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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 9:40 |
| Alessandro Giacconi pecunia non olet. | nom : Giacconi ▲ prénom :Alessandro mais tout le monde l'appelle Sandro, sauf sa mère qui l'appelle Sandrino. ▲ âge et date de naissance : 32 ans, né le 3 janvier 1984. ▲ ton clan : Caravaggio ?▲ Ton rang : Capitaine ▲ statut civil : Célibataire ▲ orientation sexuelle : Hétérosexuel ▲ metier : Gérant de places de deal ▲ situation familiale : Quatrième d'une fratrie de sept frères, dont un décédé. ▲ traits de caractère : Calme, rusé, enjôleur, ambitieux, avide, loyal envers sa famille, calculateur, bon businessman, charmeur, capable de violence, déterminé, confiant. ▲ groupe : highway of endless dreams ▲ crédits : Odistole, tumblr |
| ϕ Alessandro est plus que tout motivé par l'appât du gain. Gagner de l'argent, ne jamais en manquer, pouvoir tenir des liasses de billets dans ses mains, en avoir plein de porte-monnaie. Il aime l'argent à en faire n'importe quoi. ϕ D'extérieur, son appartement dans les tours a l'air miteux. Mais de l'intérieur, il l'a transformé petit à petit en véritable palace, avec des objets hi-tech, des objets précieux. Il profite de son succès parce qu'il a cravaché pour en arriver là. ϕ Au niveau de l'apparence, Sandro est très soigné. Il aime à se parer de belles montres, porter des costumes et des vêtements de marques, avec bien entendu les lunettes de soleil. Il aime le luxe depuis qu'il a découvert ce que c'était, et ne s'en prive désormais plus. ϕ C'est l'ambition qui a placé Sandro là où il est désormais. Il a commencé tout petit, en bas de la chaîne. Simple guetteur dans la rue, à surveiller que ni flics, ni concurrents ne débarque. Et puis il a gravi les échelons à force de persévérance, de détermination mais aussi d'apprentissage. L'observation lui a permis d'apprendre le métier. ϕ Aujourd'hui, Sandro gère des places de deal. Et il est particulièrement doué pour ça. Il repère les bons endroits, les organise, recrute les jeunes du quartier et organise cette formidable vente à la chaîne afin d'écouler le plus de doses en un minimum de temps. Il rapporte gros au clan. ϕ Ce qu'il y a de sacré pour Sandro, c'est sa mère. A l'écart de la ville, à l'écart des activités plus ou moins légales de ses fils, à l'écart du danger. Sandro ne la voit plus que très rarement, et elle lui manque terriblement. Il n'est sans doute pas le fils que ses parents auraient voulu qu'il devienne, et la distance entre eux n'est que le résultat de ce qu'il est devenu. ϕ Sandro a bien des vices, parmi lesquels la cigarette et la chair fraîche, le corps féminin dans toute sa splendeur. Il aime trop les femmes pour convoler avec une seule, et ses rares tentatives pour y parvenir ont toutes été des échecs. Trop d'infidélités, comme toujours. ϕ En bon businessman qu'il est, Sandro ne touche pas trop à ce qu'il vend. La poudre, c'est pour la vente, pas pour sa consommation personnelle. Il peut lui arriver de se faire une ou deux lignes, lors d'une soirée, mais il n'est pas accro et ne l'a jamais été. Ce serait bien trop mauvais pour les affaires. ϕ Les relations entre Alessandro et ses frères sont parfois houleuses. Il y a ceux qui sont dans la légalité, et qui ne comprennent pas pourquoi quelque uns ont été se perdre dans l'argent facile et la noirceur de Florence. Et il y a ceux qui sont, comme lui, de l'autre côté de la belle Toscane. Peut-être que le lien est plus fort parfois avec ceux-là. Mais ce qui demeure certain, c'est que jamais Sandro ne lâchera ses frères. ϕ La mort, voilà ce dont Sandro ne parle pas. La mort de son frère l'a profondément marquée, et nul doute qu'elle l'a entraînée dans cette vie d'argent et de salissure. Mais il s'agit là d'une blessure enfouie dont il ne veut pas s'occuper. Il n'y a rien à dire, car il n'est plus là. Ezio n'est plus là. |
ton pseudo : Lilday ▲ ton âge : 23 ans ▲ ton pays : France ▲ ta fréquence de connexion : A peu près tous les jours ▲ comment t'es arrivé ici ? Bazzart ▲ ton avis sur le forum : Hâte de jouer ▲ un commentaire ?
Dernière édition par Alessandro Giacconi le Ven 3 Juin - 19:36, édité 11 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 9:41 |
| Sienti amico quello che ti dico Non lo troverai nei libri di storia di questi vicoli | |
« Ca fait trois jours que tu n’es pas rentré, et on doit juste se contenter d’un ‘j’étais occupé’ ? Qu’est-ce qui t’arrives Alessandro ? » demanda son père, la voix quelque peu tintée d’inquiétude. Sandro n’avait pas pris la peine de répondre avec une grande quantité de détail à la fatidique question après avoir garé son scooter dans l’allé. Ses parents s’étaient fait du soucis mais il n’y avait aucune raison à cela, Sando allait bien, il avait trouvé du travail. Peut-être pas celui que son père voulait pour lui, mais il ne fallait pas cracher dessus. Y a pas de sous-métier, non ? « Mais papa, je t’avais prévenu que je partais plusieurs jours. » répondit-il d’une petite voix, essayant de contourner la situation, tandis que la conversation avait pour auditoire une partie de la fratrie. « Tu étais où ? » demanda de nouveau son père, sans hausser le ton. Il aurait sans doute préféré que son père lui gueule dessus, sans vraiment insister sur ce genre de questions gênantes. La mère de Sandro était dans un coin de la pièce, le visage à la fois sombre et triste. « J’étais à Florence, C’est tout ! » se défendit-il sans vraiment donner d’information sur ce qu’il avait fait. Un silence pesant prit place dans la pièce, comme si un accusé attendait sa sentence. Le regard de son père sur lui était lourd, comme s’il cherchait à le comprendre, à percer une sorte de secret. Son père soupira finalement, laissant comprendre que c’était terminé. Alessandro ne se fit pas prier et s’enfuit dans sa chambre en rasant les murs. Il eut cette désagréable sensation. Omettre, c’était mentir. C’est que son père commençait sérieusement à se poser des questions à force de le voir partir pour des durées de plus en plus longues vers Florence. Les parents d’Alessandro se doutaient de quelque chose, c’était sûr. Mais leur dire ne ferait que les inquiéter davantage alors que ce n’était pas nécessaire. Il alla s’asseoir sur son lit en soupirant, tandis que la porte s’ouvrait sur un de ses frères. Un de ceux qui savaient bien ce qui se tramaient. « Ils ont flippés. » déclara-t-il à Sandro tandis qu’il refermait derrière lui pour aller se poser contre le mur. « Ouais j’sais. Mais ça valait l’coup, mate-moi ça. » répondit-il, fourrant sa main dans sa poche afin d’en sortir une liasse de billet qu’il mit sur le lit. Les yeux de son frère s’illuminèrent tandis qu’il s’approchait pour les tâter, histoire de vérifier qu’ils étaient vrais. « Putain, ça en fait du fric. » commenta-t-il, un peu estomaqué pour le coup. Sandro sentit une pointe de fierté. « Et c’est que l’début. » répliqua-t-il du tac-au-tac avec un air sûr de lui. Il y prenait tellement goût. Sandro n’en avait plus rien à faire de sécher les cours pour aller à Florence et jouer dans le business. Ca ne le dérangeait pas non plus de dormir sur un vieux matelas dans un sous-sol, si c’était pour rentré quelques jours plus tard avec les poches remplies. Mais ils furent extirpés de leur conversation par l’appel de leur mère qui leur indiquait que le dîner était prêt. « Cache ça, faut pas qu’ils voient. » dit son frère à Alessandro, ce dernier s’exécutant et planquant l’argent dans sa cachette. Puis il s’approcha de la porte, tapant dans le dos de son frère. « Allez amène-toi, faut pas les faire attendre » . Les deux frères sortirent de la pièce.
O’Vito tendit les bras en direction de l’objet précieux dans le but de s’en saisir. « Vas-y, passe-la moi ! » gémit-il de frustration alors que Sandro s’éloigne de lui, remettant une fois de plus le cran de sûreté juste par plaisir d’en entendre le son. Sa démarche était désinvolte, et même exagérée, ses épaules penchant trop d’un côté et de l’autre pour que cela puisse être naturel. « Fais pas ton enflure, passe-la nous un peu ! » renchérit Pocabel’, bien décidé à vouloir lui aussi tenir cette arme. Mais Sandro les ignorait, toisant le quartier du haut de l’immeuble où ils s’étaient posés avec les gars. « Et pourquoi j’vous la passerais ? » demanda-t-il, tournant la tête vers les autres. Il attendit quelques instants mais aucun ne répondit, sachant pertinemment ce que lui allait leur balancer à la figure. « Parc’que c’est à moi qu’on a filé cette arme. Elle est pour moi, pas pour vous les gars. » répondit-il à sa propre question, comme si c’était une évidence. Son ton était moqueur, mais le grade qu’il venait de passer le situait désormais au-dessus de ses amis. Il comptait bien en profiter et les narguer un peu, surtout qu’il avait bossé dur pour y arriver. « Tu vends plus de doses que nous parce que t’as les meilleures places gros, c’est d’la chance ! » rétorqua O’Vito, histoire de garder la face. Les autres s’esclaffèrent, tandis que Sandro revenait vers eux. « Te la ramènes pas. S’tu passais plus de temps à vendre et moins d’temps à serrer, toi aussi tu vendrais plus. » se moqua-t-il de lui, les autres approuvant à coup de sifflements. O’Vito commença à prendre un air offensé, avant de partir en fou-rire avec les autres. « Ok ok ... j’avoue. » consentit-il après quelques instants sans pouvoir dire un mot. Reposant son attention sur Alessandro, il reprit : « Mais te défiles pas, fais la tourner un peu ! » . Sandro fit mine de réfléchir, touchant pour la énième fois au cran de sûreté, à la manière des gros caïds. Les autres rigolèrent, s’amusant de la situation plus qu’autre chose. « Allez allez, pour cette fois. » décida finalement Sandro, tendant son arme à O’Vito pour qu’il puisse la toucher, faire mine de viser avec. Ils y passèrent tous, chacun allant de son petit commentaire comme s’il était un spécialiste. Alessandro ne les écoutait plus. Il ne pensait plus qu’à une chose : son ascension, et monter les échelons du clan.
« Elle est là ? » demanda-t-il à Pocabel’, qui attendait en bas de l’immeuble. Il avait toujours pour habitude d’envoyer un de ses hommes en éclaireur, histoire de ne pas se déplacer pour rien. Sandro trouvait très désagréable de sonner sans jamais voir la porte s’ouvrir, faute d’individu dans l’appartement. « Ouep, et pas d’bonne humeur. » répondit le dénommé Pocabel’, léger sourire aux lèvres. Sandro s’arrêta dans sa lancée en direction de la porte l’immeuble pour se tourner vers son ami, fronçant les sourcils. « Quoi encore ? » l’interrogea-t-il, en écartant les mains en signe d’incompréhension. « J’en sais rien, j’lui ai pas tapé la causette ! » se défendit l’autre, attrapant la cigarette qu’il avait posé sur son oreille. Alessandro soupira puis poussa la porte de l’immeuble. Comme partout ici, elle était cassée et il n’était plus nécessaire d’avoir un code pour y pénétrer. Les marches défilèrent rapidement sous ses pieds et il atteint le quatrième étage. Les femmes, toujours un truc à dire. Il sonna, et attendit qu’on vienne lui ouvrir. Livia était là, négligemment habillée d’un débardeur et d’un shorty, ce qui n’était pas pour déplaire à Sandro. Seul problème : son visage annonçait une mauvaise humeur. Passant outre cette première observation, il l’embrassa, murmura un « Salut ma belle. » et entra sans se faire inviter, histoire de ne pas voir de quelconques reproches déballés sur le palier. « Ta belle ce soir, à 21H. Et c’était qui ta belle hier soir hein ? » entama-t-elle d’entrée de jeu, ne lui décrochant pas même un sourire. Ayant l’habitude, Alessandro fit mine de ne pas comprendre, s’avançant dans le petit appartement du côté du salon. « De quoi tu parles ? » demanda-t-il, alors qu’elle s’énervait davantage. Les bras croisés, elle commença à taper du pied. « Fais pas l’innocent, j’parle de l’autre salope chez qui t’étais. Pas de chance, Marionetta t’a vu monter chez elle ! » s’exclama-t-elle, la furie grondant dans sa voix. Sandro, toujours aussi décontracté, secoua légèrement la tête. « Arrête, j’étais chez Pocabel’ hier soir, on s’est fait un poker avec quelques gars de l’immeuble. » s’expliqua-t-il, particulièrement convaincant. Sauf que, pas de chance pour cette fois, il avait été repéré. Si bien que son jeu habituel ne parvint pas à décanter la situation. « Tu mens ! Tu mens toujours ! Tu te pointes ici comme une fleur à nier mais t’as été vu, alors arrête de m’embobiner ! » s’emporta-t-elle, balançant ses mains au rythme de ses paroles. Quand la première étape ne marchait pas, Alessandro passait à la seconde : le compliment et le détournement. « Tu fais sauvage quand tu t’énerves. » répliqua-t-il, toujours aussi calmement, un léger sourire au coin des lèvres. Il s’avança vers elle, glissant sa main sur la hanche de la jeune femme dans le but évident de l’attirer vers lui. Mais celle-ci se dégagea instantanément, criant davantage : « Non ! Putain non ! Tu sors ! Tu sors de là ! Je veux pas de toi et de ton millier de pouffiasses ! » . Le constat était flagrant : il était dans une impasse. Rien ne pourrait la faire changer d’avis pour ce soir. S’éloignant d’elle, il décida de ne pas insister davantage. « Bon, ok. J’te laisse maronner avec tes fausses accusations. J’passerais demain. » soupira-t-il, se dirigeant à présent vers la porte. « Pas la peine. » rétorqua-t-elle avec rage tandis qu’il était sur le seuil de la porte. Il lui lança un dernier sourire charmeur, n’y croyant pas un mot, referma et descendit en bas de l’immeuble. Pocabel’ était toujours là, léger sourire amusé aux lèvres. Il avait bien compris. « Alors boss, on fait quoi ce soir ? » demanda-t-il, à la fois narquois et enthousiaste. Sandro sortit de ses pensées, à savoir quel cadeau il allait pouvoir lui ramener pour qu’elle le jette pas dehors le lendemain. Tournant la tête vers son pote, il répliqua dans un sourire : « On sort. » .
Dernière édition par Alessandro Giacconi le Ven 3 Juin - 19:33, édité 7 fois |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 11:52 |
| OOOOH UN DE MES BEAUX-FRÈRES. Ce rôle et ces choix sont parfaits, les Giacconi débarquent ! Bienvenue officiellement parmi nous ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 13:07 |
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| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 15:15 |
| Marta - donc c'est toi la fille qui a foutu en l'air mon frère . Hâte qu'on se croise en rp . Merci ! Rocco - Merci à toi ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 16:18 |
| Foutu en l'air, tout de suite les grands mots. Ce n'est que pour mieux le reconstruire après. Oh oui, avec plaisir pour le rp fufu. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 16:42 |
| Elle est tellement parfaite qu'elle a tous les droits Et puis je l'ai pas franchement aidée non plus... Bienvenue officiellement dans les parages en tout cas |
| | | Melchiorre Donatello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 17:13 |
| bienvenue - Citation :
- ϕ Sandro a bien des vices, parmi lesquels la cigarette et la chair fraîche, le corps féminin dans toute sa splendeur. Il aime trop les femmes pour convoler avec une seule,
Mel a plein de jolies poupées en réserve |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 17:39 |
| Cesare - Merci bro ! Donatello - J'ai hâte de faire un tour dans ta petite boutique . Merci pour l'accueil . |
| | | Altair Esterhazy Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 17:58 |
| Jooooon, mais ce choooix Il est parfait ! Bienvenue parmi nous, j'espère que tu te plairas sur le forum |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Jeu 2 Juin - 21:37 |
| Excellent choix d'avatar ! Je ne connaissais pas du tout le monsieur. Bienvenue parmi-nous et bon courage pour la suite de ta fiche. |
| | | Celestina Ucello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Ven 3 Juin - 15:05 |
| J'ai l'impression que les Caravaggio sont tous beaux et classes J'ai hâte d'en savoir plus sur Alessandro et je suis bien heureuse que tu ai sauté le pas et que tu nous ai rejoins ! Bienvenue chez toi ! |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Ven 3 Juin - 17:08 |
| Altair & Amadeo - Merci à vous deux . Clestina - J'ai pas pu résister, la mafia me tente beaucoup trop. Merci ! |
| | | Celestina Ucello Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Ven 3 Juin - 23:02 |
| TU ES VALIDÉ(E) ! BIENVENUE CHEZ TOI J'ai tellement apprécié lire ta fiche et ton histoire que je trouve super dynamique et urbain (oui urbain parce que c'est... je sais pas c'est tellement bien fait en fait ). Sandro il promet plein de richesse, mais faut pas qu'il s'approche des filles, à parier qu'il ne sait pas du tout mais du tout être fidèle En tout cas j'ai bien ris lors du dernier paragraphe parce qu'on s'y attache quand même à ton personnage On va dire que le gif est totalement en relation hein Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pense à faire un détour par la LISTE DES METIERS. Tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu. |
| | | Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet Sam 4 Juin - 9:36 |
| capitaine des caravaggio, ciouciou tu as choisi le bon camp puis, cette jolie bouille, c'est pas permis bienvenue |
| | | Contenu sponsorisé Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: Alessandro Giacconi ϕ Pecunia non olet |
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