'est vite rendue compte que ce n'était pas fait pour elle. Et c'est de manière impulsive qu'elle a tout foutu en l'air pour devenir photographe. ▲ 2. Olivia, malgré qu'elle ait tous les atouts pour être une fille dans les règles de l'art, il n'en est rien en réalité. Sans doute parce qu'elle a manqué d'une figure maternelle au cours de son développement. ▲ 3. Elle est incapable de se tenir correctement quand elle est assise. Elle s'assoit souvent en tailleur sur les chaises quand elle est à table ou ramène ses jambes contre son buste dans le canapé. ▲ 4. Elle adore lire, lire toute sorte de chose. Petite, elle lisait les étiquettes des boites de céréales ou des bouteilles de lait, puis en grandissant, elle s'est intéressée aux livres, c'est comme ça qu'elle s'est découvert une passion pour la mythologie. ▲ 5. Au cours de sa scolarité, elle a eu plusieurs problèmes disciplinaires, notamment à cause du fait qu'elle part très vite au quart de tour et qu'Olivia n'a jamais eu peur de se servir de ses poings pour se faire entendre et respecter. ▲ 6. Sa mère est un sujet sensible auquel il ne vaut mieux pas s'y essayer. Pour Olivia, sa mère l'a abandonné lâchement et n'a jamais essayé de reprendre contact avec elle, alors forcément elle ne la porte pas dans son cœur. Mais si elle est consciente de ça, Olivia ne supporte pas qu'on lui rappelle, qu'on lui dise ou simplement qu'on mentionne sa génitrice. C'est un sujet tabou et elle le fait bien comprendre. ▲ 7. Sous ses airs de gamine espiègle et heureuse, Olivia a toujours eu l'impression d'être de trop. Un poids dans la vie de son père qui n'a rien demandé. Plusieurs fois, elle a pensé à partir, mais elle n'a jamais eu le courage d'aller jusqu'au bout, car il faut être lucide ; son père c'est sa seule attache. ▲ 8. Elle dessine, elle écrit, mais ne montre jamais rien à personne, tout est correctement rangé dans un tiroir. Olivia expose simplement ses photos, à commencer par les murs de sa chambres qui en sont recouvert. ▲ 9. Curieuse de nature, elle a toujours voulu tout voir, tout apprendre, tout découvrir, mais elle n'a jamais eu la patience suffisante pour. Ce n'est pas qu'elle est capricieuse, c'est juste que pour Olivia, attendre c'est une perte de temps et elle ne veut pas perdre son temps. Donc elle fait tout vite trop vite. ▲ 10. Oli est parle beaucoup de tout et n'importe quoi, mais surtout pas d'elle. Elle sait raconter des histoires mais quand il s'agit de se dévoiler elle perd tout ses moyens. Olivia ne se trouve pas intéressante alors qu'elle l'est. Elle ne se dévoile pas par peur qu'on trouve sa vie stupide ou ses craintes ridicules. ▲ 11. Olivia est gauchère ▲ |
ton pseudo : Ouroboros ou Titania, ça dépend. ▲ ton âge : vingt ans tout rond▲ ton pays : France▲ ta fréquence de connexion : 4 à 5 fois par semaine je dirais ▲ comment t'es arrivé ici ? je faisais ma fouine sur BAZZART ▲ ton avis sur le forum :j'aiiiime ! Déjà parce que après avoir lu Lorenzaccio en terminal je suis tombée un peu amoureuse de Florence. Que j'aime le côté mafia ytout ytout et que de ce que j'ai vu vous écrivez tous grave bien. ▲ un commentaire ?
Dernière édition par Olivia Zorzo le Mer 27 Avr - 17:31, édité 9 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mar 26 Avr - 20:47 |
| SpiritedAway Inside a snowflake like the one on your sleeve, there happened a story you must see to believe | |
2006 ▬ Elle est là, assise sur une chaise à attendre, avec les cheveux devant la figure on ne verrait presque pas l’état de son visage, de sa pommette qui vire déjà au bleu et ses mains cachées dans son pull, on ignorerait que ses phalanges gauches sont abimés, rougies et égratignées à cause des coups à répétition qu’elle a donné quelques minutes auparavant. Olivia, cette petite poupée à taille réelle qui a toujours refusé être une princesse. C’est une enfant sauvage qui ne sait pas comment faire d’autre pour qu’on la regarde, pour qu’on l’écoute, pour qu’on la laisse tranquille autrement qu’en cognant. C’est une enfant miniature, plus petite d’une bonne tête des autres garçons, de ceux à qui elle s’en prend avec rage. Sur cette chaise, elle n’est plus en colère, elle retrouve sa place d’enfant et Olivia attend qu’on vienne la chercher, que son père débarque et l’emmène loin de cette école dans laquelle elle étouffe. C’est la 5e en un an, rythmé par ses renvois et les déménagements incessants, même ici on sait qui elle, loin de sa Florence natale. Et puis il arrive, son père arrivant dans les couloirs, elle n’ose même pas le regarder et continue à fixer le dallage du sol jusqu’à qu’il ressorte du bureau du proviseur dans lequel elle n’est pas conviée. Mais Olivia sait déjà ce qui va s’y dire, elle n’a pas besoin d’être invitée pour le deviner, ça va être le refrain habituel, celui qui dit qu’il doit résonner sa fille, qu’elle doit cesser de se battre, qu’ils savent que ce n’est pas facile pour elle, pour lui et qu’il y a des solutions pour remédier à ça. Il ressort avec toujours ce même visage et Olivia se lève de sa chaise, le suit jusqu’à la voiture en restant silencieuse. C’est sur le trajet du retour qu’elle retrouve sa voix douce et fluette, la voix d’une fille de son âge un peu timide. « Il a parlé de maman… » C’est pour se justifier, comme si c’était suffisant pour oublier qu’elle venait de fracasser un nez en plein milieu de la cour. C’est rare que Olivia parle de sa mère, c’est toujours douloureux pour elle de l’évoquer même si elle prétend le contraire, ses actions prouvent le contraire, c’est son cri de détresse mais elle se braque dès qu’on évoque sa génitrice. Lâche, elle a abandonné Olivia à la naissance à cause de ses conneries, de la prison. C’est dur de se former sans figure maternelle. ▲▲▲ 2014 ▬ Elle souffre du décalage horaire, les yeux cernés qui traduisent une nuit trop courte. Olivia, elle ne prête même pas attention au soleil qui frappe sur sa peau, à la langue différente qui résonne dans les rues mais qu’elle connait par cœur. Elle est fatiguée, épuisée, elle se contente de faire rouler sa valise dans l’aller pour retrouver cette maison qui l’a vu grandir mais qu’elle n’avait pas revu au cours de ces derniers mois. Il y a une poignée d’heure, elle était à l’autre bout du monde, aux États-Unis d’Amérique, là où elle avait suivi son père pour la énième fois, mais il avait merdé, Olivia ne sait pas pourquoi mais elle sait qu’il a merdé. En dix-neuf ans, rare sont les fois où elle avait pu le voir dans un tel état et c’est pour ça qu’elle n’a pas posé de question, qu’elle a tout foutu dans sa valise et qu’ils se sont sauvés comme des mal propre pour retrouver sa Florence natale. Le pas lent, mécanique, elle retrouve le chemin de sa chambre, toujours aussi silencieuse et se laisse tomber sur son lit poussant un long soupir. Olivia reste ainsi pendant plusieurs minutes à fixer son plafond d’un blanc immaculé. Elle ne sait pas trop quoi penser de ce retour, d’une certaine manière elle se plaisait aux États-Unis, elle était même parvenue à arrêter de sa battre, là-bas elle n’était personne, seulement cette fille à l’accent chantant. Elle aurait pu rester là-bas, elle y a songé même, dire à son père de rentrer en Italie et elle, rester aux USA. Mais quand il s’agit de prendre son indépendance, Olivia a toujours cette petite boule dans le ventre, son père c’est tout ce qu’elle a, son semblant de vie normale et de stabilité elle le doit à lui. Elle finit par se relever de son lit, sort de sa chambre et s’appuie contre l’encadrement de la porte du salon. « Je reprendrais pas les cours. » Olivia balance ça sans préavis, comme une bombe qu’elle fait éclater en plein milieu de leur domicile, elle ne veut pas de sa bénédiction, elle le prévient simplement que non, elle n’irait plus à l’école, pas d’université italienne pour elle. La fac ce n’est pas comme l’école primaire ou le collège si elle cogne une personne, elle sait qu’elle n’aura pas de seconde chance et que dans cette ville tout peut partir très vite au quart de tour. ▲▲▲ 2016 ▬ Son œil dans l'objectif de l'appareil, ce nouveau joujou qu'elle venait d'acquérir pour ses vingt et un ans, un cadeau de son père. Mattia est ce qu'il est, loin d'être le père le plus affectif du monde, il a toujours été derrière sa fille, maladroitement, mais Olivia aime se dire qu'ils sont maladroit ensemble. « Il est génial. » Souffla-t-elle en parlant du dernier Reflex sur le marché, il devait coûter une blinde, elle n'ose pas lui demander. Il l'a toujours gâté, sans doute pour compenser les déménagements, l'absence de sa mère et ses horaires de travail ingrat. Il rentrait tard, en plein milieu de la nuit la plupart du temps. Olivia, elle n'a jamais demandé les raisons de ces heures ingérables, elle n'ose pas, elle a peur de ce qu'elle pourrait savoir ou simplement qu'il refuse de lui dire pourquoi, alors elle sourit devant son cadeau qui sera sans doute le plus utile de tous les cadeaux qu'elle puisse avoir. Elle juge la prise en main, le poids de l'objet et s'amuse dans les réglages avant de pointer l'objectif en direction de son père. « Sourit ! » Son doigt presse doucement sur le déclencheur, le tout rapidement suivi par un flash aveuglant. Si elle s'extasie devant la rapidité d'action, elle sait que son père sera sa première photo avec l'appareil et ce n'est pas anodin comme décision, elle aurait pu prendre n'importe quoi d'autre à la place et rester tout autant admirative devant l'objet. Mais, à chaque nouvel appareil qu'il lui offre c'est lui, à chaque fois, sa première photo. ▲▲▲
Dernière édition par Olivia Zorzo le Jeu 28 Avr - 20:18, édité 8 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mar 26 Avr - 20:51 |
| T'es jolie comme tout. Et ce pré-lien défonce ! Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 9:59 |
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| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 11:40 |
| une petite appartenant aux camés bienvenue par ici je suis curieuse de ce que tu vas créer avec la bouille de Cara |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 11:51 |
| Merci vous trois Mon petit papa, je t'ai déjà envoyé un MP |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 12:29 |
| Cara aux yeux de chat. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche jolie. |
| | | Arabella Mastroianni Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 14:01 |
| Très très bon choix de pré-lien Je suis pas spécialement fan de Cara, mais je dois avouer que c'est un autre très bon choix Bienvenue et bon courage |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 14:41 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 16:01 |
| La nièce On était en terminale au même moment Bienvenue parmi nous, hâte d'en lire plus |
| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 16:17 |
| Lorenzaccio, ce bouquin déchire tellement Excellent choix de trombine, bienvenue parmi nous |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 17:32 |
| merci merci Ahw Tata elle est belle ** Je suis contente de voir que je ne suis pas la seule à avoir aimer Lorenzaccio |
| | | Halyna Nabokov Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Mer 27 Avr - 17:36 |
| Mais qu'elle est chou ! Du peu que j'en ai lu ton personnage est un amour que l'on aimerait bien garder pour soi ! Bon j'adore Cara aussi alors ça aide, mais hbnujfe je veux la suite ! C'est un petit brin de soleil, faut pas qu'elle se promène près des Caravaggio, ils pourraient la séduire avec de la poudre de fée C'est aussi un excellent choix de prè-lien Bienvenue chez toi ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Jeu 28 Avr - 16:47 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry Jeu 28 Avr - 20:25 |
| Damn ! Merci pour les compliments ça fait ultra plaisir ** Un lien Ali va être obligé |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: ≈ olivia ; the living are hungry |
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