Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Sam 7 Mai - 0:48 |
| Sparkling Angel Your dark intentions, your feelings for me Angelo a versé beaucoup de sang sur le compte de l’armée. Parfois, il ne s’agissait juste que d’un règlement de comptes, une vendetta, un moment de pure folie sanguinaire pour répandre le sang par la violence et exterminer ceux qui se dressaient devant le duo Ucello-Velucci. Et puis, il y a ce fameux soir, où toute une famille a été exterminée, ou presque. Le prêtre Velucci a épargné la vie d’une petite fille, pourtant armée, complètement apeurée. Et puis quittant les lieux, il l’a oubliée. Mais pas elle. Elle a fini par le retrouver et le confronter. Elle ne sait pas ce qu’elle veut la jeune femme, torturée entre l’envie de l’exterminer et l’envie de le remercier pour avoir donné un sens à sa vie. Elle a une dette envers lui comme elle sait qu’elle sera toujours son point faible. Et si elle se mettait à rêver de pouvoir ? - Spoiler:
« Bénissez-moi mon père, parce que j’ai péché. » Oh cette phrase inutile, il l’a entendue des tonnes de fois. L’âme humaine est pécheresse, vile et infecte. La plupart des gens de cette ville viennent lui raconter ô combien il est dur de ne pas céder à la tentation des sept péchés capitaux lorsque celle-ci se présente. Parfois, la confession de l’un peut irriter le prêtre qui pourtant impassible demeure silencieux en exerçant une pression sur ses phalanges, là dans le noir. Il lui est arrivé de faire justice, d’aller retrouver cette personne qui croit être aux yeux de Dieu, anonyme, et en paie le prix de sa vie. Il n’y a pas d’intérêt dans la confession si celle-ci n’est qu’une manière de se protéger sans y croire un mot. Même le prêtre a un jour péché. Mais il s’est confessé, il s’est ouvert à Dieu, exécutant la moindre de ses volontés, et Dieu l’a pardonné. Dieu est bon. Mais l’entité divine aime parfois tester ses adorateurs, et même Angelo n’y est pas exempt. Les portes de l’église, ce lieu sacré pourtant protégé des mauvais esprits, s’ouvrent sur une déesse des temps modernes. Elle s’avance avec assurance, la félonne, transpire la beauté, un poison fatal qui se déverse déjà dans les veines du prêtre qui lève le regard vers la croix et le fils du Saint-Esprit pour se donner bonne conscience alors que des pensées impures lui traversent l’esprit. Dieu n’a jamais critiqué son mode de vie. Les plaisirs de la chair, il connait et il s’y adonne sans jamais le regretter, mais dans un certain rapport de domination : la femme soumise à l’homme. Celle qui marche dans la nef, elle n’est ni pute, ni soumise, elle est forte. Elle lui rappelle tout ce que sa mère n’était pas, elle lui rappelle à quel point certaines rebelles cherchent à inverser le rapport de force. Elle le toise du regard une fois à sa hauteur. Il l’a déjà vue quelque part, ça ne fait aucun doute. Et pourtant, le prêtre physionomiste ne parvient à se remémorer son visage. « Je viens me confesser. » Qu’elle atteste presque pour lui donner l’ordre d’aller se poster dans son isoloir. Il ne bouge pas d’un millimètre, soutenant son regard avec insistance. « Revenez quand vous aurez fait l’examen de votre conscience. » Elle se met à sourire l’effrontée, et ça la rend encore plus exquise, créant une tension insoutenable entre l’homme de foi et la pécheresse. « Et vous mon Père, l’avez-vous fait ? J’ai vu ce que vous avez fait. Ca doit être insoutenable pour vous d’être un homme de foi d’avoir été un soldat sanguinaire… » Au fur et à mesure, elle s’était rapproché de lui et s’était même permise de laisser glisser sa main le long de son torse. « Que voulez-vous ? » L’interrogea-t-il en faisant un pas en arrière. Mutine, elle se mord la lèvre voyant que son petit jeu fonctionne et elle s’avance de nouveau pour lui souffler : « Juste savoir pourquoi vous avez exterminé ma famille et m’avez laissé la vie sauve. » Ca lui revenait. Il revoyait cette petite fille qui avait croisé son regard alors qu’il sortait de la chambre parentale. Apeurée, elle avait pourtant un couteau à la main pour pouvoir se défendre. Et il l’avait épargnée dans un égard de bonté divine, le messager de Dieu s’en était allé. « Etes-vous venue pour venger votre famille ? » Elle ne s’attendait pas à ce qu’il retrouve un certain calme et qu’il s’écarte d’elle avec tant de facilité. Désarçonnée, elle resta ferme malgré tout : « C’est moi qui pose les questions. Pourquoi avoir pris le risque de laisser un témoin derrière vous ? » Il lui sourit. Il n’était pas inquiet. Elle avait beau grogner, elle n’était pas dangereuse, du moins pas pour lui. « C’était la volonté de Dieu. » Elle se sentait redevable, comme toute femme faible, elles ont toujours une dette envers l’homme, c’est dans leur nature. Et dans un élan soudain, la jeune femme combla la distance entre le prêtre et elle pour capturer ses lèvres dans un baiser loin d’être chaste, appuyé, virulent, jusqu’à mordre sa lèvre sur laquelle perla des gouttes de sang, tandis qu’il s’écartait avec vivacité. « Ca aussi c’était la volonté de Dieu. » Il n’avait pas compris pour quelle raison elle l’avait fait, ni quelles étaient les véritables raisons de sa venue ici, mais cette femme dégageait de la puissance. Rebelle qui tente de dominer l’homme, mais qui aurait toujours une dette envers lui. Le danger résidait dans la façon qu’elle avait de capter son attention, cette envie perfide de domination le troublait grandement et le rendait faible. En colère, le prêtre, s’essuyant la lèvre du revers de la manche, convint d’une nouvelle tâche. Il la ferait plier. La jeune femme peut venir de tous horizons, mais elle doit cependant résider à Florence depuis son plus jeune âge. En ce qui concerne l’âge, entre 18 et 32 ans, c’est plutôt libre, je n’ai pas fixé l’événement dans le temps. Comme vous l’avez surement compris, la jeune femme va se plaire à désarçonner le prêtre et à semer le trouble dans sa vie, se voulant insoumise et indépendante. Faisant un pas en avant pour mieux s’éclipser, elle va jouer avec lui. Elle a besoin de lui montrer que c’est elle qui a les clés en main et qu’elle peut le faire chanter, sauf que ce besoin cache un certain syndrome de Stockholm, comme si elle avait besoin de devenir le centre de son univers. Perdue entre le sentiment de vengeance et ce jeu exquis, elle compte le faire succomber jusqu’à ce qu’il soit enchainé à elle, à sa merci. |
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| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Sam 7 Mai - 13:49 |
| puis-je ? |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Sam 7 Mai - 20:40 |
| Haaaan mais trop rapide !!! Je suis trop content ! Bien sûr que tu peux !!! Désolé je suis sur mon téléphone car pas chez moi, mais dès que je suis de retour je te dresse un temple de smileys ! |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Sam 7 Mai - 20:48 |
| pas de soucis. j'espère que le vava + nom te conviennent du coup |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Dim 8 Mai - 3:43 |
| Je suis pas difficile, l'essentiel c'est que tu sois à ton aise avec le personnage, mais j'adore le pseudo comme l'avatar donc c'est encore mieux! Et encore merci d'avoir choisi mon pré-lien! Si t'as des questions, ma boîte MP est grande ouverte ! Promis le temple arrive demain dans ta fiche ! (Je viens de rentrer de soirée ! ) |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Dim 8 Mai - 9:21 |
| tant mieux si c'est à ton goût également et pas de soucis, y a pas le feu au lac |
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Invité Il n'y a qu'un seul but : le pouvoir
| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more Dim 8 Mai - 11:51 |
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| Sujet: Re: (1/1 LIBRE) There is no escape now, no mercy no more |
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