IDRIS ELBA — the gory bits of you, and the gory bits of me.

No church in the wild

Parce qu'il est force brute, primitive, non captée, non dominée, tel un fleuve sauvage ou comme une coulée de lave en mouvement, il agit sans règle ni raison.

nom : D'Ambrosio : les fêlures, et les paumes ensanglantées. ▲ prénom : Cesare. ▲ âge et date de naissance : La quarantaine (pas moins de quarante-six ans ; sinon, ça complique les choses niveau chronologie). ▲ statut civil : Cœur cabossé, cœur amputé. ▲ orientation sexuelle : Au choix. ▲ métier : Officiellement : au choix (ancien Marine, une carrière dans la chirurgie avortée, ou peut-être qu'il est toujours chirurgien ?); officieusement : un truc plutôt haut placé chez les Verrochio (conseiller, capitaine, ou peut-être juste un fidèle soldat estimé). ▲ situation familiale : votre réponse ici votre réponse ici ▲ traits de caractère : votre réponse ici votre réponse ici ▲ groupe : End of the beginning. ▲ crédits : Merci au grand Tumblr pour les gifs & illustrations, et à BALACLAVA pour l'avatar.

C'est la partie histoire de votre scénario, si vous avez déjà quelque chose en tête mettez les points essentiels sans en dire trop néanmoins. Il n'y a rien de mieux que de découvrir l'imagination des joueurs en même temps. Cela peu être positivement surprenant. Inter has ruinarum varietates a Nisibi quam tuebatur accitus Vrsicinus, cui nos obsecuturos iunxerat imperiale praeceptum, dispicere litis exitialis certamina cogebatur abnuens et reclamans, adulatorum oblatrantibus turmis, bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret.

Juliana D'Ambrosio ▲ Papa, c’est qu'un monstre, un barbare assumé. Papa, c'est qu'un monstre, rien qu'un carnassier sophistiqué. Papa, c'est qu'un monstre, on n'a de cesse de lui marteler.
Oui, mais voilà : papa, il l’aime.
À sa façon bien mortelle.
Papa, il était là quand son cœur s’est fêlé. Papa, il était là quand son âme s’est scindée. Papa, il est là quand maman ne l’est plus.
(...)
Alors oui, papa, c’est peut-être un monstre. Mais au moins, c’est son monstre à elle.